Revue de presse Juillet 2019

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Université Paris Dauphine-PSL

L’Institut Pratique du Journalisme (IPJ) organise la 5e édition du Congrès Mondial des Ecoles de Journalismes, du 9 au 11 juillet à l’Université Paris-Dauphine. Dans une interview accordée à cette occasion au site www.strategies.fr, Eric Nahon, directeur-adjoint de l’Institut Pratique du Journalisme (IPJ), explique que le profil des aspirants au journalisme a énormément changé ces dernières années. « Pour entrer à l’IPJ Dauphine, comme dans toutes les formations reconnues, il faut une licence généraliste. Nous essayons d’attirer des profils scientifiques et de donner une data literacy, ou une culture du chiffre, pour les journalistes économiques ou environnementaux », poursuit-il. Par ailleurs, Eric Nahon reconnait que la précarité du métier fait obstacle au renouvellement des profils. « A l’IPJ Dauphine, on travaille sur la diversité par des frais de scolarité gratuits pour les boursiers et des droits d’entrée corrélés aux revenus des parents », ajoute le directeur-adjoint.(www.strategies.fr, 10/07/2019)

La cinquième édition du World Journalism Education Congress (WJEC) se déroule du 9 au 11 juillet à l’Institut Pratique du Journalisme (IPJ), sous le thème « Enseigner le journalisme à l’ère de la disruption ». Pour leur premier congrès parisien, les organisateurs attendent deux fois plus de participants, soit 550 personnes inscrites, venues de plus de 70 pays. Dans le cadre de groupes de travail et de conférences thématiques, plus de 200 enseignants et journalistes discuteront des grands thèmes sensibles du moment. Pour Eric Nahon, numéro deux de l’IPJ, qui sera modérateur d’une session sur le « fact-checking à l’ère de la post-vérité », « les écoles de journalisme doivent disposer d’une gouvernance autonome, sur le modèle des facultés, et d’un label international leur permettant de solliciter des bailleurs de fonds publics ou privés ». Par ailleurs, le congrès tiendra lundi son assemblée plénière, lundi, où devra être adoptée solennellement la « Paris Declaration on Freedom of Journalism Education ». Sa ratification mercredi, à l’Hôtel de Ville, vise à conférer au texte un statut d’ « appel de Paris ». (www.lemonde.fr, 08/07/2019)

Le dernier baromètre Deloitte sur le système de santé révèle que 86 % des Français estiment que les prix des médicaments en France sont trop élevés. Une perception paradoxale, selon Claude Le Pen, professeur en économie de la santé à l’Université Paris-Dauphine, qui rappelle qu’en France, le reste à charge sur le médicament est pratiquement nul. « L'appréciation du prix dans notre pays relève d'un sentiment presque politique. Les Français considèrent le médicament comme un bien nécessaire qui relève d’une consommation contrainte. A ce titre, il devrait être, selon eux, gratuit », ajoute-t-il. (Pharmacien Manager, 07-08/2019)

Unigestion et la House of Finance de l’Université Paris-Dauphine financent, par le biais de l’académie de recherche Alternative Risk Premia (ARP), deux nouveaux projets de recherche sur les ARP, qui seront présentés lors de conférences à Londres et à Paris début 2020. Le premier projet porte sur les « crowded trades » et les « risques de perte extrême ». Le deuxième projet, quant à lui, s’intéresse aux préférences en matière ESG et l’efficacité du marché. « Au cours des deux années pendant lesquelles nous avons mené l’académie de recherche ARP, moins de 10 % des projets soumis ont reçu des financements à la fin du processus de sélection. La présélection est difficile, en raison du très haut calibre des candidatures reçues, ce qui démontre l’évolution de la recherche concernant les Alternative Risk Premia ces dernières années », explique Serge Darolles, professeur en finance de l’Université Paris-Dauphine. (www.esteval.fr, 11/07/2019)

Pour Dominique Méda, professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine et directrice de l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales, il faut empêcher les producteurs de « fake news » d’agir pour rendre inopérante la production de fausse science ou d’ignorance scientifique. La seule manière d’y parvenir est, selon elle, de disposer d’institutions scientifiques puissantes, totalement indépendantes, dotées d’importants moyens de financement et de scientifiques indépendants et bien payés, capables de répondre aux questions des gouvernements, des parlementaires et des citoyens, et susceptibles d’autosaisine. (Le Monde, 14-15/07/2019)

