mars 2019
Université Paris-Dauphine
Le 6 mars, l’université PSL, qui rassemble notamment le Collège de France, l’Ecole Normale supérieure et l’Université Paris-Dauphine, ouvrira les inscriptions pour sa licence développement durable. C’est la première licence en France « sponsorisée » par une entreprise. BNP Paribas, le seul mécène de cette formation en partie dispensée en anglais, va investir 8 millions d’euros en cinq ans. Elle accueillera une trentaine d’étudiants. La mise en place de cette licence a relancé le débat sur le mécénat d’entreprise à l’université. En effet, une polémique est née après la découverte dans la convention de mécénat entre BNP Paribas et PSL d’une clause de « non-dénigrement » et d’« un comité de pilotage » de la licence posant question sur le respect des libertés académiques. Finalement, la clause de non dénigrement sera remplacée par un article sur le respect de l’image des deux parties, et un comité de suivi et d’information se substituera au comité de pilotage, a annoncé Alain Fuchs, le président de PSL. De son côté, la banque a indiqué qu’elle financera des bourses pour les étudiants. (Les Echos, 04/03/2019)
L’Obs publie en exclusivité les taux d’admis dans les universités en 2018, première édition de Parcours sup. Il dévoile également les établissements le plus sélectifs dans cinq filières en tension. Parmi elles, l’économie-gestion. Dans ce domaine, les formations où les étudiants sont attentivement choisis se situent à Paris mais aussi dans les grandes métropoles régionales comme Lyon ou Montpellier. « Paris-Dauphine - qui, de simple université, s’est transformée en grand établissement sélectif de renommée internationale - pourrait servir de modèle à bien d’autres facs », écrit le quotidien. (L’Obs, 07/03/2019)
L’édition 2019 du classement SMBG des 25 meilleurs masters, MS et MBA en logistique en France, réalisée par Eduniversal, vient d’être rendue publique. Le classement présente quelques changements, notamment dans les 9 formations qui ont obtenu un score de 4 étoiles. C’est entre autres le cas du master Supply Chain Internationale de l'Université Paris-Dauphine, deuxième l’année dernière, qui occupe désormais la première marche du podium de ce palmarès qui repose sur la notoriété de la formation, le salaire de sortie et le retour de satisfaction des étudiants. (Supply Chain Magazine, 03/2019)
Dans une lettre ouverte publiée à l’initiative de Green Finance Observatory, 88 universitaires, enseignants, chercheurs du monde entier et dirigeants européens ont demandé l’abandon des marchés du carbone qui « sont incapables d’atteindre leurs objectifs environnementaux et sociaux ». Ils militent pour « des alternatives plus efficaces » et prônent la mise en place d’un plan de désengagement progressif des énergies fossiles. Néanmoins, tous les universitaires ne sont pas contre ces dispositifs. « Le marché européen est très imparfait. Il a manqué d'ambition et des dysfonctionnements, y compris de graves fraudes, l'ont décrédibilisé. La réforme devrait en partie l'améliorer », explique Raphaël Trotignon, chercheur en économie de l'énergie et du climat au sein de la Chaire Economie du Climat de l'Université Paris-Dauphine qui insiste sur le fait qu’ « il est aujourd'hui le seul outil fait de façon coordonnée entre tous les états membres pour lutter contre le réchauffement climatique ».(www.lesechos.fr, 18/03/2019)
Le président de la République a invité à l’Elysée une soixantaine d’intellectuels dans le cadre d’un grand débat. Dans une tribune, Dominique Méda, professeure de sociologie et directrice de l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (IRISSO) de Paris-Dauphine, explique pourquoi elle a accepté l’invitation et ce qu’elle souhaite lui dire. Pour l’enseignante, un programme équivalent à celui du Conseil de la résistance « doit être mis en place pour entraîner toute la société dans l’indispensable transition. C’est cela que j’aimerais dire au président de la République. C’est cela que je voudrais qu’il entende ». (Libération, 18/03/2019)
