Revue de presse Décembre 2019

Découvrez la Revue de Presse de Dauphine de décembre 2019

Université Paris Dauphine-PSL

Safran est le nouveau partenaire de la Chaire « Femmes et science » de l’Université Paris-Dauphine, créée en 2019 en partenariat avec l’Institut des Politiques Publiques et le soutien de la Fondation L’Oréal, Generali France, La Poste et Talan. Elle a pour ambition de développer des coopérations internationales et des travaux afin d’analyser la faible présence des femmes dans les sciences et de peser dans le débat sur ces sujets. « Safran s’engage aujourd’hui pleinement dans un plan d’envergure pour favoriser la mixité des équipes, notamment scientifiques. C’est dans ce cadre que nous soutenons la Chaire Femmes et science qui contribuera à orienter notre démarche », a déclaré Stéphane Dubois, directeur groupe des ressources humaines de Safran. (www.focusrh.com, 11/12/2019)

Une dizaine de jeunes, entre 25 et 27 ans, suivent actuellement le programme de préparation au concours d’entrée aux barreaux des Etats de New York et de Californie, lancé par l’Université Paris-Dauphine et Barbri International. Les candidats du programme bénéficieront de six à dix mois de cours en ligne, d’examens blancs et de quatre séances de travail. « Sous réserve d’être autonome, c’est un format qui permet d’avancer à son rythme, selon nos disponibilités et notre motivation », indique Gersende Rollet, ancienne étudiante de Dauphine qui a décroché l’examen du barreau de New York en 2018. Par ailleurs, « tous n’exerceront pas aux États-Unis, mais dans une logique de carrière, avoir la double reconnaissance est important, notamment pour recevoir des clients américains », précise Arnaud Raynouard, professeur de droit à Paris-Dauphine, qui a participé au lancement du programme en 2017. (Le Figaro, 18/12/2019) 

En février 2019, deux projets d’innovation pédagogique dauphinois se sont vus attribuer des trophées EdTech Sup par la Région Ile-de-France. L’Université Paris-Dauphine a ainsi reçu 134 000 euros de subventions. L’un des deux projets est aujourd’hui opérationnel, en phase pilote. Quant au second, il est encore en développement et ne sera opérationnel que fin 2020. « A Paris-Dauphine, la transformation numérique c’est aussi la transformation pédagogique. Ces trophées sont les vecteurs d’une ambition, fédératrice et novatrice », a indiqué Djalil Chafaï, vice-président en charge du Numérique. « L’objectif est de passer d’un enseignement vertical à un enseignement horizontal, collaboratif », complète le directeur du Numérique et chief digital officer de Paris-Dauphine, François Madjlessi. « Avec l'enseignement classique, un professeur peut s'adresser à une soixantaine d'étudiants sur un seul site. Avec nos nouvelles démarches, il peut dépasser les deux cents issus de plusieurs campus », poursuit-il.
(lemondeinformatique.fr, 23/12/2019)

L’Université Paris-Dauphine reçoit, en mars, 80 000 dossiers de candidatures et 3 000 étudiants sont admis au mois de juin, soit trois mois pour instruire les dossiers et donner à chacun une réponse. Pour accélérer le traitement des dossiers d’admission, l’établissement a mis en place de nouveaux outils d’aide à la décision, développés en mode agile. « Là où certaines universités ont mis neuf ans à développer ce genre d’outils pour aboutir à un produit mécontentant les enseignants, l’Université Paris-Dauphine n’a mis que deux ans pour son propre projet et qui donne satisfaction », écrit le site www.cio-online.com. « La méthode a cassé le mur entre les SI et les enseignants », se félicite François Madjlessi, directeur du Numérique et chief digital officer de l’Université Paris-Dauphine. « C’est la démonstration que l’approche agile est parfaitement adaptée au secteur public. Et, pour nous, en plus, nous formons ainsi les étudiants autant que les enseignants à l’agilité », poursuit-il.
(www.cio-online.com, 23/12/2019)

Enseignants et experts de Dauphine

Anna Creti, directrice de la Chaire économie du climat à l’Université Paris-Dauphine, est invitée à réagir au micro de RCF Radio à l’occasion de la COP25, qui rassemblera à Madrid pendant douze jours les délégations des 196 pays signataires de l’Accord de Paris sur le climat. C’est une COP technique, dans laquelle il faut une entente sur les méthodes de mesures et de vérifications qui entreront en jeu à partir de l’année prochaine, avec le début de l’évaluation des contributions des pays, souligne Anne Creti. La COP24 est arrivée à faire un document mais un peu vague, d’après la directrice qui estime qu’il faut désormais rentrer dans la technique. 
(RCF, 02/12/2019)