Dans une interview accordée à RMC Découverte, Philippe Chalmin, professeur d’histoire économique à l’Université Paris-Dauphine et spécialiste des matières premières, s’exprime sur la hausse des prix des carburants. Depuis quelques semaines, nous sommes témoins de véritables tensions sur le marché du pétrole, avec les relations plutôt musclées entre les Etats-Unis et l’Iran, rappelle l’enseignant. Le résultat ? Notre pétrole, le baril de Brent, se trouve aujourd’hui à un niveau, qui n’est pas extraordinairement élevé, mais qui reflète un peu la réalité de ces tensions géopolitiques, ajoute-t-il. (RMC Découverte, 17/07/2019)

L’Université Paris-Dauphine Tunis a organisé le 23 juillet la célébration de ses dix ans et la cérémonie de remise des diplômes de la promotion 2019, qui a vu la consécration de 130 nouveaux étudiants diplômés dans les différents programmes de Licence et Master. Le cru 2019 a consacré la première promotion de diplômés des deux nouveaux masters numériques, deux programmes innovants mis en place l’an dernier pour répondre aux besoins des entreprises, en Tunisie et à l’international. Toujours dans un souci de développer une forte employabilité pour ses étudiants, l’université travaille actuellement sur un projet d’éco-quartier smart baptisé « Edutech ». Ce lieu totem innovant entend devenir un pôle éducationnel attractif, capable d’intégrer les étudiants africains dans son université, et d’inverser les polarités en attirant les étudiants internationaux de tous horizons. (www.businessnews.com.tn, 24/07/2019)

Le 21 juin dernier, l’Université Paris-Dauphine et l’institut Le Cordon Bleu Paris, ont célébré la première remise des diplômes des formations Bachelors de l’institut Le Cordon Bleu Paris. Les étudiants ont reçu le diplôme international de l’Université Paris-Dauphine « Talent en Management des Arts Culinaires et de l’hôtellerie », et le diplôme de l’institut Le Cordon Bleu, «Bachelor en Management des Arts Culinaires » ou « Bachelor en Management Hôtelier International ». Le campus de l’Université Paris-Dauphine offre, en effet, depuis 2018, des formations sur la gestion d’entreprise spécifique aux secteurs de la gastronomie et de l’hôtellerie. (www.lhotellerie-restauration.fr, 29/07/2019)

Enseignants et experts de Dauphine

La Chine, premier producteur mondiale de terres rares, a menacé de couper l’accès des Etats-Unis à ces matériaux cruciaux dans la fabrication de certaines nouvelles technologies. « Pékin, qui n’avait pas beaucoup d’autres arguments à opposer aux Etats-Unis, a utilisé cette pression à l’importation en diminuant les achats de soja à Washington, et à l’exportation, en menaçant de couper l’accès aux terres rares », explique dans une interview Philippe Chalmin, professeur d’histoire économique à l’Université Paris-Dauphine. (Décideurs Magazine, 01/07/2019)

Dans une tribune, Jean-Marc Siroën, Professeur d’économie internationale de l’Université Paris-Dauphine – PSL, revient sur la conférence de Bretton Woods. Cette conférence iconique, qui devait contribuer à prévenir le monde d’un retour à ses errements d’autrefois, fut aussi un champ de bataille « qui pour ne pas verser de sang n’en fut pas moins farouche », estime l’enseignant. (La Tribune, 03/07/2019)

Dominique Méda, professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine et directrice de l’Institut de Recherche Interdisciplinaire en Sciences Sociales (Irisso), est l’invitée de l’émission « De cause à effets ». L’enseignante raconte entre autres que tous les matins à Paris-Dauphine, ils font des ateliers sur la valeur de la nature, et l’après-midi, les étudiants vont devant le ministère de l’Ecologie pour réclamer des mesures. Et ça c’est très important, estime la sociologue. (France Culture, 20/07/2019)