L’Université Paris-Dauphine a pour ambition d’être une université de référence, tant au plan national qu’international. Créée en 1968, elle s’est installée dans les locaux du Palais de l’OTAN, construit entre 1955 et 1957. « Dauphine a été initialement construite sur la base d’une expérimentation », explique sa présidente Isabelle Huault. Le statut de « Grand établissement », qu’elle a obtenu en 2004 lui a permis de pratiquer légalement la sélection de ses étudiants et la fixation du coût de ses formations. « Nous attirons de plus en plus de candidats en raison de la qualité de notre formation, reconnue par les milieux professionnels », indique la présidente. En effet, son alliance au sein de l’université de recherche Paris Sciences et Lettres (PSL) constitue un levier pour s’imposer à l’international. L’université, qui fête ses 50 ans, lance actuellement une levée de fonds de 50 millions d’euros, notamment pour la rénovation de ses bâtiments. (Les Titres du Matin Le Figaro.fr, 25/03/2019)
À l’occasion de ses 50 ans, l’Université Paris-Dauphine lance une série de projets : un nouveau logo, une levée de fonds de 50 millions d’euros pour sa fondation, la rénovation de tout son campus d’ici 2025 et la création de 4 000 m2 de bureaux supplémentaires dans lequel s’installeront son Institut pratique de journalisme (IPJ), un learning center et ses masters en finance. Les travaux, d’un investissement total de 120 millions d’euros, financés en grande partie par le Plan campus, débuteront en 2020, pour une durée de cinq ans. Un nouveau programme nommé « Dauphine numérique » sera également lancé afin de promouvoir un écosystème de recherche et de formation de niveau mondial. « Il y a cinquante ans, nous avons construit un tout nouveau modèle pluridisciplinaire autour des sciences des organisations et de la décision. Innovation pédagogique, numérique, accessibilité, durabilité : la modernisation du campus parisien permettra à Dauphine d’affirmer ses atouts et de renforcer son rayonnement en France comme à l’international », explique sa présidente, Isabelle Huault. (orientation.blog.lemonde.fr, 25/03/2019)
L’Université Paris-Dauphine ouvre une nouvelle certification industrie 4.0, axée sur les principaux processus de la Supply Chain ainsi que sur les méthodes et outils de l’industrie 4.0 et du retail 4.0. Proposé dans le cadre d’une convention de partenariat avec la société Advanced Performance 5, spécialiste de l’accompagnement des projets de transformation industrie 4.0, ce certificat vise un public de managers impliqués dans la gestion opérationnelle ou dans les projets de transformation du système productif d’entreprises du secteur industriel. Une réunion d’information avec les responsables pédagogiques se tiendra le 9 avril à Dauphine. Le coût de la formation s’élève à 5 500 euros et les inscriptions seront ouvertes à la fin du mois de mai. (www.actu-transport-logistique.fr, 26/03/2019)
Enseignants et experts de Paris-Dauphine
Dans le cadre de la mission relative aux enjeux de la réalité virtuelle ou augmentée, lancé par le Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA), Jean Martin, avocat à la Cour, chargé d’enseignement à l’Université Paris-Dauphine, sera chargé « d’identifier les aspects du droit de la propriété intellectuelle impliqué dans le secteur. Pour mener à bien sa mission, l’avocat bénéficiera du soutien du Centre national du cinéma (CNC) et de l’assistance d’Angélique Delorme, maître des requêtes au Conseil d’Etat. Les conclusions de cette mission sont attendues d’ici la fin d’octobre 2019.(Satellifax, 28/02/2019)
El Mouhoub Mouhoud, professeur d’économie et vice-président de l’Université Paris-Dauphine, explique les racines économiques et sociales de la révolte algérienne actuelle, qui s’est déclenchée après l’annonce d’Addelaziz Bouteflika de briguer un cinquième mandat. Pour l’enseignant, « le système économique et institutionnel doit être réformé en profondeur ». A défaut, le pays est condamné à sacrifier sa jeunesse et à l’impasse. (mediapart.fr, 04/03/2019)
Dans une interview Christian de Perthuis, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphineet fondateur de la Chaire Economie du climat, explique que la taxe carbone est un outil indispensable pour la réduction des CO2 si elle s’accompagne à une réforme bien plus importante. Selon l’économiste, la taxe carbone permet de renchérir le coût des énergies fossiles pour accélérer la transition vers une société bas carbone. Il recommande donc une réforme fiscale en baissant les taux de prélèvements obligatoires, d’augmenter les dépenses d’investissements, et enfin d’instaurer un système efficace de redistribution avec un revenu universel. Le coût de la taxe doit être compensé en numéraire, pour ensuite les distribuer aux ménages les plus sensibles. (lepoint.fr, 05/03/2019)
