juin 2019

Dauphine PSL 

Contribuer à l’émergence d’un écosystème mêlant recherche, enseignement, valorisation et entrepreneuriat sur le thème de la fintech, voilà l’objectif du partenariat signé entre l’université Paris Dauphine, sa fondation, le groupe international d’audit et de conseil Mazars et la banque Crédit Agricole CIB. (Paris-Dauphine se dote d'une chaire fintech par Jean-Jacques Manceau, Forbes France, été 2019)

Le Figaro consacre une tribune à l’Université Paris-Dauphine et à sa présidente, Isabelle Huault. Des grandes écoles et des Universités, Dauphine a « pris le meilleur des deux mondes », estime-t-elle. Son investissement en termes de recherches a permis à Dauphine de se classer 34e mondiale en mathématique au classement de Shangaï. La mise en place d’une pédagogie humaine, comparable à celle des grandes écoles, « est une explication de notre succès », indique Isabelle Huault. Cette institution hybride au rapport qualité prix incomparable est aussi membre de Paris Sciences et Lettres (PSL). « Cela peut attirer de bons étudiants internationaux. C’est aussi l’opportunité d’initier des programmes scientifiques et pédagogiques innovants, comme l’Institut Prairie », explique la présidente. Dans le cadre d’un programme d’égalité des chances, sa fondation finance des cours d’accompagnement pour les élèves de 25 lycées défavorisés d’Ile-de-France. A l’occasion des cinquante ans de l’Université, Isabelle Huault espère lever 50 millions d’euros pour soutenir la recherche et favoriser une politique de logements pour les boursiers. Au programme également, la construction d’une aile de 4000 m2 entre 2019 et 2024.  (Le Figaro, 25/06/2019)

Pour la première fois, le Congrès Mondial des Ecoles de Journalismes se tiendra en France, à l’Institut Pratique du Journalisme (IPJ), du 9 au 11 juillet 2019. Le thème de cette 5e édition sera « Enseigner le journalisme à l’ère de la disruption ». « Lorsque j’ai soutenu la candidature de Paris devant le Conseil mondial des écoles de journalisme, j’ai opté pour ce thème sans savoir à quel point celui-ci allait être d’actualité », explique dans une interview Pascal Guénée, directeur de l’IPJ et président du comité d’organisation de ce 5e Congrès. « Parmi nos thèmes de réflexion figure également la diversité. Une préoccupation majeure dans les établissements. D’ailleurs le Conseil mondial des écoles de journalisme se réunira au même moment », indique le directeur. « C’est une instance qui regroupe une trentaine d’associations consacrées à l’enseignement du journalisme (…) l’idée, c’est que les écoles parviennent à travailler en réseau sur ces thématiques », ajoute Pascal Guénée. (www.letudiant.fr, 27/06/2019)

Enseignants et experts de Dauphine-PSL

Depuis le milieu des années 2000, les sociétés rapatrient leurs services en France. Si le but était de sous-traiter à moindre coût, aujourd’hui cela leur revient plus cher notamment à l’exemple de la Chine où les salaires s’envolent à 20 % par an. El Mouhoub Mouhoud, professeur d’économie à Paris-Dauphine ajoute que cela va « sans parler des factures cachées de la délocalisation comme la reprise des malfaçons, les aléas de livraison, les problèmes de stockage, les risques de péremption, les variations de change, etc. ». Si les sociétés industrielles se relocalisent peu à peu, les services, eux, restent délocalisés, entrainant le départ de plusieurs emplois intermédiaires dans des pays à bas coûts chaque année. (Capital, 06/2019)

Dans une interview, Dominique Méda, Professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine et directrice de l’Institut de recherches interdisciplinaires en sciences sociales, estime que l’unique moyen de créer de l’emploi de façon durable est la mise en œuvre d’une politique écologique et cohérente. « Je le maintiens : réduire le temps de travail était, et est toujours, la bonne voie pour travailler tous et travailler mieux », souligne-t-elle. (Philosophie Magazine, 06/2019)

Si le gouvernement recule sur la taxe carbone en France,  un impôt semblable pourrait émerger au niveau européen sur les produits importés par le continent. Au-delà des obstacles politiques, Christian de Perthuis, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine, estime que la mise en place de cette taxe est très complexe. Selon lui, « elle impliquerait d’établir une comptabilité du carbone présent dans tous les biens du monde ». (Le Monde, 04/06/2019)