Les ONG Oxfam et les Amis de la Terre dénoncent la contribution des banques françaises aux émissions de gaz à effet de serre. Selon les associations, celles-ci ne font réellement aucun effort pour réduire « leur colossale empreinte carbone ». « En matière d’économie bas carbone, la finance est plutôt un wagon s’accrochant au train de la transition qu’une véritable locomotive. Pour l’essentiel, elle réagit aux impulsions de politiques publiques », estiment Mélanie Biessy, directrice générale et associée d’Antin Infrastructure Partners et Christian de Perthuis, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine. Alors même, « qu’au-delà des habituelles déclarations d’intention, c’est l’entrée en jeu des banques centrales qui pourrait changer la donne », ajoutent-ils. 
(Les Echos, 02/12/2019)

Denis Darpy, professeur des universités Paris-Dauphine-PSL, s’exprime sur les diverses actualités dans le marché mondial du luxe. Il estime que le rachat de Tiffany, l’emblème de New York, par le groupe français LVMH est un signal important envoyé aux marchés américain et mondial. Par ailleurs, pour l’enseignant, la collaboration entre Prada et Adidas est « un pur cas de cobranding ». « C’est une collaboration inattendue, qui créé de la surprise, et sera donc d’autant plus regardée et analysée », poursuit-il. 
(Stratégies, 05/12/2019)

Selon les dernières prévisions du Conseil d’orientation des retraites (COR), commandées par le gouvernement, l'actuel système des retraites accusera un déficit entre 8 et 17 milliards d'euros en 2025. Il s'agit de prévisions qui sont faites avec des hypothèses ce qui signifie qu’on a une incertitude sur les recettes du régime de retraite alors qu’en revanche, on connaît assez précisément les emplois, explique Florence Legros, professeure d’économie à Paris-Dauphine et directrice générale d’ICN Business School. D’après elle, il n’y a pas de risque de faillite du régime général, même si on continue de creuser les déficits publics. 
(Radio Classique, 05/12/2019)

Si la France se situe très légèrement au-dessus de la moyenne de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), en termes de performances scolaires, elle fait toujours figure de « mauvaise élève » dans la lutte contre les inégalités, révèle la dernière édition de l’enquête Pisa, publiée le 3 décembre. Par ailleurs, seuls 57 % des élèves déclarent que leurs enseignants semblent s'intéresser aux progrès de chaque élève, contre 70 % dans le reste de l'OCDE. « Cela avait déjà été relevé dans les éditions précédentes », rappelle Elise Huillery, professeure d’économie à l’Université Paris-Dauphine. « Tout un ensemble de valeurs éducatives font qu’en France, on trie les élèves, alors que dans d’autres pays mieux classés, comme le Royaume-Uni, les Etats-Unis, la Finlande, on leur dit : « Ça n’est pas grave, voici comment tu peux t’améliorer » », explique l’enseignante. « Une culture, ça se change », ajoute-t-elle tout en déplorant le manque de formation des enseignants au plan pédagogique. (www.france24.com, 03/12/2019) 

Les frugalistes sont des personnes qui dépensent le minimum, économisent au maximum, épargnent et investissent tout ce qu'ils peuvent avec pour objectif d’avoir assez d'argent pour prendre leur retraite à 40 ans. Un mode de vie, d'origine américaine, qui est né dans les années 2000. « Il y a effectivement des gens qui vont moins consommer pour épargner de l’argent, partir à la retraite plutôt et en profiter plus tard. Puis, il y a d’autres personnes qui sont vraiment dans la frugalité, qui vont moins consommer, moins travailler, ce n’est pas « ne plus travailler » mais c’est moins travailler pour profiter plus de la vie au quotidien », explique Valérie Guillard, professeure à l’Université Paris-Dauphine, et auteure du livre intitulé « Du gaspillage à la sobriété - Avoir moins et vivre mieux ? ».  (TF1, 09/12/2019) 

