janvier 2019

Université Paris-Dauphine

Le 15 novembre 2018, le Think Tank Marie Claire pour l’égalité s’est réuni dans les locaux parisiens de Salesforce autour du thème « l’éducation et la transmission ». Pour Brigitte Grésy, secrétaire générale du Conseil supérieur de l’égalité professionnelle, « la mixité est un impensé à l’école et dans le travail ». Quant à Isabelle Huault, présidente de Paris-Dauphine, elle a constaté que les étudiantes de son université sont dans l’autocensure : « nombreuses en éco-gestion, les étudiantes ne sont que 30 % à intégrer maths-informatique ». Lors de cette journée, de nombreuses propositions,qui seront transmises au gouvernement, ont émergé afin d’obtenir une réelle égalité des chances.
(Marie Claire, 02/2019)

L’Université Paris-Dauphine fête son cinquantième anniversaire cette année. Sa présidente Isabelle Huault explique qu’à sa création en 1968, l’enjeu était de répondre à la crise universitaire et de créer des universités pluridisciplinaires faisant évoluer le modèle traditionnel des facultés. Elle estime que l’excellente réputation dont jouit Paris-Dauphine, ses campus à l’étranger et ses alliances avec d’autres établissements prestigieux lui permet de faire face à la forte compétition internationale en cours dans l’enseignement supérieur. Selon elle, le numérique est un autre enjeu important. L’université a ainsi mis l’accent sur un grand programme de formation et de recherche intitulé « Dauphine numérique », en créant des unités d’enseignement autour des sciences des données et de l’intelligence artificielle, puis en initiant des programmes scientifiques pluridisciplinaires. La présidente de Paris-Dauphine estime par conséquent que l’Université est bien placée pour se positionner en précurseur dans ces domaines.
(Option Finance, 14/01/2019)

A l’occasion du lancement par l’Université Dauphine/Tunis de la deuxième session de son certificat Data Protection Officer, le président de l’Instance Nationale de Protection des Données Personnelles (INPDP), Chawki Gaddes a accordé une interview à Espace Manager. Heureux de cette initiative de Paris-Dauphine, il estime que cette université « est actuellement en Tunisie la seule institution qui dispense un enseignement concernant la protection des données ».
(www.espacemanager.com, 14/01/2019)

Quatre prix Nobel réunis à Paris-Dauphine à l’occasion du 50e anniversaire de l’université se sont livrés à un étonnant exercice d’autoflagellation de la théorie économique en vigueur, relate dans sa chronique Antoine Reverchon, journaliste au « Monde ».
(lemonde.fr, 29/01/2019)

Interrogée par Le Monde Eco & Entreprise sur la gestion des travailleurs indépendants, Laetitia Vitaud, enseignante à Sciences Po et à Paris-Dauphine et auteure en 2017, d’une étude Malt/Ouishare sur le free-lancing en France, estime qu’il y a « un certain aveuglement et peu de réflexion sur le sujet ». Pour l’enseignante, « des directions de ressources humaines ne savent d’ailleurs pas précisément combien de free-lancers travaillent dans leur entreprise. Il y a donc [pour elle] un réel décalage entre ce faible intérêt d’un côté et, de l’autre, le recours désormais important à des ressources externes dans les grandes organisations ».
(Le Monde Eco & Entreprise ; 24/01/2019)

Suite à la publication par La Croix du 32e baromètre de la confiance des Français dans les médias qui révèle que la crédibilité accordée aux journalistes est à son plus bas historique, l’émission Les Matins a demandé aux internautes quelles solutions seraient susceptibles de rétablir la confiance. L’une d’elles est l’amélioration de la formation des journalistes. France Culture s’est rendue à l’Institut Pratique du Journalisme à Paris-Dauphine, « une des 14 écoles reconnues par la profession, qui dispense une formation généraliste très complète avec un cursus digne des classes préparatoires », selon la radio, afin d’interroger les étudiants sur ce déficit de confiance. « Avec cette défiance, on a envie de faire le meilleur boulot possible [...] », déclare l’un d’eux. « Le BAba est d’être précis », précise un autre.
(France Culture ; 25/01/2019)

De nouveaux diplômes universitaires sont apparus à la rentrée 2018 suite à l’entrée en vigueur du Règlement Général sur la Protection des Données. Parmi eux : le DU de Délégué à la Protection des Données ouvert par Paris-Dauphine, qui propose des enseignements juridiques, informatiques et sur les sciences des données et le management, ainsi qu’un voyage à Bruxelles pour rencontrer des acteurs du domaine. Cette formation s’adresse surtout aux professionnels : les 24 candidats de la première promotion ont déjà occupé ou occupent un poste en lien avec la protection des données. Les universités de Paris Descartes, Paris 1 Panthéon Sorbonne et Nanterre proposent également des DU dans ce domaine.
(Affiches Parisiennes et Départementales ; 25/01/2019)