Dans les secteurs en croissance, l’intégration des nouvelles recrues est devenue une priorité. Pourtant, « Il ne faut pas raisonner en termes de comparaison de pratiques », avertit Serge Perrot, professeur de management à l’Université Paris-Dauphine. Selon lui, « Le dispositif doit être pensé par rapport aux objectifs (…) Il faut garder à l’esprit que les besoins des nouvelles recrues évoluent au fil du temps, ce qui nécessite d’étaler le processus d’intégration. Il peut aller d’un jour à deux ans ». (Le Monde, 13/06/2019)

Un mouvement de grève touche les services des urgences un peu partout en France. « Cette tension n’est pas nouvelle, mais la réaction est cette fois plus forte que prévue », note Claude Le Pen, économiste de la santé et professeur à l’Université Paris-Dauphine. « Le problème est qu’on n’a jamais bien su organiser la gradation des soins en France », ajoute l’enseignant.  (Ouest France, 12/06/2019)

Dans une tribune, Dominique Méda, professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine, Eric Heyer, enseignant à Sciences-Po Paris, et Pascal Lokiec, professeur à l’école de droit de la Sorbonne estiment que l’article 20 du projet de loi d’orientation, qui revient en débat à l’Assemblée nationale est gravement insuffisant en termes de protection des travailleurs des plateformes. Selon eux, « Le texte se contente d’obliger la plateforme à aborder des thèmes, à informer les travailleurs sur les conditions d’exercice de leur activité et à mettre en place des indicateurs, sans jamais qu’un contenu minimum soit fixé ». (Libération, 11/06/2019)

Dans une interview accordée à France Inter, Brigitte Dormont, professeure à l’Université Paris-Dauphine, donne son avis sur la promesse du président de la République concernant l’accès à la santé pour tous. Le gouvernement a choisi d’améliorer la couverture en faisant contribuer un peu la sécurité sociale, mais surtout en faisant appel aux complémentaires santés, souligne l’enseignante. Ces organismes vont vraisemblablement augmenter leur prix pour couvrir cette nouvelle couverture parce qu’ils vont avoir des dépenses supplémentaires et demanderont donc des cotisations supplémentaires, analyse Brigitte Dormont.  (France Inter, 08/06/2019)

Pour Claude Le Pen, professeur de sciences économiques à l’Université Paris-Dauphine, les deux visions de l’officine en France sont diamétralement opposées. Le paradoxe, c’est que si la première vision – à savoir reconnaître le pharmacien comme véritable acteur de soins primaire – est politiquement dominante, la seconde qui a comme objectif principal d’abaisser le coût de la distribution du médicament en France est économiquement à l’œuvre, analyse l’enseignant. Selon lui, le « modèle politique » et le « modèle économique » de l’officine divergent. « C’est mortel pour le premier pourtant défendu par la profession », ajoute-t-il.  (Le Moniteur des pharmacies, 08/06/2019)

Gilles Chemla, directeur de recherche CNRS à Dauphine Recherches en management, Université Paris-Dauphine, revient dans une tribune au Monde sur la fusion Renault-Fiat Chrysler Automobiles. Le constructeur italien n’en est pas à son premier « coup » financier, une pratique qui lui a permis de surmonter ses difficultés par le passé, rappelle Gilles Chemla. Il ajoute cependant que « cette histoire récente suggère que Fiat a aussi des capacités de négociation redoutables et une capacité à agir en prédateur ». (www.lemonde.fr, 08/06/2019)

Entrés dans le monde de l’entreprise au début des années 2000, les Millennials imposent progressivement une perception du monde professionnel différente de celle de leurs ainées. Même dans le secteur de la finance, ils sont attirés par les « à-côtés » d’une entreprise comme ses engagements en faveur de l’environnement et de l’éducation, observe Bertrand Gibeau, directeur général délégué de Reinhold Partners et chargé d’enseignement en Master finance à l’Université Paris-Dauphine. Pour lui, les nouvelles réglementations ont fait évoluer les mentalités. C’est pourquoi le contenu des enseignements financiers de Paris-Dauphine a été repensé pour expliquer à la nouvelle génération la nouvelle finance régulée, souligne Bertrand Gibeau. (Option Finance, 24/06/2019)