Dans une tribune, Frédéric Gonand, professeur à l’Université Paris-Dauphine, s’invite dans le débat sur la réforme des retraites. Pour l’enseignant, « même si le dispositif a, dans l’absolu, des propriétés intéressantes, la transition du dispositif actuel par annuités vers un régime par points déclenche d’inextricables effets redistributifs qui rendent très flou l’objectif pourtant nécessaire de la réforme : le rétablissement de l’équilibre des régimes pour préserver l’équité intergénérationnelle ». Il estime que le chemin le plus efficace reste celui d’une hausse de l’âge moyen effectif de départ en retraite. C’est « la seule réforme qui permet d’augmenter la force de travail donc la croissance tout en diminuant le déficit public et en favorisant l’équité entre les générations », explique Frédéric Gonand.  (L’Opinion, 10/12/2019) 

Le nombre de manifestants opposés à la réforme des retraites que prépare le gouvernement était deux fois moins élevé que pour la première journée d'action, le 5 décembre. 339 000 selon le ministère de l'Intérieur et 885 000 d’après les chiffres de la CGT.  Cette baisse est normale, estime Dominique Méda, directrice du laboratoire de sciences sociales de l’Université Paris-Dauphine, invitée à réagir sur le plateau de BFM TV. « C’était le 5 décembre le grand moment. Et puis, il faut quand même se souvenir que faire la grève coute cher et aller manifester c’est compliqué notamment quand il n’y a pas de transport », rappelle-t-elle. Pour la directrice, il est évident qu’il y a des grèves par procuration, certaines enquêtes révélant que 68 % des Français soutiennent le mouvement. « Je crois aussi qu’avec tout ce battage il y a un effet d’apprentissage et que les salariés du privé sont en train de comprendre qu’il ne s’agit pas seulement des régimes spéciaux mais qu’il s’agit de leur propre carrière », poursuit la socialiste. C’est une « réforme d’une très grande ampleur qui va remettre profondément en cause leur propre retraite. Et ça, c’est très important », conclut-elle.  (BFM TV, 10/12/2019) 

Dans une tribune au Monde, les économistes de l’Université Paris-Dauphine PSL/ Chaire Economie du Climat, Côme Billard et Christian de Perthuis estiment qu’il est désormais temps d’ajouter aux facteurs classiques de la croissance, qui sont le travail humain et le capital financier, le capital naturel. Pour les deux experts, « la neutralité carbone ne pourra être atteinte qu’en investissant dans la diversité du vivant pour renforcer la capacité d’absorption du CO2 atmosphérique par les océans, les forêts et les sols agricoles ». La croissance économique de demain doit, selon eux, « se construire par l’intermédiaire d’une régulation réfléchie de l’accès au capital naturel d’aujourd’hui ».  (Le Monde, 12/12/2019) 

Dans une tribune, Denis Guiot, chercheur à Dauphine Recherches en Management, revient sur les résultats du programme de recherche, financé par la Commission européenne, qui s’était penché sur l’intérêt porté par les seniors aux robots de compagnie. Sur plus de mille seniors européens interrogés, près des trois quarts se sont dit intéressés et environ 30 % ont même indiqué souhaiter avoir un robot dans l’année, rapporte l’enseignant. Toutefois, très peu ont sérieusement envisagé un achat. La formule de l’abonnement et les autres services ont, cependant, « recueilli un maximum de suffrages, avec un prix acceptable d’environ 30 euros par mois pour les Français, un peu plus élevé pour les Italiens, particulièrement ouverts à l’innovation et les Néerlandais », poursuit Denis Guiot. (www.lesechos.fr, 11/12/2019)

Après six mois de grève intermittente, les annonces du gouvernement n’ont pas convaincu médecins et infirmiers qui « se sentent floués ». Parmi les principales mesures annoncées, « trois cent millions d’euros supplémentaires en 2020 et une reprise massive de la dette des hôpitaux à hauteur de 10 milliards d’euros ». Ce blocage s’explique par le manque de moyens des hôpitaux publics, indique Brigitte Dormont, professeure à l’Université Paris-Dauphine, qui se réfère à une étude intitulée « Où réduire le poids de la dépense publique? », publiée en janvier par France Stratégie. Par ailleurs, « les 300 millions d’euros accordés pour 2020 correspondent pratiquement aux dépenses votées en 2018 par les députés et les sénateurs mais qui ont été sous-exécutées, c’est-à-dire non attribuées en réalité. Autrement dit, la ministre donne maintenant des sommes qui auraient pu être déjà allouées aux hôpitaux, si on avait suivi le vote du Parlement. Les personnels peuvent donc avoir l’impression légitime de ne pas avoir reçu un immense cadeau », ajoute la spécialiste de l’économie de la santé. (Le Journal du Dimanche, 15/12/2019)