Le Swave a profité du Fintech Forum, qui s’est tenu fin janvier, pour présenter les 22 nouvelles startups qui allaient bénéficier de son accompagnement pendant 12 mois. En plus de cette nouvelle promotion, l’incubateur de Paris & Co, spécialisé dans les technologies dans la finance, intensifie ses partenariats. Avec Paris-Dauphine, par exemple, il va construire une CVthèque à l’adresse des Fintech et des grands comptes partenaires. L’occasion aussi pour les élèves du Master de rencontrer d’éventuels employeurs et d’effectuer des séminaires au Swave.
(La Tribune ; 30/01/2019)

Enseignants et experts de Paris-Dauphine

Jean-Hervé Lorenzi, professeur d’économie à Paris-Dauphine, prédit qu’en raison d’une croissance mondiale moins forte due à des facteurs politiques et économiques, « les résultats des entreprises seront moins systématiquement bons. Nous allons donc voir des marchés plus nerveux ». Pour l’enseignant, « il y a un risque de crise financière non négligeable ».
(Le Parisien, 02/01/2019)

Dans une chronique, Dominique Méda, professeur de sociologie à l’Université Paris-Dauphine, et huit autres experts estiment qu’« il n’y aura pas de progrès sans juste répartition des richesses et réduction de notre empreinte écologique ». C’est la raison pour laquelle selon ces spécialistes « il est temps, pour changer de modèle, de changer d’indicateurs [de richesse] ».
(Les Echos, 3/01/2019)

Interviewée dans l’émission Le 21h : minuit, Valérie Guillard, professeur à l’Université Paris-Dauphine et auteure du livre « Boulimie d’objets », détaille les raisons qui expliquent le stockage d’objets inutiles et décrypte les différents profils psychologiques de ces boulimiques d’objets appelés « les gardeurs ».
(franceinfo : , 01/01/2019)

Pour Frédéric Gonand, professeur d’économie associé à l’Université Paris-Dauphine, la réforme de la prime d’activité prévue par le gouvernement, consistant à élargir la population qui peut en bénéficier, est une décision mortifère. Non seulement elle « confirme aujourd'hui la pire crainte des classes moyennes modestes : celle de se paupériser », mais cela accrédite « l’idée que les revenus du travail ne seraient plus suffisants pour assurer un niveau de vie jugé décent ».
(L’Opinion, 04-05/01/2019)

Le 5 janvier 2009, l’ANPE et l’Assédic fusionnaient pour donner naissance à Pôle Emploi. L’objectif affiché était d’en faire « le service public de l’emploi le plus performant d’Europe ». « Mais l’administration a eu bien du mal à trouver le temps de former ses agents et ils se sont vite retrouvés avec un machin qui n’était pas du tout adapté au contexte », explique Jean-Marie Pillon, maître de conférences en sociologie à Paris-Dauphine, et spécialiste des politiques de l’emploi.
(Le Parisien, 05/01/2019)

Dans une interview, François Cusin, professeur à Paris-Dauphine-PSL, explique ce qu’est la métropolisation et en quoi la France est concernée. Pour le sociologue, ce phénomène conduit les métropoles régionales françaises à se concurrencer « entre elles et avec d’autres villes européennes comme Barcelone, Francfort ou Milan ».
(Libération, 08/01/2019)

Dans son dernier livre, le sociologue Antonio Casilli prédit la disparition dans un avenir proche des emplois les moins qualifiés et le remplacement des hommes par des machines, en raison du développement de l’intelligence artificielle et de la dématérialisation de l’économie. La sociologue du travail, Dominique Méda, professeure à l’Université Paris-Dauphine, signe la postface de l’ouvrage. Elle affirme que ce que décrit Antonio Casilli, « c’est la contre-réalité du discours enchanté sur l’économie collaborative ». Pour l’enseignante, « le vrai péril aujourd’hui n’est pas le remplacement du travail par les robots, mais bien son occultation, sa tâcheronisation, sa sous-rémunération et de sa déshumanisation ».
(Libération, 10/01/2019)

En visite en Tunisie pour le lancement par l'Université Dauphine/Tunis de la deuxième session de son certificat Data Protection Officer, Jean-Luc Sauron, expert en protection de données et professeur à l’Université Paris-Dauphine en droit européen, accorde une interview dans laquelle il dresse le bilan de la première session de formation et détaille les objectifs de cette seconde session. « Il faut que les grandes entreprises tunisiennes, c'est-à-dire toutes celles qui travaillent avec l'UE, aient cette connaissance de la protection des données et qui doivent être traitées dans cette tâche par des Data Protection Officer formés notamment à Dauphine/Tunis », déclare-t-il.
(www.espacemanager.com, 12/01/2019)

