mai 2019

Université Dauphine-PSL

Isabelle Huault, présidente de l’Université de Paris-Dauphine, déclare lors de l’inauguration du nouveau campus à Londres que « c’est par l’international que passe l’avenir de l’établissement [...]. La nouvelle implantation sera facteur d’une attractivité renforcée ». De plus, c’est ce que souhaite Céline Sansalone, directrice du campus londonien Paris-Dauphine. « On veut recruter davantage d’étudiants internationaux, en particulier les Britanniques », indique-t-elle. Pour l’Université Paris-Dauphine, les établissements d’enseignement supérieur français ont intégré le nouveau principe dans leur stratégie de développement à l’international : l’internationalisation ne concerne plus les flux physiques de personnes, mais notamment le renforcement de la marque de l’établissement. (www.letudiant.fr, 02/05/2019)

Deux accords stratégiques ont été signés, mercredi 8 mai 2019, par Amina Bouzguenda-Zeghal, directrice générale de l’Université Paris-Dauphine Tunis et Mohamed Mellousse, directeur général de Wifak Bank. Ce partenariat vise à promouvoir l’expertise tunisienne en facilitant l’accès aux programmes innovants à forte employabilité tel que l’Exécutive Master en Finance Islamique. De son côté, Wifak Bank souhaite faciliter l’entrée à l’université des candidats répondant aux critères d’excellence de Dauphine, en leur offrant une marge préférentielle. Elle prévoit également de parrainer un ou plusieurs étudiants afin de prendre en charge leurs frais de scolarité. Quant à l’université, elle pourra accorder un tarif préférentiel aux personnes souhaitant faire adhérer leurs enfants aux programmes de formation proposés. (news.sen360.sn, 13/05/2019)

Des « Students ambassadors » de l’Université Paris-Dauphine à Londres ont été choisis pour promouvoir le nouveau campus inauguré le 25 avril par Isabelle Huault, présidente de Paris-Dauphine et Laurent Batsch, président de la Fondation Dauphine. Cinq ans après l’installation de l’établissement à Londres, Dauphine souhaite devenir une université anglaise à part entière. « Avec l’incertitude sur le Brexit, il a fallu accélérer le mouvement », indique Cécile Sansalone, directrice de Dauphine Londres. « Nous pouvons accueillir jusqu’à 300 étudiants », ajoute-t-elle. (Le Monde, 15/05/2019)

La 12e cérémonie de remise des trophées SCOPS (Services, Concepts de vente, Opérations promotionnelles, Programmes de fidélisation, et Stratégies de relation client) organisée par le Master Distribution et Relation Client de l'Université Paris-Dauphine, a dévoilé son palmarès 2019, le 14 mai. Les gagnants sont Stockly, Pro-Box, Uber & Ligne d’Azur de la ville de Nice et Boursorama. Le coup de cœur du public a quant à lui été décerné à « le Drive Tout Nu ». Cet Observatoire de l’Innovation Commerciale s’appuie sur une veille des tendances effectuée par les étudiants et une analyse des professeurs et intervenants dans le Master. Les étudiants disposaient de deux minutes pour présenter ces réalisations innovantes sous la direction de Valérie Renaudin et Joël Plat. LSA publie les documents des étudiants pour l’ensemble de la sélection, y compris ceux des projets non récompensés. (www.lsa-conso.fr, 16/05/2019)

Selon Isabelle Veyrat-Masson, directrice de recherche au CNRS et dirigeante du laboratoire communication et politique à l’Université Paris-Dauphine, la présence du portrait du président de la République Française sur les affiches de la liste Renaissance aux élections européennes, représente surtout un renforcement d’une campagne officielle. Pour la directrice, mettre en avant Emmanuel Macron est une manière d’identifier la liste, et serait à la fois favorable à la République En Marche et un repoussoir pour cette élection. (franceinfo, 18/05/2019)