La sortie d’un investisseur est une phase critique et sensible, qui doit être encadrée au niveau juridique quel que soit le mode de sortie envisagé. La première question à se poser alors est de savoir si certaines dispositions doivent figurer dans les statuts de la société ou dans un contrat à part, appelé pacte d’actionnaires. En effet, les « clauses statutaires sont plus protectrices et efficaces en cas d’inexécution de l’une des parties », souligne Dorothée Gallois-Cochet, professeur de droit privé à l’Université Paris-Dauphine PSL. (DAF Magazine, 06/2019)

« Les questions de mobilité sociale ont inspiré depuis deux ans des publications dans les meilleures revues académiques d’économie et d’imposantes publications statistiques », observe Frédéric Gonand, professeur d’économie associé à l’Université Paris-Dauphine. L’enseignant estime que le thème sera bien présent dans les débats de la future élection européenne.  (L’Opinion, 25/06/2019)

Débuté dans les années 70, la prise de conscience environnementale a concordé à l’émergence d’une nouvelle forme de comptabilité : la comptabilité sociale et environnementale. La méthode CARE de Jacques Richard, Professeur émérite à l’Université Paris-Dauphine, est la plus développée en la matière. Elle consiste à réconcilier l’analyse financière et le développement durable en reprenant les principes historiques de la comptabilité pour les étendre à la prise en compte des capitaux naturel et humain.  (www.lemondeduchiffre.fr, 26/06/2019)

Dans une interview, Jean-Hervé Lorenzi, professeur d’économie à l’Université de Paris-Dauphine, s’exprime sur son livre « La nouvelle résistance – Face à la violence technologique » qui vient de sortir aux éditions Eyrolles. Face à une déperdition du politique, certaines personnes se rattachent à la technologie : « l’idée que nous avons c’est qu’une vingtaine d’entreprises peuvent en réalité se substituer progressivement en politique et de fait, diriger le monde (…) Il ne s’agit pas d’être contre la technologie, il s’agit de dire que ce n’est pas à ces gens de décider pour nous, ce qu’on doit faire dans le domaine de la monnaie, sécurité, de nos vies personnelles », explique-t-il. (BFM Business TV, 27/06/2019)

Etudiants et alumni de Dauphine-PSL

Frédérique Barthelemy vient d’être nommée directrice des affaires publiques et de la communication, Power and Gas Europe, Total Direct Energie. Diplômée de l’Université Paris-Dauphine, elle avait été rattachée au Parlement européen à Bruxelles et Strasbourg entre 2003 et 2007 puis devint consultante chez Anthenor Public Affairs, cabinet de conseil spécialisé en affaires publiques. (La Correspondance de la Presse, 03/06/2019)

Emmanuel Paris est le nouveau président de ThyssenKrupp Ascenseurs. Diplômé de l’Université Paris-Dauphine, il a été directeur de la région Paris Île-de-France de ThyssenKrupp Ascenseurs en 2017, puis directeur des opérations commerce et marketing en octobre dernier. (Les Echos, 04/06/2019)

À l’occasion de la Journée mondiale de l’Environnement le 5 juin 2019, des étudiants innovent et se mobilisent pour leurs campus et pour le monde de demain. Selon Camille Lavelle, présidente de Dauphine Durable, l’association étudiante a pour objectif d’informer un maximum les étudiants sur le développement durable pour qu’ils puissent comprendre les enjeux environnementaux et agir en conséquence dans leur quotidien.  (www.mondedesgrandesecoles.fr, 05/06/2019)

Depuis 2015, Olivier Bersihand, directeur général de Geoxia depuis 2015, devient le président du directoire. Diplômé de Paris-Dauphine en Finance d’entreprise et ingénierie financière, il a débuté sa carrière chez Geoxia en 2010 en tant que directeur financier après douze années passées dans des cabinets d’audit et de conseil.(Immo Hebdo, 05/06/2019)

Dans le cadre de son plan stratégique « Défis 2020 », le groupe Apicil a créé en son sein une direction de la stratégie, qu’il a confiée à Damien Dumas. Titulaire d’un DESS Management des systèmes d’information de Paris-Dauphine, ce dernier a été directeur de la gestion santé-prévoyance du groupe depuis juillet 2012. (La Tribune, 06/06/2019)