Raphaël Trotignon, chercheur en économie de l'énergie et du climat au sein de la Chaire Economie du climat de l'Université Paris-Dauphine, estime que la réforme du mécanisme européen d’échange de quotas de CO2 « redonne une place à ce marché qui était moribond ». Mais sa gouvernance est à revoir. Selon lui, « il faudrait une banque centrale du carbone pour gérer le marché, pour assurer la transparence et la crédibilité sur la rareté des quotas distribués ».
(Les Echos, 15/01/2019)

Stéphane Boutiller, directeur du service des sports Paris-Dauphine, explique dans une chronique que l’Université Paris-Dauphine a tout de suite soutenu la candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 2024, car il s’agit d'une belle opportunité pour la France tant sur le plan sociétal qu’en termes de visibilité : « Le sport fait partie de l’ADN de Paris-Dauphine ». L’enseignant détaille aussi comment son université participe à l’aventure depuis l’annonce officielle des jeux à Paris. En janvier, une master class a été l’occasion de voir comment Paris-Dauphine pourrait contribuer à cet événement. Les étudiants se mobilisent également à travers notamment les associations Dauphine Débat Discussion (DDD) et l’Associations Sportive (AS) qui ont organisé ensemble le 13 avril dernier une table-ronde sur le thème des JO 2024.
(www.mondedesgrandesecoles.fr, 16/01/2019)

Dans son livre Une Brève histoire économique d'un long XXème Siècle, aux éditions François Bourin, Philippe Chalman, historien et économiste, professeur à Paris-Dauphine fait une analyse de ce siècle en vingt chapitres résultant de son enseignement, nous donnant ainsi la possibilité d’appréhender d’une meilleure façon les enjeux des années à venir.
(La Correspondance économique, 16/01/2019)

Delphine Lautier vient d’être désignée membre du Collège de l’AMF par Patrick Bernasconi, président du Conseil économique, social et environnemental. Professeure des universités et professeure de finance à l’Université Paris-Dauphine, elle remplace Christian de Boissieu, professeur émérite de l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne et vice-président du Cercle des économistes.
(Correspondance Economique ; 29/01/2019)

A l’occasion de la présentation par le CyclOpe des prévisions pour l’année de la croissance mondiale, son fondateur, Philippe Chalmin, professeur à l’Université de Paris-Dauphine, « essaie de ne pas céder à cette grande vague de pessimisme qui saisit le monde ». Il affirme aux Echos que concernant l’économie américaine, « il n’y a pas de vrais signes de ralentissement ». Pour autant, l’enseignant estime qu’il ne faut pas s’attendre à un rebond des marchés qui « continueront pour nombre d’entre eux à s’inscrire dans la tendance baissière des derniers mois de 2018 ».
(Les Echos ; 30/01/2019)

Dans une tribune écrite avec Eric Heyer de Sciences Po et Pascal Lokiec de l’université Panthéon-Sorbonne, Dominique Méda, de l’Université Paris-Dauphine, considère que « les enquêtes d’opinion mettent en évidence l’impérieuse nécessité de changer de voie, tant celle qui a été suivie depuis plus de trente ans s’apparente à une impasse ». Selon l’enseignante, « la principale cause de la situation économique » est en fait « à chercher dans les dysfonctionnements du capitalisme financier, qui ont débouché sur le surendettement des agents privés, favorisé par des innovations financières mal maîtrisées et insuffisamment régulées ».
(La Tribune ; 31/01/2019)

Etudiants et alumni de Dauphine

Didier Godec a été nommé, le 17 septembre, directeur du pôle Artois du groupe Hôpitaux privés du littoral. Après être devenu responsable du développement de Santélys, il a passé un MBA en santé à Paris-Dauphine pour diriger un établissement.
(La Voix du Nord, 28/12/2018)

Le père Bruno Valentin vient d’être nommé évêque auxiliaire de Versailles. Ce diplômé d’une licence de sciences économie à l’Université Paris-Dauphine secondera Mgr Aumonier à la tête du diocèse.
(Le Parisien, 01/01/2019)

Philippe Berton vient de fonder Maestrium, une agence de conseil en ressources humaines spécialisée en management de transition. Ce titulaire d’une maîtrise des sciences et techniques comptables et financières de l’Université Paris-Dauphine, était auparavant associé dans le cabinet Procadres International.
(Les Echos, 04-05/01/2019)

Champion du monde de boxe Thaï et de kickboxing, Cyril Benzaquen organise avec la IT Agency, le Dauphine Boxing Tour qui aura lieu au sein de l’amphithéâtre Edgar-Faure de l’Université Paris-Dauphine. Cet étudiant exemplaire de Paris-Dauphine, titulaire d’un master entreprenariat, est surnommé le boxeur « BAC + 5 » et est l’un des boxeurs le plus doué de sa génération.
(culturesport.net, 07/01/2019)