Enseignants et experts de Dauphine-PSL

Dans une interview accordée à Capital, Philippe Chalmin, économiste spécialiste des matières premières et enseignant à l’Université Paris-Dauphine, propose une analyse de la situation de l’Algérie, du Venezuela et de l’Arabie Saoudite, victimes selon lui « de la malédiction des matières premières ». « Avec les ressources naturelles, les Etats disposent d’une rente qui ressemble à un poison (…) Quand s’y ajoute la corruption des politiques, comme en Algérie et au Venezuela, alors on s’engage vraiment dans la malédiction », explique le professeur. (Capital, 05/2019)

Si la mise en place il y a dix ans de l’Arenh (Accès régulé à l’énergie nucléaire historique) avait pour but de rétablir la concurrence entre les fournisseurs alternatifs et la filiale commerciale d’EDF, le dispositif n’apporte plus aujourd’hui de réponse pertinente aux problèmes du secteur, estime Frédéric Gonand, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine. Pour l’enseignant, « l’idéal serait un modèle où un régulateur puissant contraint un opérateur historique efficace ». (L’Opinion, 02/05/2019)

Interviewé par France Culture, Gabrielle Angey, maîtresse de conférences à l’Institut de Recherche Interdisciplinaires en Sciences Sociales à l’Université Paris-Dauphine, donne son avis sur le débat organisé autour du développement des universités privées en Afrique. Elle explique que les écoles turques se développent surtout en Afrique subsaharienne et bénéficient d’une réputation d’excellence. Cependant, la crise entre le réseau Gülen et l’Etat turc a poussé le gouvernement à faire fermer ces écoles, mais celles-ci doivent rouvrir sous l’égide de l’Etat. Selon la maîtresse de conférences, cette prise en main par l’Etat turc aura sûrement un impact sur le contenu de l’enseignement.  (France Culture, 02/05/2019)

Pour Pascal Salin, professeur émérite à l’Université Paris-Dauphine, une société libérale est une société où l’on exclut au maximum la contrainte. Selon lui, les Français sont plutôt favorables à la liberté, mais pas au libéralisme. « Il existe un faux libéralisme en France », considère-t-il. Le professeur estime donc que seules la liberté d’entreprendre et la baisse des prélèvements fiscaux peuvent apporter la prospérité économique attendue pour le pays. (Entreprendre, 05/2019)

Julien Jourdan, professeur à l’Université Paris-Dauphine, explique que la France apparait remarquablement calme face à l’hypercompétition de l’industrie des médias et du cinéma. Bien que le pays ait su préserver une production diverse par rapport à ses voisins, les recettes vidéo chutent et Netflix est le seul à avoir plus de 5 millions d’abonnés. Selon le professeur, la perte du contrôle de la diffusion « c’est risquer de perdre le contrôle du financement », voire même de la production. « Si la piste n’est pas à négliger, il serait naïf de s’en remettre à des sociétés américaines pour défendre l’exception culturelle française », estime-t-il. (Les Echos, 06/05/2019)

Dans une interview, Philippe Chalmin, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine et spécialiste des questions énergétiques et pétrolières, explique les raisons de la hausse des prix du carburant dans le monde avec les sanctions des États-Unis pour l’Iran. Il est indiqué qu’il va publier le rapport Cyclope sur les énergies mondiales d’ici quelques semaines.  (RMC Story, 06/05/2019)

Au-delà de l’alimentaire, le halal investit désormais des domaines bien plus variés. La finance tient la première place des activités économiques du secteur. Bien qu’elle n’est pas encore très développée en France, Kader Merbouh, directeur de l’Executive Master Principes et pratiques de la finance islamique de l’Université Paris-Dauphine, explique que « la finance islamique pèse 2 438 milliards de dollars, elle a le vent en poupe, croît de 10 % à 15 % par an. Et ce n’est que 1 % de la finance conventionnelle ». Outre la finance, le tourisme est un autre secteur émergent dans le halal, viennent ensuite les vêtements et les cosmétiques. (Aujourd’hui en France, 06/05/2019)