Pour financer en partie la baisse de 5 milliards d’euros de l’impôt sur le revenu, annoncé par Emmanuel Macron, le gouvernement s’apprête à supprimer certaines niches fiscales dont bénéficient les entreprises. « A l’origine, ces avantages ont été accordés aux entreprises pour les soutenir. Il existe donc pour le gouvernement un risque de leur envoyer un message contradictoire », analyse Emmanuel Dinh, avocat au cabinet Andersen Tax Legal, et directeur du Master de fiscalité de l’entreprise de Paris-Dauphine. Outre le dispositif fiscal du mécénat sur les grandes entreprises, le crédit d’impôt recherche (CIR) sera également modifié. Cet outil, très apprécié des investisseurs étrangers, est un des seuls avantages que la France peut proposer pour attirer des entreprises par rapport à ses voisins européens ou aux Etats-Unis, souligne Emmanuel Dhin. (Option Finance, 22/07/2019)

Pour la première fois, une intelligence artificielle bat en même temps cinq joueurs de poker professionnels. Développé par des chercheurs de l’université de Carnegie-Mellon et de Facebook, Pluribus n’a pas hésité à ruser, misant gros alors que ses cartes étaient médiocres. « Pluribus a été conçue pour ne pas avoir à faire trop de calculs à la fois (…) ses concepteurs ont donc fait en sorte qu’elle ne se perde pas dans certains détails de la partie, qu’elle ignore certains paramètres », souligne Tristan Cazenave, enseignant-chercheur à Paris-Dauphine. (Le Parisien, 23/07/2019)

Professeure à l’Université Paris-Dauphine depuis septembre 2009, Stéphanie Dameron vient d’être nommée rectrice de l’académie d’Amiens. Directrice de l’équipe de recherche « Management & Organisation », elle avait créé en 2009 la première chaire de la Fondation Dauphine sur le thème du management de la diversité et dirige depuis 2011 la chaire « Intelligence économique et Stratégie des Organisations ». Stéphanie Dameron est en outre membre du conseil d’administration de l’Université Paris-Dauphine et du Conseil académique de l’Université Paris Sciences et Lettres (PSL). (Bulletin Quotidien, 25/07/2019)

Dans une tribune, Jérôme Mathis, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine et Daniel Ouedraogo, docteur en économie de l’Université Paris-Dauphine, parlent de l’engagement de l’Union africaine pour un projet d’intégration monétaire à l’échelle du continent à l’horizon 2023. En effet, le continent africain fait preuve d’un engouement inouï pour le bitcoin. Toutefois, en raison de sa volatilité et de l’attrait qu’il suscite auprès des pirates, le bitcoin n’est pas suffisamment adapté au continent africain, indiquent les économistes. « Les autorités monétaires se sentent actuellement menacées par l’adoption de monnaies numériques décentralisées. Au risque de se laisser dépasser, il va leur falloir prendre position rapidement », ajoutent-ils. (www.lemonde.fr, 30/07/2019)

Dans une interview, Jérôme Mathis, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine, parle des modalités de mise en œuvre du Libra, le projet de monnaie numérique de Facebook. Le professeur explique que le Libra peut potentiellement constituer une véritable rupture dans l’histoire monétaire, mais pas en tant que nouvelle monnaie numérique. Il représente plutôt un risque pour les banques et plus fondamentalement pour l’État. « Ceux-ci pourraient prendre des mesures de rétorsion à la hauteur de l’enjeu », prévient-il. (Option Finance, 29/07/2019)

Pour Sarah Abdelnour, sociologue et chercheuse à l’Université Paris-Dauphine, les plateformes de travail sont « un nouvel espace qui autorise ou augmente l’externalisation de la main d’œuvre, principalement des petits boulots peu qualifiés via l’autoentreprenariat ». La sociologue regrette le vote par le gouvernement d’un texte de loi garantissant ces plateformes contre le salariat si elles rédigent une charte de bonne conduite. « En travaillant sur les autoentrepreneurs, je retrouve ce que décrivait le sociologue Robert Castel dans ses derniers écrits, autour du précariat (…). Il montrait qu’il y a, notamment chez les jeunes des quartiers populaires, une forte résignation. Ils ne croient plus qu’ils bénéficieront un jour d’un emploi qui les protège, et encore moins d’une retraite correcte. Cette résignation est doublée par la banalisation du travail indépendant dans les emplois non qualifiés. » (L’Humanité, 29/07/2019)

