février 2019

Université Paris-Dauphine

L’Université Paris-Dauphine va lancer à Londres un programme d’accompagnement de start-up, qui s’appuiera sur les alumnis et les entreprises françaises installés dans la capitale britannique. Les bénéficiaires se verront offrir l’accès à un hébergement et à des services à tarifs préférentiels ainsi que la possibilité de profiter du programme jumeau qui existe déjà à Paris.
(Flash Infos Economie Edition Paris-Ile de France-Centre-Val de Loire, 01/02/2019)

Dix ans après leur création sur les modèles de la loi de 2007, Laurent Batsch, président de la Fondation Paris-Dauphine, écrit une tribune sur les fondations d’université. Selon lui, « elles ont besoin de temps pour faire connaître leur existence, attirer l’intérêt de leurs programmes et instaurer la confiance dans leurs gestions ». Et « plus elles seront nombreuses et plus la légitimité de chacune d’elles sera renforcée ». Pour le dirigeant, il faut entre 20 et 40 ans pour constituer un « endowment », qui doit servir principalement « à des projets du moment » même si le développement des Fondations « s’inscrit dans une perspective de très long terme ». Enfin, disposer d’un « endowment » doit être un objectif pour une Fondation d’université, car elle « accompagne le développement de son institution dans une perspective intergénérationnelle ».(orientation.blog.lemonde.fr, 01/02/2019)

Pour répondre aux besoins engendrés par l’industrie du futur, l’Université Paris-Dauphine lancera en avril un « Certificat Industrie 4.0 ». Ce programme, qui vise l’excellence opérationnelle, s’organisera autour des mécanismes majeurs de la supply chain appliqués à l’industrie 4.0. « Pour trouver des relais de croissance et moderniser leur outil de production, les entreprises doivent s'emparer des nouvelles technologies, et attirer des talents capables de maîtriser des techniques de pointe » constate Alain Patchong, coresponsable avec Mustapha Sali de ce certificat. Pour convaincre les entreprises de l’efficacité d’une telle transformation et leur donner les outils pour y arriver, les deux hommes sont « partis du principe que l’industrie 4.0 devait avoir un impact sur le profit, et donc sur le business model ».
(Les Echos, 11/02/2019)

Dans une chronique, Dominique Méda, professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine, revient sur le colloque « Entre l’amendement Taché et l’arrêt Take Eat Easy : de l’autorégulation à la requalification », qui s’est tenu le 24 janvier à l’Université Paris-Dauphine. Contrairement à plusieurs intervenants et à une thèse soutenue par une étude américaine, l’enseignante, qui se fonde, elle, sur l’étude « Trop beau pour être vrai ? » publiée dans ILR Review, estime qu’il est faux de dire que les travailleurs de ces plates-formes sont contre le salariat. D’où pour Dominique Méda, l’importance de la réforme de la régulation des plates-formes en ce moment à l’étude au gouvernement. (Le Monde Eco & Entreprise, 16/02/2019)

Pour améliorer les performances de l’enseignement supérieur français, mal positionné dans les classements internationaux, certains établissements ont choisi de jouer la carte du regroupement. Ainsi, Paris-Dauphine, l’Ecole normale supérieure, l’Ecole supérieure de physique et de chimie industrielles et plusieurs autres établissements, se sont rassemblés sous la bannière Paris Sciences & Lettres (PSL), pour développer des collaborations pluridisciplinaires, mais aussi pour mutualiser les ressources. Pour l’instant PSL est éparpillé en de multiples sites, sans siège unique, mais cela n’inquiète pas Alain Fuchs, son président : « l’important c’est que chacun de nos campus – Montagne Sainte-Geneviève, Dauphine … - soit un lieu d’échanges et de croisements entre étudiants et chercheurs ». (Grand Paris Développement, 02/2019)