La fin des quotas européens, qui permettaient la stabilité du prix du sucre, met la filière sous tension. Les premières fermetures d’usine ont été annoncées. D’après Philippe Chalmin, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine et spécialiste des marchés des matières premières, « deux phénomènes ont malheureusement convergé au même moment. Les protections européennes se sont effondrées en même temps que le marché mondial ». Une surproduction planétaire, surtout causée par l’Inde a ébranlé le prix du sucre. » Par ailleurs, les betteraviers se sont mobilisés pour sauvegarder les sites industriels et pérenniser la production de betteraves dans les territoires. « Les betteraviers sont extrêmement bien organisés et représentent une puissance économique non négligeable », indique le professeur, en ajoutant que le marché devrait revenir à l’équilibre pour 2019-2020. (www.liberation.fr, 07/05/2019)

Patrice Geoffron, membre du Cercle des économistes, professeur à l’Université Paris-Dauphine, directeur scientifique du TheClimatChain.org, analyse les risques encourus par les États-Unis sur l’évolution en ordre dispersé des cours du pétrole. Les tensions géopolitiques et velléités expansionnistes de Donald Trump entretiennent la volatilité du marché. La vision de domination énergétique des États-Unis, qui l’ont rendu premier producteur de pétrole, n’est pas sans risque. Sa base électorale se crispe alors que le prix à la pompe augmente. Selon le patron de l’Agence internationale de l’Énergie, Fatih Birol, le marché du pétrole traverse une période d’incertitude et de volatilité sans précédent dans son histoire. Une incertitude qui menace les États-Unis, dont le secteur pétrogazier a expérimenté une douloureuse période de prix bas, entre 2015 et 2016, et dont la pétrochimie a investi des dizaines de milliards à la rentabilité déterminée par l’accès au marché chinois.(www.boursorama.com, 13/05/2019)

La 33e édition du rapport CyclOpe, dirigé par Philippe Chalmin, professeur à l’université Paris-Dauphine, paraît ce mercredi. Si l’économie semblait repartir durant les premières semaines de 2018, la situation est totalement différente un an après. Le décollage économique est plus dur que ce qui avait été prévu, et ce, au niveau mondial. En cause, de nombreuses matières premières se trouvent en première ligne dans les conflits commerciaux ou géopolitiques. Philippe Chalmin a annoncé qu’il ne s’attend pas à un rebond des marchés en 2019, car plusieurs matières premières sont aujourd’hui assez largement excédentaires. « On avait pensé qu’on savait maintenant gérer des économies en tenant compte des externalités négatives liées aux matières premières. Ce n’est manifestement pas le cas », regrette-t-il. (Les Echos, 15/05/2019)

Si la viticulture est menacée par le réchauffement climatique, le géographe Jean-Robert Pitte, membre de l’Académie du vin de France, estime que la vigne est une plante incroyablement adaptable car le climat a toujours changé sur la terre. « On en replante aujourd’hui au Danemark et en Angleterre », précise-t-il, en remarquant que la vigne y était déjà plantée avant la petite ère glaciaire du XIVe au XIXe siècle. Mais pour Patrice Geoffron, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine, « ces régions ne deviendront pas pour autant des nouveaux eldorados du vin ». Il assure dans son étude « Dans quel monde boira-t-on du vin en 2050 ? », que la rentabilité des nouvelles régions n’est pas nettement plus garantie que celle des anciennes, dans une économie mondiale plus instable du fait du changement climatique. Pour y faire face, plusieurs stratégies d’adaptation ont été mises en place par les producteurs, notamment comme pour certains acteurs qui ont choisi de créer des cépages par hybridation afin de les rendre « résistants ». (Agence France Presse Mondiale, 15/05/2019)