Selon les chercheurs Thomas Breda, économiste de Paris, et Clotilde Napp, directrice de recherche au CNRS-Université Paris-Dauphine, « si la différence des performances scolaires mathématiques entre les garçons et les filles est désormais très faible, tel n’est pas le cas des lettres où les filles sont bien meilleures que les garçons », ce qui nuit à l’orientation des filles. Cette sous-représentation des femmes est, selon eux, préoccupante, car elle contribue à l’inégalité salariale entre les sexes sur le marché du travail, étant donné que les emplois paient plus dans les carrières scientifiques. « Cela représente une perte de talent alors que la demande de ces compétences scientifiques augmente », soulignent-ils. (Le Figaro, 27/07/2019)

Etudiants et alumni de Dauphine

Olivier Grandjean, directeur du développement des Cinémas Pathé Gaumont depuis 2016, occupera le poste de directeur général des Cinémas Pathé Gaumont, en charge de la France à partir du 2 septembre. Ce titulaire d’un DESS affaires internationales de l’Université Paris-Dauphine est aussi président du syndicat Uniciné et président délégué de la Fédération nationale des cinémas français. (Les Echos, 01/07/2019)

Julien Guéniche, aveugle de naissance, a été le premier non voyant à intégrer l’Université Paris-Dauphine. « Ma mère prenait des cours de maths pour m’expliquer les symboles complexes de mes cours de finances et de gestion », raconte-t-il. Major de sa promotion, il est aujourd’hui coordinateur général de « L’Officiel du Handicap », et aide au dialogue entre entreprises, gouvernement et associations sur l’emploi des personnes en situation de handicap. « Je ne le dis pas par fierté, mais bien parce que je veux montrer que c’est possible », souligne Julien Guéniche, ajoutant : « avec le soutien de son entourage et avec beaucoup de travail, on peut faire de grandes choses, même en étant handicapé ». (Dernières Nouvelles D’Alsace, 02/07/2019)

Antoine Maspétiol rejoint Eiffel Investment Group pour y lancer une activité de dette privée d’impact. Ce diplômé de l’Université de Paris-Dauphine était, depuis 2014, responsable des investissements alternatifs et de la dette privée chez Aviva Investors. (Les Echos, 02/07/2019)

Directrice conformité-contrôle permanent-sécurité financière depuis 2017, Anne-Lise Couaillac, diplômée de l’Université Paris-Dauphine, rejoint le comité exécutif de Milleis Banque (Correspondance Economique, 03/07/2019)

Damien Dumas devient directeur de la stratégie du groupe Apicil. Ce titulaire d’un DESS management des systèmes d’information de l’Université Paris-Dauphine, a rejoint le groupe Apicil en 2005 en tant que responsable de l’organisation, pour occuper ensuite le poste de directeur de la gestion santé-prévoyance. (L’Agefi Hebdo, 04-10/07/2019)

Nathalie Lhayani est nommée directrice de la politique durable du groupe Caisse des Dépôts. Titulaire d’une Maitrise d’économie appliquée-économie internationale à l’Université Paris-Dauphine, elle était, depuis 2017, conseillère chargée des affaires européennes au sein du cabinet du ministre de la Transition écologique et solidaire. (RB Revue Banque, 07-08/2019)

Clotilde Jolivet devient directrice des relations gouvernementales France de Sanofi. Titulaire d’un DESS en gestion innovation et technologie de l’Université Paris-Dauphine, elle était, depuis 2016, responsable des relations bilatérales et corporate au sein de la direction des relations gouvernementales France. (Correspondance Economique, 11/07/2019)

Gary Kurtz, titulaire d’un MSG finance de l’Université Paris-Dauphine, est nommé senior vice-président auprès d’Hugues Archambault, directeur général de GCA Altium France. (Les Echos, 12-13/07/2019)