Ancien nageur, Yannick Agnel, double champion olympique à Londres en 2012, accompagne depuis décembre 2018 des jeunes du Mon Club e-sport (MCES) dans leur carrière de joueurs professionnels de jeux vidéo en qualité de directeur sportif. Selon le nîmois, les sportifs ont des difficultés à se reconvertir car ils ont été trop longtemps cloisonnés à un rôle de jambes et non de tête. Une situation que regrette l’ancien nageur qui s’enthousiasme donc du développement des cursus pour profils atypiques, comme celui qu’il a suivi à l’Université Paris-Dauphine. (Les Echos, 12/06/2019)

Nicolas Prudhomme, ingénieur des ponts, des eaux et des forêts, vient d’être nommé directeur de la maîtrise d’ouvrage et des politiques patrimoniales de l’Union sociale pour l’habitat. Ce titulaire d’un Master management de l’immobilier de l’Université Paris-Dauphine, est depuis mars 2019 membre du Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique.  (Correspondance Economique, 11/06/2019)

Capucine PETRE, vient d’être nommée directrice innovation et engagement responsable au sein du pôle Les Echos Le Parisien Partenaires. Titulaire d’une maîtrise en sciences de gestion et d’un Master recherche en sociologie et communication politique de l’Université Paris-Dauphine, elle était directrice de l’innovation du groupe Les Echos-Le Parisien depuis 2017.  (Correspondance de la Presse, 11/06/2019)

Sébastien François est nommé directeur des ressources humaines du groupe Servyr. Consultant sur des missions de transition ou d’accompagnement en Ressources Humaines, ce titulaire d’un MBA Management des ressources humaines de l’Université Paris-Dauphine, a travaillé au sein de plusieurs entreprises, dans divers secteurs. (Entreprise & Carrières, 10-16/06/2019)

Cyril Meilland devient chargé de mission auprès du directeur général de Crédit Agricoles SA. Ce titulaire d’un DESS en gestion des institutions bancaires et financières de l’Université Paris-Dauphine était directeur de la communication financière depuis 2016. (Correspondance de la Publicité, 21/06/2019)

Philippe Amestoy a été nommé directeur du réseau de la banque de détail Société Générale en France. Ce diplômé de l’Université Paris-Dauphine était depuis 2017 directeur des opérations et de la transformation pour le réseau France de Société Générale. (Correspondance Economique, 25/06/2019)

Dans le cadre de la septième édition du prix de l’égalité des chances dans le Val-D’Oise, Pierre Amougou, étudiant en Master affaires internationales et développement à l’Université Paris-Dauphine, a reçu un chèque de 6 500 euros. Le jeune homme de 21 ans souhaite aller aux Etats-Unis pour passer quelques mois à l’Université de Berkeley et rencontrer des entrepreneurs de la Silicon Valley.  (Le Parisien, 25/06/2019)

Arnaud Muret a été nommé directeur général de l’Opérateur de compétence des entreprises de proximité (OPCO EP). Titulaire d’un DESS Gestion de la technologie et de l’innovation de l’Université Paris-Dauphine, il était jusqu’alors directeur général d’Actalians. (Bulletin Quotidien, 26/06/2019)

André-Louïs Rochet, Baptise Combescure, Thomas Gadolet, Morgane Martin et Pierre Berryer, étudiants du Master 2 Gestion de Patrimoine et Banque Privée de l’Institut de gestion de patrimoine de Paris-Dauphine, remportent la 2e place du Grand Prix de l’ingénierie et la 3é place du Grand Prix du Master du Grand Prix AGEFI du Patrimoine Jeunes Diplômés 2019. (www.presseagence.fr, 26/06/2019)

Suez annonce la nomination de Tiphaine Hecketsweiler en qualité de directrice de la Communication. Membre du Comité Exécutif, elle prendra ses fonctions le 15 juillet prochain. Titulaire d’un diplôme supérieur d’études spécialisées (DESS) en finance d’entreprise de l’Université Paris-Dauphine, elle était dernièrement directrice de la communication de la Fédération française de l’assurance (FFA). (Correspondance de la Publicité, 28/06/2019)

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Publié le 3 juin 2019