Un indicateur d’incertitude de la politique économique a été mis au point par une équipe de Stanford. Il en résulte que l’incertitude sur les politiques économiques n’a jamais été aussi élevée qu’aujourd’hui, et qu’elle a des effets significatifs sur la croissance. Selon Frédéric Gonand, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine, l’incertitude sur la politique économique conduite surtout à des dysfonctionnements de marchés importants. « Quand on n’a pas les idées très claires sur son environnement, une façon rationnelle de diminuer son incertitude est de se fier davantage au comportement des autres », explique-t-il.  (L’Opinion, 16/05/2019)

Le télésoin et l’utilisation de l’espace numérique auront sans doute progressé dans dix ans. Les petits soins et les suivis réguliers pourront ainsi être effectués par visio-conférence et e-prescription. « Le télésoin va se développer rapidement car il peut être effectué sans bases de données massives », indique Claude Le Pen, professeur d’économie de la santé à Paris-Dauphine. Par ailleurs, le professeur estime que « l’installation des cabines de téléconsultation connectées sur le territoire sera pour les médecins une petite révolution ». La structuration des données des patients demeure toutefois une condition essentielle à l’avènement de programmes d’intelligence artificielle en médecine.  (Acteurs Publics, 05/2019)

Plusieurs projets ont été développés ces dernières années afin de favoriser la mixité dans les établissements scolaires. Lors d’une conférence à la mairie de Paris, Elise Huillery, professeure d’économie à l’Université Paris-Dauphine et membre de l’équipe de qui suit ces expérimentations, explique que les projets étant encore récents « les chercheurs se limitent à mesurer l’impact sur la composition sociale des établissements. A plus long terme, ils évalueront les effets sur les prétiques pédagogiques, sur le climat scolaire et surtout sur la réussite scolaire, le principal enjeu ». (Le Café Pédagogique, 20/05/2019)

La France ne peut rien face à la Chine sans l'Union Européenne car seule cette dernière est capable de dialoguer d’égal à égal avec Pékin. Mais si elle est apparue jusqu’à maintenant si démunie face à la puissance chinoise, c’est parce que ses 28 Etats membres ont des intérêts très divergents. Les pays du Nord et le Royaume-Uni ont longtemps bloqué toute tentative de bras de fer avec la Chine jugé trop « protectionniste », tandis que les états du Sud ont fait une haie d’honneur à l’empire du Milieu. Pour Jean-Marc Siroën, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine et auteur de « Mondialisation à la dérive. Europe sans boussole », estime que « cet apport d’argent frais a été un soulagement », étant donné la situation économique de la Grèce.  (www.capital.fr, 21/05/2019)

Dans une interview, Henri Isaac, maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine et directeur de la revue « Renaissance numérique », donne son avis sur le déploiement de la 5G sans passer par Huawei. Selon lui, le risque est que les Etats-Unis fassent pression sur la France et les pays européens. « Si on interdit Huawei en Europe, la Chine se fermera aussi », explique-t-il en précisant que « nous sommes actuellement dans une escalade d’une guerre économique ». Par ailleurs, il ajoute que face à la situation, Huawei déploiera son propre système d’exploitation qui remplacera Android sur ses appareils. (franceinfo, 22/05/2019)

Le désir de rester chez soi pour les personnes âgées en perte d’autonomie est une évidence. À Sartrouville, la Croix-Rouge expérimente Ehpad@dom, un dispositif original s’appuyant sur sa résidence, ses services à domicile avec une téléassistance en permanence. Pour évaluer l’expérimentation, la Croix-Rouge décide de faire appel aux chercheurs de l’Université Paris-Dauphine pour le volet socio-économique. Les résultats sont attendus d’ici un an. (Actualités Sociales Hebdomadaires, 24/05/2019)