La cour d’appel de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) ne pourra plus traiter de nouvelles affaires du fait qu’il ne compte plus qu’un seul juge en exercice, depuis le 10 décembre. En cause ? Le blocage répétitif de la nomination de nouveaux membres par les Etats-Unis. En 1995, il avait déjà été extrêmement difficile de les convaincre de l’intérêt de l’OMC et de l’Organe de règlement des différends (ORD), rappellent Les Echos. « Mais la période était propice. Le mur de Berlin venait de s’effondrer. L’idée selon laquelle la fin des grandes puissances allait permettre l’émergence d’une véritable organisation internationale et la volonté de l’Union européenne en faveur de l’OMC ont largement aidée à la création de cette nouvelle organisation », complète Jean-Marc Siroën, professeur émérite à l’Université Paris-Dauphine. Par ailleurs, il estime que depuis les années 1960, la partie américaine a toujours eu tendance à agir de manière unilatérale. (Les Echos, 16/12/2019)

Pour Pascal Salin, professeur honoraire de l’Université Paris-Dauphine, la réforme actuelle des retraites ne permet pas l’émergence d’une situation optimale. La création d’un système de retraite universel consiste, selon lui, à créer un monopole public supplémentaire alors que la vraie réforme consisterait plutôt à permettre la concurrence entre des systèmes privés. Il regrette également que la réforme en cours n’ait pas rendu possible le développement de retraites par capitalisation qui a notamment comme avantage de reposer sur la responsabilité individuelle. (L’Opinion, 17/12/2019)

Depuis le 17 octobre, le Liban est secoué par un soulèvement inédit qui a entrainé la démission du Premier ministre Saad Hariri. « La situation est très sérieusement bloquée », observe Aurélie Daher, enseignante-chercheuse à Paris-Dauphine, invitée à réagir au micro de France Inter. « Très rapidement, elle est bloquée par le haut parce qu’on est dans une situation où le système politique Libanais veut que le Premier ministre soit obligatoirement un sunnite alors qu’aujourd’hui, tous les premiers ministrables appartiennent à la maison de Saad Hariri. Finalement par derrière, ce serait lui et les personnes l’entourant qui tireraient les ficelles », note Aurélie Daher. « Et puis, on a un vrai blocage aussi par le bas, parce qu’on se rend compte qu’au bout de plus de deux mois après le début des protestations, on n’a toujours aucune réflexion collective sur les leviers d’actions et sur les leviers de changements », poursuit l’enseignante. (France Inter, 17/12/2019)

Douze experts ont accepté d’examiner, pour le compte du mensuel Capital,  les principaux enjeux économiques de l’année 2020. Concernant le pétrole, Philippe Chalmin, professeur d’histoire économique à l’Université Paris-Dauphine, estime que « le prix moyen du Brent devrait tourner autour de 50-55 dollars l’an prochain, contre un peu plus de 60 dollars fin 2019 ». Une baisse qui se justifie par une progression plus importante de l’offre que de la demande. « Cette prévision se base toutefois sur une situation géopolitique inchangée, avec une poursuite de l’embargo américain sur le pétrole iranien et une absence d’aggravation des tensions dans le golfe », souligne l’enseignant. (Capital, janvier 2019)

Dans une tribune, Bernard Colasse, professeur à l’Université Paris-Dauphine et président honoraire de l’Association Francophone de Comptabilité (AFC), s’inquiète des conséquences de l’anglicisation de la recherche comptable francophone. « Sur fond de mondialisation, cette adoption de l’anglais comme langue de la recherche comptable est sans doute inéluctable, mais il confronte la recherche comptable francophone à un défi paradoxal : se mettre à l’anglais pour continuer de progresser sur le plan international, mais prendre le risque de perdre certaines de ses originalités scientifiques et son utilité économique nationale en se mettant à l’anglais », explique l’expert-comptable.
(www.lemonde.fr,18/12/2019)

