Thèse
La recherche doctorale menée par Jeanne Goulpier Battestini porte sur les facteurs institutionnels de la sous-représentation des femmes en étude de physique et d’informatique à Sorbonne Université, sous la direction de Béate Collet, sociologue et Christian Brouder, physicien.
Selon les données de l’Université, les femmes ne représentaient qu’entre 15% et 30% des effectifs étudiants en physique et informatique entre 2013 et 2017. En investiguant les facteurs institutionnels de discrimination, cette recherche a pour objectif d’identifier les leviers d’actions qui favoriseraient la mixité dans ces filières valorisées autant dans le domaine de la recherche que sur le marché du travail.
Cette étude de cas très précise à Sorbonne Université se veut transposable à d’autres lieux d’enseignements et d’autres filières, tout en permettant également une transposition de ses résultats à d’autres formes de discriminations.