Catherine Achin, professeure de sciences politique à l’Université Paris-Dauphine, fait partie de ceux qui dénoncent les phénomènes de violences sexistes et sexuelles contre les étudiants dans les universités. Des procédures internes aux universités ont été mises en place et plusieurs établissements et organismes de recherches ont ainsi pris des sanctions contre les agresseurs. Un collectif de près de 500 chercheurs a cependant dénoncé le fait que certaines institutions employaient des stratégies d’évitement pour décourager les victimes et protéger les agresseurs. Ces violences ne doivent pourtant pas être prises à la légère puisqu’elles ont un impact sur la santé physique, psychique et l’avenir professionnel de la personne.  (Le Monde, 24/05/2019)

Etudiants et alumni de Dauphine-PSL

Antoine Genevois a été nommé à la tête de la direction juridique d’EDF dans la filiale dédiée au développement des énergies solaires et éoliennes. Titulaire d’un doctorat de l’Université Paris-Dauphine, il a débuté sa carrière, en 2 000, chez Thalès où il a œuvré notamment à l’élaboration d’une charte de compliance. (Option Droit & Affaires, 02/05/2019)

Julie Reiner est nommée directrice finances, juridique et régulation de SNCF Gares & Connexions. Titulaire d’un DESS finance d’entreprise et ingénierie financière de l’Université Paris-Dauphine, et d’un diplôme des études supérieur comptable et financières, elle était directrice du développement de la SNCF depuis 2018. (Correspondance Economique, 03/05/2019)

Benoît Landau a été nommé directeur de la Plateforme i au sein du groupe SOS. Titulaire d’un master « Conseil et dynamiques de changement dans les organisations » de l’Université Paris-Dauphine, il était coprésident de l’Observatoire international de l’innovation publique de l’OCDE depuis avril 2017.(Bulletin Quotidien, 09/05/2019)

Gilles Bellemère sera le directeur général d’ALD France à partir du 1er juin. Titulaire d’une maîtrise en gestion de l’Université Paris-Dauphine, il a conservé son poste de directeur général délégué, une fonction qu’il occupe depuis 2017. (Les Échos, 09/05/2019)

Florence Hardouin, directrice générale de la Fédération française de football, occupe une place importante dans les affaires du ballon rond. Diplômée d’une maîtrise d’économie-gestion à Paris-Dauphine, qu’elle a obtenue en parallèle de ses entraînements à l’Institut du sport de haut niveau, elle occupe ce poste depuis mars 2013, et intègre ensuite le comité exécutif de l’Union des associations européennes de football (UEFA) en 2016. (Le Parisien, 12/05/2019)

Laure Perréard devient directrice financière de Tikehau Capital. Titulaire du master finance d’entreprise et ingénierie financière de l’Université Paris-Dauphine, elle était directrice du contrôle financier groupe chez Edenred depuis 2015. (Les Echos, 13/05/2019)

Ous Ouzzani devient directeur digital et membre du comité de direction de Camaïeu. Titulaire d’un diplôme de l’École nationale supérieure des télécommunications et de l’Université Paris-Dauphine, il devient CDO du groupe Beaumanoir en 2017. (Les Echos, 16/05/2019)

La filiale d’Airbus Défense et Espace Astri Polska est un laboratoire de recherche issue de l’alliance entre la Pologne et Airbus depuis fin 2010. Alexandre Szalkiewicz, directeur des opérations et financier, présente les diverses activités d’Astri Polska. Alexandre Szalkiewicz a terminé son cusus par un Master en finances et ingénierie financière à l’Université Paris-Dauphine avant de s’envoler pour deux ans de V.I.E à Astana dans une filiale d’Airbus Défense et Espace.  (Le Journal des Français à l’étranger, printemps 2019)

Florence Lao a été nommée secrétaire générale du groupe Adisseo, ex-filiale d’Aventis. Titulaire d’un Master 2 en droit des affaires internationales à l’Université Paris-Dauphine, elle a débuté sa carrière chez Latham & Watkins en 2007 avant de rejoindre le groupe sept ans après. (La Lettre des Juristes d’Affaires, 13/05/2019)