Dans une interview, Patrice Geoffron, directeur de Géopolitique de l’Energie et des Matières Premières àl’Université Paris-Dauphine, évoque les entreprises qui continuent d’investir en Algérie, malgré la crise politique qui secoue le pays. Le chercheur cite notamment Total et Sonatrach, compagnie nationale pétrolière algérienne, qui ont renforcé leur coopération dans le domaine de la prospection off-shore et la pétrochimie. Engie a également signé un contrat avec la compagnie algérienne dans le domaine du renouvelable. (France 5, 08/03/2019)
Alexandre Rambaud, chercheur associé àl’Université Paris-Dauphine, explique, dans une interview, que la comptabilité demeure le cœur de la gestion des entreprises et ignore les préoccupations environnementales et sociales, même si certaines entreprises produisent des rapports de RSE. Suite au Grenelle de l’environnement, un nouvel article du code du commerce oblige toutefois les grands groupes cotés à publier dans leur rapport annuel « une déclaration de performance extra-financière », rappelle le chercheur. (France Inter, 09/03/2019)
Dans une tribune, Pascal Salin, professeur honoraire à l’Université Paris-Dauphine, s’oppose à la thèse de Dominique Schnapper, selon laquelle « c’est l’individualisme à l’extrême qui provoque la crise ». Pour l’enseignant, « [les crises] ne naissent pas du fait que les citoyens ont le tort de ne pas respecter le pouvoir politique démographique à cause de leur individualisme extrême, mais du fait d’un pouvoir politique extrême ne respectant pas les besoins individuels ». (Le Journal du Dimanche, 10/03/2019)
Interviewé dans le journal de RFI, Fabien Blanchot, maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine, donne son avis sur la nouvelle structure que devraient adopter Renault, Nissan et Mitsubishi pour diriger leurs trois groupes. Il estime nécessaire d’opter pour une logique d’alliance, pour une direction plus équilibrée. Selon lui, c’est la seule condition au fonctionnement serein de ce genre de fusion. (RFI, 12/03/2019)
L’Institut Louis Bachelier (ILB) vient de lancer Real Estate Finance in Economics (REFInE). Ce réseau de recherche académique d’excellence dédié à l’immobilier commercial travaillera en collaboration avec le fournisseur d’indices boursiers et immobiliers MSCI. « Nous voulons constituer une entité qui sécurise les fournisseurs de données de façon à ce qu’ils acceptent de collaborer avec des équipes de chercheurs clairement identifiés », explique Kévin Beaubrun-Diant, le coordinateur du projet, et professeur à l’Université PSL-Paris-Dauphine. (Les Echos Supplément, 12/03/2019)
Pour mieux appréhender les enjeux des décennies à venir, Philippe Chalmin, historien et professeur àl’Université Paris-Dauphine, revient sur l’histoire économique du XXe siècle dans son ouvrage « Une brève histoire économique d’un long XXe siècle ». Selon le professeur, cette histoire est surtout celle de « la recherche, jamais achevée, de l’équilibre entre croissance et justice sociale ». (Diplomatie Magazine, 03-04/2019)
Renaud Salomon, avocat général à la Cour de cassation et professeur associé à l’Université Paris-Dauphine, fait partie des auteurs de la semaine de la revue La Semaine Juridique - Entreprise et Affaires. (La Semaine Juridique Entreprise et Affaires, 14/03/2019)
Pour El Mouhoub Mouhoud, professeur à l’Université Paris-Dauphine, la situation politique en Algérie va dans le bon sens, étant donné que l’armée joue un rôle neutre dans les clans. Il y a une possibilité d’aller vers une élection libre et un processus de transition douce, estime-t-il. Toutefois, les risques de déstabilisation ne sont pas faibles, prévient le professeur. (franceinfo, 26/03/2019)