Le refus, partiel ou total, de la réforme des retraites proposée par le gouvernement n’explique pas à lui seul la colère qui se manifeste aujourd’hui dans le pays, observe Dominique Méda, professeure de sociologie à Paris-Dauphine, et directrice de l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso). « Ce qui s'exprime dans la rue est désormais le ras-le-bol et la peur devant des réformes qui détricotent les protections mises en place en 1945 et étendues lors des décennies suivantes », estime l’enseignante. Les Français ont, selon elle, l’impression « d’un véritable saut dans l’inconnu, insuffisamment préparé et discuté, qui aurait réclamé pour sa mise en œuvre un minimum de consensus et surtout une forte confiance des citoyens dans les maîtres d’œuvre de cette gigantesque opération ».
(Le Monde, 21/12/2019)

Une équipe germano-américaine de linguistes et de psychologues ont cartographié le vocabulaire affectif de près de 2 500 langues. Objectif ? Etablir la plus vaste base de données lexicales au monde pour proposer une réponse aussi générale et étayée que possible à la question du naturaliste anglais Darwin : « les émotions sont-elles universelles ? ». Les premiers résultats, publiés le 20 décembre dans la revue Science, propose un décodage de notre langage affectif. « Avec 2 474 langues examinées, soit un tiers des idiomes du monde, et 24 concepts observés, les chercheurs disposent d’une base d’étude titanesque qui permet d’éviter les biais », note Robin Ryder, mathématicien à l’Université Paris-Dauphine et spécialiste des méthodes statistiques pour l’histoire des langues. « Ils ont aussi vérifié qu’en retirant les langues indo-européennes, leurs résultats restaient inchangés. Donc même si les concepts ont été fixés par des Occidentaux, l’effet observé apparait robuste », poursuit-il.
(Le Monde Science & Médecine, 25-26/12/2019)

Laurent Batsch, président de la Fondation Paris-Dauphine depuis mai 2015, a été nommé médiateur de la région Ile-de-France. Il était maitre de conférences à Paris-Dauphine de 1993 à 1997. Il présida l’établissement parisien de mai 2007 à décembre 2016. 
(Bulletin Quotidien, 30/12/2019)

En difficulté, de nombreux agriculteurs se lancent dans de nouvelles activités, tout en continuant à travailler sur leur exploitation, pour dégager des revenus supplémentaires. « Si l’idée est ancienne, la mise en pratique de la diversification des revenus est récente », note Philippe Chalmin, professeur d’économie à Paris-Dauphine. « Le syndicalisme agricole a toujours été réticent à ce que les paysans vivent d’autres activités que celles issues du travail de la terre. Aujourd’hui, il est admis que l’équilibre de l’exploitation est lié bien souvent à d’autres métiers », ajoute-t-il.
(Le Figaro, 30/12/2019)

Joël Plat, directeur du Master Marketing à l’Université Paris-Dauphine, revient sur l’année compliquée de Huawei. Alors que le patron de Huawei présentait des chiffres inférieurs aux prévisions initiales, Joël Plat estime que l’année n’a été difficile qu’au regard de l’ambition de l’entreprise. Il faut, selon lui, garder en tête que Huawei représente 107 milliards de dollars de chiffre d’affaires, soit « la même chose que Microsoft ».
(BFM Business TV, 31/12/2019)

Etudiants et alumni de Dauphine

Pierre-Emmanuel Bandioli est nommé directeur des résidences étudiants de Gecina et devient membre du comité de direction de la société foncière. Ce titulaire d’un executive LBA de l’Université Paris-Dauphine était dernièrement directeur commercial White Goods au sein de Beko France. 
(Correspondance Economique, 02/12/2019)

Thomas Charvet est nommé « director of commercial property development » de BNP Paribas Real Estate. Titulaire d’un Master financier de l’Université Paris-Dauphine, il a intégré la société de service immobilière en 2006 et occupe, depuis 2018, le poste de directeur général de l’activité promotion immobilier d’entreprise.
(Le 13 Heures de l’Immobilier, 03/12/2019)

Rédacteur en chef de l’information et de la transformation digitale aux « Echos » depuis 2016, Pascal Pogam devrait être nommé directeur adjoint de la rédaction chargé de l’économie à « L’Express ». Titulaire d’une Maitrise en politique économique et diplômé de l’Institut Pratique de Journalisme (IPJ), il a déjà travaillé pour les quotidiens « Le Parisien » et « La Tribune ». (Correspondance de la Presse, 04/12/2019)