Une mission de conseil junior a été confiée par Vinci Energie à une équipe d’étudiants de l’Université Paris-Dauphine. Encadrés par Serge Perrot, professeur de Management à l’Université Paris-Dauphine, l’équipe a enquêté sur la perception de l’utilisation de l’intelligence artificielle en recrutement. (theconversation.com, 21/05/2019)

Jules Perignon prend la direction de la nouvelle succursale parisienne de la plateforme de croissance du marché, Hubspot. Titulaire d’un Master of science, telecommunications & new media management de l’Université Paris-Dauphine, il occupait le poste de senior sales manager France, Middle East & Africa depuis juillet 2018. (La Correspondance de la Publicité, 21/05/2019)

Plusieurs nominations ont eu lieu au sein du groupe La Poste, dont celle d’Éric Bosdonnat au poste de directeur financier de la branche services-courrier-colis. Titulaire d’un Master de finance à l’Université Paris-Dauphine, il était jusqu’ici directeur des opérations financières et de la trésorerie à la direction des finances et du développement du groupe. (Correspondance Economique, 24/05/2019)

Yannick Jadots’est imposé avec son parti à la troisième place du scrutin des Européennes face à la France insoumise et Les Républicains. Étudiant en économie à l’Université Paris-Dauphine, il avait participé à la création du mouvement « La Déferlante » en 1986 et s’était retrouvé en charge d’organiser la manifestation d’hommage à Malik Oussékine.  (Agence France Presse Mondiale, 26/05/2019)

François Elia deviendra directeur du portefeuille investisseur et des engagements de la Banque des Territoires de la Caisse des Dépôts au 1er juillet. Diplômé de l’Université Paris-Dauphine, il est directeur régional adjoint pour l’Île-de-France de la Banque des Territoires depuis mai 2016. (Correspondance économique, 27/05/2019)

Frédérique Barthelemy vient d’être nommée directrice des affaires publiques et de la communication, Power and Gas Europe, Total Direct Energie. Cette diplômée de l’Université Paris-Dauphine était jusqu’alors directrice de la communication et des relations institutionnelles de Direct Energie. (Correspondance de la Publicité, 28/05/2019)

Laurence Branthomme vient d’être nommée directrice associée de Valtus. Titulaire d’un DESS stratégie, planification, contrôle et d’une Maîtrise des sciences et techniques comptables et financières (MSTCF) de l’Université Paris-Dauphine, elle a débuté sa carrière, en 1992, au sein du département audit d’Ernst & Young. (Correspondance Economique, 28/05/2019)

Pauline Kœnig a été nommée au poste de Head of Entertainment de Havas Sports & Entertainment par Stéphane Guerry, président de l’agence. Cette diplômée de l’Université Paris-Dauphine était auparavant Directrice Marketing de l’offre musique chez Havas Sports & Entertainment. (Média +, 29/05/2019)

Matthieu Riché, directeur de la RSE du groupe Casino, a connu des expériences fondatrices, tant dans l’économie sociale, les nouvelles technologies, que dans l’éducation. « Ma première expérience au sein de l’Adi pour accompagner des chômeurs m’a beaucoup manqué », confie cet ancien diplômé de Paris-Dauphine.(LSA Libre Service Actualités, 30/05/2019)

Joël Trochon, directeur du développement durable et délégué général du fonds de dotation du groupe Seb, a commencé sa carrière à la fondation Agir contre l’exclusion en tant que responsable des relations avec les entreprises. Ce diplômé d’un Master 2 en ressources humaines de lUniversité Paris-Dauphine, estime que cette expérience lui a énormément apportée, avant de retourner dans le privé. « Mon rôle s’étend désormais à l’innovation et au marketing en vue de concevoir une offre de produits ou de services pouvant avoir un impact positif sur la vie des gens et la planète », précise-t-il. (LSA Libre Service Actualités, 30/05/2019)

Publié le 1 mai 2019