La quatrième édition des « House of Finance Days » de l’Université Paris-Dauphine a démarré le 28 février, avec pour thème cette année « La finance autrement ». Ce cycle de conférences s’étale sur un mois et réunit des enseignants et des professionnels de la finance, pour échanger sur des sujets à la fois techniques et d’actualité. « Nous souhaitons aider les participants à anticiper les changements en leur présentant les nouveaux modèles et réflexions qui émergent dans le monde de la finance. Nous sommes actuellement dans une période où des évidences sont remises en question, où la finance se réinvente, avec le Brexit qui va bouleverser la finance européenne », explique Aïda Hamdi, secrétaire générale de l’entité House of Finance à Paris-Dauphine. Les journées seront clôturées par Christine Lagarde. (optionfinance.fr, 22/02/2019)

BFM Business et le JDD se sont associés à Dominique Romano, président du Family Office Guibor, et Moussa Camara, fondateur de l'association Les Déterminés, pour créer un concours entre 16 jeunes entrepreneurs de talent. Les candidats auront chacun 26 minutes pour défendre leur start-up lors d’une émission de télévision baptisée « Accélérateur BFM », devant un jury composé de personnalités engagées en faveur de l’entreprenariat, comme Isabelle Huault, présidente de Paris-Dauphine. Les dix vainqueurs recevront une dotation de 500 000 euros et bénéficieront d’un accompagnement qui leur permettra notamment d’avoir accès à un large réseau professionnel. (Le Journal du Dimanche, 24/02/2019)

lepetitjournal.com consacre un article au campus de Londres de l’Université Paris-Dauphine qui propose une licence en sciences des organisations, totalement dispensée en anglais. « Le diplôme proposé allie les exigences à la française, avec une part de cours basés sur une analyse cartésienne, et d’autres cours de sciences humaines avec une pédagogie anglo-saxonne. Nous proposons des cours interactifs, avec beaucoup de discussions et de présentations, où l’on demande à l’élève d’être le moteur de son apprentissage », détaille Caroline Gautier, responsable pédagogique du campus de Londres. A taille humaine, le campus, qui accueille 170 étudiants, représente une puissance d’innovation pour l’Université Paris-Dauphine. « Avec les mêmes exigences de sélection que pour le campus parisien, les étudiants sont fortement stimulés et confrontés à une grande diversité d’apprentissages », insiste Renaud Dorandeu, directeur du département LSO à Paris. Enfin, grâce au partenariat qui lie Paris-Dauphine et l’University College London, les étudiants de Dauphine ont accès à de nombreuses installations et à une riche vie associative. (lepetitjournal.com, 26/02/2019)

Enseignants et experts de Paris-Dauphine

Le 31 janvier, Marie-Laure Denisprenait les rênes de la CNIL. Olivia Tambou, maître de conférences en droit à l'Université Paris-Dauphine, considère que le « premier chantier » de cette conseillère d’Etat de 51 ans sera d’imposer la crédibilité du règlement général sur la protection des données. « Le RGPD est un texte compliqué, peu clair, appliqué par des autorités de protection qui ont des cultures et des manières de travailler différentes : l’enjeu est d’arriver à les faire travailler dans le même sens », déclare l’enseignante.  (Le Monde Eco & Entreprise, 02/02/2019)

Dans une tribune, Christian de Perthuis de l’Université Paris-Dauphine, explique que la situation de crise provoquée par les gilets jaunes rend possible une grande réforme fiscale, inenvisageable par temps calme, qui tendrait vers plus de justice sociale et moins d’émissions de CO2. Cette réforme rendrait la reprise de la taxe carbone socialement acceptable, car « ses impacts indésirables sur le pouvoir d’achat peuvent être contrecarrés par la réévaluation du revenu minimum d’existence ». (La Tribune, 07/02/2019)

Pour Patrice Geoffron, professeur de sciences économiques à l’Université Paris-Dauphine, bien que la France ait multiplié les mesures en faveur de la transition écologique comme le Grenelle de l’environnement en 2007 et la loi de transition énergétique en 2015, elle n’a pas atteint ses objectifs. La raison ? L’Etat n’a pas su adopter à l’égard des Français un discours « audible et crédible » pour « donner du sens à l’effort » demandé. (Le Monde, 07/02/2019)