Laurent Poigt, spécialiste en fiscalité, devient associé chez PwC Société d’Avocats. Titulaire d’une Maitrise de sciences de gestion et d’un DESS de fiscalité des entreprises de l’Université Paris-Dauphine,  il a rejoint la société en 2011. (Option Droit & Affaires, 04/12/2019) 

Guillaume Wanneroy a été promu directeur général de Réservoir Prod. Titulaire d’un DESS en finances d’entreprise de l’Université Paris-Dauphine, il en était depuis 2008 le directeur général délégué. Guillaume Wanneroy est en outre membre du bureau du syndicat des producteurs et créateurs d’émissions de télévision (Spect). (Correspondance de la Presse, 06/12/2019) 

Lauréat du French Tech Tremplin, la start-up de George Gabonian, étudiant à l’Université Paris-Dauphine, va bénéficier, de la part de l’Etat, d’un investissement de 17 000 euros et d’un accompagnement professionnel de six mois. Son site Yourpurpose, dont le lancement est prévu en janvier 2020, met en relation des entreprises et des travailleurs indépendants grâce à l’intelligence artificielle. Le jeune homme de 21 ans, issu de la communauté arménienne, est arrivé en France il y a près de trois ans, sans parler un mot de la langue, après avoir survécu à la guerre en Syrie. « Je suis devenu entrepreneur par nécessité, c’était quasi sûr que je ne pourrais pas trouver de travail », indique-t-il. (Le Parisien, 10/12/2019) 

Hughes Robidez devient directeur régional du groupe d’audit et de conseil Grant Thornton, qu’il a rejoint en 1992. Diplômé de l’Université Paris-Dauphine, il cumule une expérience de plus de 25 ans sur les métiers de l’audit financier et de conseil.
(Riskassur, 13/12/2019)

Diplômés de l’Université Paris-Dauphine, Inès de Dinechin, présidente directoire d’Aviva Investors France depuis 2016, et Guillaume Dard, président de Montpensier Finance depuis 2004, viennent d’être nommés vice-présidents de l’AFG.
(Option Finance, 16/12/2019)

Xavier Hürstel, jusqu’ici directeur exécutif de Sopra Steria, est nommé membre du comité exécutif et directeur général adjoint d’Aéroports de Paris (ADP). Ce titulaire d’un DESS en banque et finance de l’Université Paris-Dauphine est un ancien collaborateur de Jean-Pierre Raffarin et Dominique de Villepin à Matignon.
(Bulletin Quotidien, 20/12/2019)

Philippe Setbon devrait diriger l’entité commune dans la gestion d’actifs en France de BPCE et La Banque Postale. Titulaire d’un DESS Finances de l’Université Paris-Dauphine était depuis octobre 2019 directeur général d’Ostrum Asset Management (filiale de Natixis IM, groupe BPCE).
(Correspondance économique, 20/12/2019)

Bertrand Bricheux occupera le poste de responsable corporate de la communication et du marketing du Groupe Mirabaud à compter du 1er février 2020. Titulaire d’un Master en économie et finance de l’Université Paris-Dauphine, il était chef des ventes et du marketing pour Mirabaud Asset Management depuis 2011.
(Correspondance de la Publicité, 24/12/2019)

Directrice d’hôpital (Ecole des hautes études en santé publique), Sophie Beaupère deviendra la nouvelle déléguée générale d’Unicancer à compter du 13 janvier prochain. Titulaire d’un Master 2 en gestion publique de l’Université Paris-Dauphine, elle occupe également depuis 2015 les postes de directrice générale adjointe du Centre de lutte contre le cancer (CLCC) de Lyon et de vice-présidente de l’Association des directeurs d’hôpital (ADH).
(Les Echos, 27-28/12/2019)

Etienne Guffroy vient de fonder 3530 La Boîte de Prod, une « société de production audiovisuelle et de conseil spécialiste dans la transformation de l’audio ». Diplômé de l’Institut Pratique du Journalisme (IPJ) en 1997, il occupait le poste de directeur adjoint chargé des antennes d’Europe 1, Virgin Radio et RFM chez Lagardère, entre juin 2018 et juillet 2019.
(La Correspondance de la Presse, 30/12/2019)

Publié le 1 décembre 2019