Invitée de l’émission La France Bouge, Camille Desclée, cofondatrice de Nap&Up, des cocons de siestes à installer en entreprise, explique que l’objectif de son produit est de donner une phase de décompression aux salariés sur leur lieu de travail afin qu'ils puissent se recharger. Ancienne étudiante de Paris-Dauphine, elle raconte que le concept est né alors qu'elle et sa collaboratrice Gabrielle de Valmont étaient encore à l'université.
(Europe 1, 07/01/2019)

Bertrand Gosselin vient d’être nommé CEO de Thalys. Titulaire d’un master 2 en gestion publique de l’Université Paris-Dauphine, il était jusque-là directeur de la Région Paris Rive Gauche au sein de SNCF Mobilités.
(Correspondance Economique, 08/01/2019)
(Les Echos, 08/01/2019)

Hervé Ribaud vient d’être nommé directeur du pôle audio de Havas Media. Ce titulaire d’une maitrise en sciences de gestion de l’Université Paris-Dauphine occupait jusqu’alors le poste de head of value team de l’agence.
(Correspondance de la Presse, 08/01/2019)

Rachel Milutinovic est la nouvelle directrice marketing de Danone Eaux France. Cette diplômée en marketing de l’Université Paris-Dauphine a quitté PepsiCo en décembre 2017, après seize années dans la filiale française du groupe américain.
(LSA Libre Service Actualités, 10/01/2019)

Walter Costa vient d'être nommé directeur délégué Figaro Voyages. Ce diplômé de l'Université Paris-Dauphine occupait jusque-là le poste de vice-président e-commerce digital products d’Accorhotels.
(La Correspondance de la Presse, 15/01/2019)

Pascal Christory, titulaire d’un DEA en Mathématiques appliquées aux sciences économiques à l'Université Paris-Dauphine, vient d’être nommé directeur des investissements du groupe Axa.
(La Correspondance de la Presse, 15/01/2019)

François Van Aal vient d’être nommé président de Champagne Lanson. Ce diplômé de l’Université de Paris-Dauphine était jusque-là directeur du global travel retail EMEA.
(Les Echos, 16/01/2019)

Un « Manifeste étudiant pour un réveil écologique » circule actuellement et a déjà recueilli près de 26 000 signatures, parmi lesquelles celles de 300 étudiants de Paris-Dauphine. « Nous ne voulons pas mettre notre énergie au service d'employeurs, dont la stratégie et la vision du monde sont anachroniques […]. Nous devons sortir de la spirale infernale qui fait dépendre le travail des uns de la propension des autres à consommer des produits peu utiles et délétères pour les ressources naturelles et les sociétés », expliquent les initiateurs du Manifeste dans une tribune dans Les Echos.
(Les Echos ; 25-26/01/2019)

Jacqueline Eli-Namer a été nommée membre du collège de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Titulaire d’un DESS en nouveaux marchés de capitaux de l’Université Paris-Dauphine, elle est présidente-directrice générale du groupe Oudart EFG depuis janvier 2004.
(Correspondance Economique ; 28/01/2019)

Albine Roy-Contancin vient d’être élue présidente du réseau des Directeurs financiers et de contrôle de gestion (DFCG) de la Nouvelle-Aquitaine. Cette diplômée d’un DESS en stratégie, planification et contrôle de l’Université de Paris-Dauphine, est directrice financière France du groupe américain, Thermo Fisher Scientific.
(Sud Ouest ; 28/01/2019)

Le Figaro Supplément revient en détail sur le parcours « english track » qui propose à des étudiants de 3e année de licence de gestion de Paris-Dauphine, de suivre des cours intégralement en anglais. Si certaines écoles de commerce proposent ce cursus, l’université est la seule en France à le dispenser au niveau licence. Cette formule qui avait vocation à attirer un public international, a intéressé les Français. Chaque année, une trentaine d’élèves seulement intègre cette formation très prisée, dont le programme est calqué sur une licence de gestion classique. « Les élèves sont complètement immergés dans la langue », insiste Renaud Dorandeu, directeur du département « Licences sciences des organisations » de l’université. La majorité des étudiants poursuivent dans un master de Dauphine. C’est le cas de Blandine : « À l’inverse, des camarades n’ont pas obtenu celui qu’ils souhaitaient à cause de leur niveau en langue », déclare-t-elle.
(Le Figaro Supplément ; 30/01/2019)

Tiphaine Hecketsweiler est nommée directrice de la communication de la Fédération Française de l’Assurance (FFA). Titulaire d’un diplôme supérieure d’études spécialisées (DESS) de finance d’entreprise de l’Université Paris-Dauphine, elle était jusqu’ici directrice de la communication groupe d’AccorHotels.
(Correspondance Economique ; 30/01/2019)

Publié le 8 janvier 2019