Selon Edith Ginglinger, professeur à l’Université Paris-Dauphine, plusieurs études montrent que les investisseurs ne sont pas totalement conscients des risques climatiques et n’en évaluent pas complètement les conséquences. Or, ils affectent « la valeur de certains actifs » et « génèrent des coûts opérationnels plus importants ». Pour l’enseignante, « cette prise de conscience accrue du risque climatique par l'ensemble des acteurs financiers a conduit les entreprises les plus à risque dans ce domaine à réduire leur endettement à long terme d'environ 5 % ». (Option Finance, 11/02/2019)

Pour que la comptabilité puisse jouer un rôle dans la mesure de la RSE, il faut qu’elle intègre les trois capitaux que sont le naturel, l’humain et le financier. Or, aujourd’hui pour Jacques Richard, professeur émérite àl'Université Paris-Dauphine, « ce qui mène le monde à la catastrophe, c’est que le seul capital qui est conservé est celui financier. À l'heure actuelle, il n'y a pas de capital social ni de capital naturel au passif du bilan ». Pour remédier à cette « situation immorale, inique et anti-économique », l’enseignant a mis en place la méthode Care qui rétablit l'équilibre dans le traitement des trois capitaux à conserver. (Actuel HSE, 11/02/2019)

Interrogé sur l’impact de la taxe carbone sur le porte-monnaie des Français, l'économiste Christian de Perthuis, fondateur de la Chaire économie du climat à l'Université Paris-Dauphine, rappelle que la taxe carbone est peu visible, car elle est incorporée à la TICPE et « ne représente que quelques centimes. Douze pour le gazole et dix pour l’essence ». Par conséquent, si le prix du baril chute, cette taxe n’aura aucun impact, selon l’économiste, comme en 2014 où « la taxe a été largement compensée par la chute du cours et les Français l'ont longtemps payée sans s'en rendre compte ». (20 Minutes (Bordeaux), 13/02/2019)

Christian de Perthuis, professeur à l’Université Paris-Dauphine, chaire Economie du climat, estime que « pour sortir par le haut de la crise des « gilets jaunes », il convient de réhabiliter la fonction redistributive de l’impôt sur le revenu ». Pour ce faire, « le prélèvement doit concerner la totalité des revenus, dès le premier euro, avec une progressivité qui constitue un outil irremplaçable de redistribution ». Mais cet élargissement de l’impôt doit être compensé par la création d’un revenu minimum d’existence. Pour l’enseignant, si cette réforme fiscale est mise en place, la reprise de la taxe carbone devient « socialement acceptable ». (Le Monde Eco & Entreprise, 15/02/2019)

Rayan Nezzar, professeur à l'Université Paris-Dauphine, revient sur le refus de la Commission européenne de voir fusionner Siemens et Alstom. Une décision, sur le fond, qui n'est pas une surprise pour lui puisqu’elle applique le règlement de 1989 relatif au contrôle des concentrations. Mais pour l’enseignant, les temps ont changé, le règlement de 1989 doit être révisé « pour y introduire une présomption de taille mondiale pour des marchés stratégiques ». Car il faut que l’Europe protège ses industries et le « made in EU ». 
(Le Monde Eco & Entreprise, 17-18/02/2019)

Dans une tribune, le professeur honoraire d’économie à l’Université Paris-Dauphine, Pascal Salin explique pourquoi il est contre la restauration de l’ISF, une revendication qui selon lui « relève en grande partie d’un sentiment de jalousie ». Pour l’enseignant, « en imposant le capital, on détruit les incitations à accumuler du capital, on porte atteinte à la croissance économique et tout le monde en pâtit ». (L’Opinion, 18/02/2019)

Pour Frédéric Gonand, professeur d’économie associé à l’Université Paris-Dauphine, les coûts des procédures administratives « pèsent lourd sur les entreprises ». Ils sont de l’ordre de 80 milliards d’euros en France. En outre, ils « ralentissent la dynamique et la rapidité d’ajustement d’une économie ». Si ces dernières années, les administrations ont fait des efforts pour diminuer ces coûts, il reste encore beaucoup à faire, estime l’enseignant qui précise que « beaucoup d’idées ont déjà été mises sur le papier ». (L’Opinion, 19/02/2019)