Fabrice Lepoutre, directeur général d’Effia Stationnement (filiale de Keolis), intègre le comité de direction du groupe Keolis. Ce diplômé en management de l’Université Paris-Dauphine, est également administrateur de la Fédération Nationale des Métiers du Stationnement, de One Park et de la Société anonyme d’économie mixte d’exploitation du stationnement de Paris (SAEMES).(Les Echos, 12-13/07/2019)

Hugo Capelle, étudiant en Master marketing à l’Université Paris-Dauphine, lance « Balzeo », une bouteille isotherme en acier inoxydable, sans bisphénol A, pouvant contenir un volume de 50 cl. Grâce à sa double paroi isolante, elle maintient les boissons au frais pendant plus de 36 heures et au chaud pendant plus de 12 heures. Par ailleurs, 10 % des bénéfices sont reversés à The Sea Cleaners, une association qui collecte les plastiques dans l’océan. (Vaucluse Matin, 16/07/2019)

Ingénieur en traitement des eaux, Fabien Drouet a été élu président du Synteau. Ce diplômé en management de l’Université Paris-Dauphine, était, depuis 2007, PDG de Wangner Assainissement.(Les Echos, 18/07/2019)

Florence de La Ferrière, titulaire d’une maîtrise de Sciences et de Gestion de l’Université Paris-Dauphine, rejoint Audacia en qualité de gérante du pôle immobilier. Sa mission sera de développer l’offre immobilière nouvelle génération d’Audacia, lancée en 2018 à l’occasion du partenariat signé avec Sharies. (Le 13 Heures de l’Immobilier, 18/07/2019)

Edouard de Chalain, diplômé de l’Essec et de l’Université Paris-Dauphine, a été nommé directeur administratif et financier d’Artea. (Les Echos, 19-20/07/2019)

Les frères Ivan et Rouslan Lartisien ont créé il y a douze ans Grand Luxury Hotels, une plateforme de réservation d’hôtellerie de luxe. « Nous avions constaté qu’il n’y avait pas de collection des meilleurs hôtels du monde », indique le cadet Rouslan Lartisien, titulaire d’un DESS en finance de l’Université Paris-Dauphine. « Nous avons attiré 150 000 clients depuis le début de l’aventure ; nous sommes devenus le deuxième apporteur d’affaires pour les hôtels de luxe derrière American Express », se félicite l’aîné. Les deux frères prévoient prochainement les lancements de Grand Luxury Expériences, un service pour les entreprises avec une très forte croissance et de Grand Luxury Croisières, qui proposera dès la fin de l’année des réservations sur les bateaux les plus luxueux du monde. (Le Journal du Dimanche, 21/07/2019)

Sous réserve de la délivrance de l’agrément par les autorités azerbaïdjanaises, Zacharie Gross serait nommé ambassadeur en Azerbaïdjan. Titulaire d’un DESS de gestion publique de l’Université Paris-Dauphine, il est, depuis septembre 2015, sous-directeur du désarmement et de la non-prolifération nucléaires, à la direction des affaires stratégiques, de sécurité et du désarmement du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères. (Bulletin Quotidien, 22/07/2019)

Jean-Bernard MAS, titulaire d’une maîtrise en Sciences de gestion et d’un DESS de gestion des télécommunications de l’Université Paris-Dauphine, a été nommé directeur général de Crédit Agricole Pologne. Il est également promu senior country officer du groupe Crédit Agricole S.A. pour la Pologne et intègre le comité de direction de Crédit Agricole S.A.  (Correspondance Economique, 23/07/2019)

Pierre Escande est nommé head of investments France et Belux de Savills Investment Management. Titulaire d’un Master en management de l’immobilier de l’Université Paris-Dauphine, il était récemment executive director au sein du bureau parisien d’AEW. (Les Echos, 31/07/2019)

Jean-Bernard Mas est nommé directeur général de Crédit Agricole Polska et intègre ainsi le comité de direction de Crédit Agricole S.A. Titulaire d’une maîtrise de sciences de gestion et d’un DESS de gestion des télécommunications de l’Université Paris-Dauphine, il était, depuis 2015, directeur général adjoint de Crédit Agricole Bank Polska. (Option Finance, 29/07/2019)

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Publié le 5 juillet 2019