A l’occasion du projet de loi qui doit actualiser l’horizon de réduction du nucléaire dans le mix électrique, l’étude d’impact du texte pointe le coût croissant des certificats d’économies d’énergie (CEE), et indique qu’ « entre 2018 et 2020, ce sont près de 9 milliards d’euros qui seront consacrés aux économies d’énergie par le secteur ». La Commission de régulation de l’énergie (CRE) a ainsi lancé un audit d’évaluation des processus d’acquisition des CEE d’EDF. L’Ademe a également lancé « un bilan approfondi factuel du dispositif ». Lors du forum de la transition écologique, Christian de Perthuis, professeur à l’Université Paris-Dauphine, a indiqué avoir « essayé de lancer une thèse sur les CEE dans le cadre de la Chaire Economie du Climat pour évaluer le rendement réel », en vain. (Les Echos, 27/03/2019)
Patrice Geoffron, professeur àl’Université Paris-Dauphine et membre du Cercle des économistes, explique que pour être résiliente, la taxe carbone rénovée devra être « désirable », en distribuant les bénéfices de manière équitable. Selon le professeur, ces bénéfices doivent « ruisseler » jusqu’aux ménages les plus contraints et la taxe doit trouver sa place dans un grand récit : « celui de l’invention d’une société post-carbone, plus prospère, plus apaisée ». (www.lesechos.fr, 27/03/2019)
Etudiants et alumni de Paris-Dauphine
Dans une interview, Christine Kolb, cofondatrice de Sycomore Asset Management, une société d’investissement spécialisée dans les entreprises cotées, revient notamment sur son parcours étudiant. « Attirée par le droit, je me suis perdue en prépa HEC pour finalement m’épanouir à Dauphine. J’en suis sortie avec un master banque finance, un mari et mon premier enfant », raconte la dirigeante qui veut faire de son entreprise une référence de l’investissement responsable. (Madame Figaro, 01/03/2019)
Les étudiants de l’Université de Paris-Dauphine ont rejoint le mouvement international « grève pour le climat ». « Les deux derniers vendredis, nous avons organisé des sit-in dans la fac et des conférences sur l’écologie. Des professeurs nous soutiennent, ainsi que des étudiants de tous les cursus, des sciences sociales à la finance », explique Basile étudiant de Paris-Dauphine, qui estime que « l’écologie apporte des réponses transversales dans énormément de domaines ». Marie, 19 ans, elle aussi à Paris-Dauphine craint que le sujet passe au second plan, derrière le Brexit et la montée de l’extrême droite. (Libération, 01/03/2019)
« De l’Aisne aux grandes écoles » est une association portée par des étudiants souhaitant soutenir les jeunes lycéens dans leurs ambitions et leurs projets d’études supérieures. Maia, présidente de l’association, étudiante en mathématiques à Paris-Dauphine, est très déçue d’être la seule de son département dans sa promotion de 250 élèves. « C'est dommage que le potentiel des lycéens ne soit pas exploité par manque d'informations ou de confiance en soi », confie-t-elle. (Aujourd’hui en France, 02/03/2019)
Dans le cadre du dispositif « Objectif emploi », lancé par la ville de Suresnes, 55 étudiants en situation de handicap sont accompagnés vers l’emploi par des salariés d’entreprises ou d’associations et des agents de la fonction publique. C’est le cas de Jean-Christophe, étudiant en 2e année d’économie gestion à l’université Paris-Dauphine qui est aidé par Corinne Lefèvre, directrice du Pôle Politique de la Ville à la mairie de Suresnes. « J’attends d’Objectif emploi et de Corinne qu'on me donne les codes du savoir être en entreprise dont la fac ne nous apporte pas forcément les clés, apprendre à communiquer sur mon handicap, qu’il soit reconnu », a-t-il expliqué à Suresnes Magazine. (Suresnes Magazine, 03/2019)
Samantha Montalban et Chloé Bernard ont lancé fin 2015 Mina Storm, « la première marque de sous-vêtements pour jeunes filles ». Diplômées de l’Université Paris-Dauphine, ces deux entrepreneures ont décidé de cibler spécifiquement les plus âgées (de 13 à 25 ans), qui représentent désormais 68 % de leur vente. La marque, uniquement vendue sur internet, a déjà débuté des partenariats avec des entreprises telles que La Redoute et Amazon. Elles participeront à Mode City en juillet à Porte de Versailles, et au Who’s Next en septembre. Une collection de maillots de bain est également au programme pour le printemps-été 2020. (Fashion Network, 05/03/2019)
L’Institut Choiseul organise chaque année le Choiseul 100, qui décerne ses palmes aux 100 leaders économiques de moins de 40 ans. Yannick Bolloré, président directeur général de Havas Group, arrive en tête du classement 2019. Pour ce diplômé de l’Université Paris-Dauphine, « rien n’est plus urgent aujourd’hui que de réparer l’ascenseur social en France ». (Figaro Magazine, 08/03/2019)
Arnaud Delaunay vient d’être nommé responsable relations extérieures du groupe Boiron. Titulaire d’un DESS en informatique économique et sociale et d’une maîtrise en sciences de gestion de l’Université Paris-Dauphine, il était auparavant directeur du service de presse du Medef. (Correspondance de la Publicité, 11/03/2019)
Nicolas Dutreuil est nommé directeur général adjoint en charge des finances de Gecina. Diplômé de l’Université Paris-Dauphine et de la Sorbonne, il était directeur exécutif finances de Gecina depuis 2013. (Option Finance, 11/03/2019)
Lara Moutin est nommée Chief Transformation Officer, en charge du capital humain, chez Altavia. Titulaire d’un MBA de l’Université Paris-Dauphine, elle était auparavant consultante sur des sujets variés de transformation chez Unilever depuis 2012. (Entreprise & Carrières, 11-17/03/2019)
Delphine Charles-Péronne vient d’être nommée déléguée générale de la Fédération des Sociétés Immobilières et Foncières (FSIF). Titulaire d’un master de Paris-Dauphine, elle était directrice des affaires fiscales et comptables de l’Association Française de la Gestion financière (AFG) depuis septembre 2010. (Correspondance Economique, 12/03/2019)
Cyrille Bolloré vient d’être promu président-directeur général du groupe Bolloré. Ce diplômé de l’Université Paris-Dauphine était jusqu’à présent vice-président et directeur général délégué du groupe et directeur général de Bolloré Transport & Logistics. (Correspondance de la Publicité, 15/03/2019 ; Le Journal du Net Management, 19/03/2019)
Motivés par l’envie de transmettre à des plus jeunes et le désir d’acquérir de nouvelles compétences, de plus en plus de responsables financiers d’entreprises dispensent des cours dans des grandes écoles ou des universités. C’est le cas de Cyrille Deliry, directeur administratif et financier de La Maison du Convertible. Depuis cinq ans, en plus de son travail à la Maison du convertible, il enseigne les fondamentaux du contrôle de gestion à des élèves de première année du magistère « Sciences de Gestion » de l’Université Paris-Dauphine. « Il y a quinze ans j’étais élève sur ces mêmes bancs, aujourd’hui me voici professeur ! », se réjouit le dirigeant. (Option Finance, 18/03/2019)
Charlotte Dumesnil est nommée directrice générale France de Vueling Airlines. Cette diplômée en économie appliquée de l’Université Paris-Dauphine était directrice des ventes de Transavia depuis 2017. (Les Echos, 21/03/2019)
Thierry Bolloré occupe le poste de directeur général du groupe Renault depuis fin janvier 2019. Titulaire d’un MBA de l’Université Paris-Dauphine, il a été recruté par le constructeur automobile français en 2012. (Le Point, 21/03/2019)
Corinne Blachier-Poisson vient d’être nommée vice-présidente et directrice générale de la filiale française du laboratoire américain Amgen. Titulaire d’un master en économie internationale de l’Université Paris-Dauphine, elle était directrice générale d’Amgen Belgique et Luxembourg en 2016. (Industrie Pharma Magazine, 03/2019)
TS Economie, un think tank au service des étudiants et des personnes désirant découvrir l’économie, propose des instruments d’analyse et de compréhension de l’actualité économique. L’association, fondée en 2018, rassemble des étudiants de diverses universités, comme Paris-Dauphine. Les fiches d’économie, les décryptages de l’actualité économique et les évaluations des politiques publiques, proposés par TS Economie, sont le fruit de la collaboration entre ces étudiants. (www.pantheonsorbonne.fr, 25/03/2019)
Laurent Goutard vient d’être promu directeur des réseaux bancaires internationaux, région Afrique, bassin méditerranéen et outre-mer de Société Générale. Diplômé de l’Université de Paris-Dauphine, il était directeur de la banque de détail Société Générale en France depuis 2009. (Option Finance, 25/03/2019)
Rachel Milutinovic, nouvelle directrice marketing de Danone Waters France et Benelux fait partie des hommes et des femmes du mois du journal Zepros – Métiers Collective. Diplômée de l’Université Paris-Dauphine, elle a fondé son cabinet de conseil, Eagle Consulting en 2018. (Zepros Métiers Collective, 03-04/2019)
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