Sarah Abdelnour de l'Université Paris-Dauphine, apporte son analyse dans un article consacré aux notes et commentaires en ligne qui évaluent chauffeurs ou restaurants. Pour la sociologue, « la notation en ligne est plus arbitraire qu'une évaluation encadrée, car on ne sait pas sur quels critères le service est évalué ». (60 Millions de Consommateurs, 03/2019)

Dans une tribune, Pascale Colisson, responsable des Master 1 à l’Institut Pratique du Journalisme (IPJ), de l’Université Paris-Dauphine-PSL, estime que les révélations sur les agissements de la « ligue du LOL », ce groupe Facebook accusé d’avoir harcelé d’autres journalistes entre 2009 et 2012, posent la question de la responsabilité des médias et des écoles de journalisme sur les pratiques éthiques. Certaines écoles en ont pris conscience comme l’IPJ Paris-Dauphine qui a mis en place un management de la diversité, qui a conduit à une labellisation « Egalité et diversité ». (La Tribune, 22/02/2019)

Pascal Salin, professeur honoraire d’économie à l’Université Paris-Dauphine, analyse l’interdiction de la fusion entre les entreprises Alstom et Siemens par application du droit de la concurrence européen, dans une tribune dans Le Monde Eco & Entreprise. L’économiste fustige la philosophie classique en matière de concurrence qui considère qu’un marché ne peut pas être monopolisé par un petit nombre de producteurs. « Le droit de la concurrence, tel qu'il existe actuellement en Europe aussi bien qu’en France et dans beaucoup d’autres pays, devrait être totalement supprimé. Il conduit à des décisions nuisibles », affirme le professeur. (Le Monde Eco & Entreprise, 22/02/2019)

Interviewé dans l’émission Les Matins, Jean-Marie Pillon, sociologue et maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine, explique que Pôle emploi a été créé dans un contexte de minima historique du chômage. La fusion de l’ANPE et du réseau des Assedic a été faite par le gouvernement, qui a décidé de réunir les allocations chômage et l’accompagnement à la recherche d’emploi, pour favoriser les entreprises. Selon le sociologue, même si Pôle emploi n’est pas en mesure de faire baisser le chômage global, il pourrait « mélanger une file d’attente », comme favoriser des profils et laisser les conseillers faire de la prospection. (France Culture, 25/02/2019)

 

Etudiants et alumni de Paris-Dauphine

Aurélie Jolion vient d’être nommée responsable des relations investisseurs et de la communication financière de Mediawan. Cette titulaire d’un DESS de banque et finance de l’Université Paris-Dauphine, était jusqu’à présent responsable de la communication financière de Havas. (Correspondance Economique, 31/01/2019)

Nicolas Chandou a été nommé directeur financier groupe et membre du directoire de Vacanceselect. Titulaire d’un DESS en finance d’entreprise et ingénierie financière de l’Université Paris-Dauphine, il a auparavant occupé le poste de group CFO de Foncia. (Les Echos, 01-02/02/2019)

Loïc Guilloux est promu directeur général adjoint de H2O AM Europe. Titulaire d’une maîtrise d’économie appliquée de Paris-Dauphine, il a désormais la responsabilité du développement stratégique de l’entreprise et siégera au comité exécutif. (Les Echos, 05/02/2019)

Rares sont les Français à s’être fait un nom dans l’industrie automobile américaine. C’est le cas d’Olivier François, diplômé de Sciences PO et de l’Université Paris-Dauphine, qui occupe le poste de directeur marketing de Chrysler et de Fiat depuis 2011.(Le Monde Eco & Entreprise, 05/02/2019)

Isabelle Le Fouest a été nommée secrétaire générale de HAROPA-Ports de Paris et membre du comité exécutif. Titulaire d'un DESS de l'Université Paris-Dauphine, elle occupait jusque-là le poste de responsable de l’université du groupe Caisse des Dépôts.
(Correspondance Economique, 06/02/2019)

Raise Investissement a promu Victoire Simon au poste de directrice de participations. Diplômée de l'Université Paris-Dauphine, elle était jusqu’ici chargée d’affaire private equity chez Raise France. (Option Finance, 11/02/2019)

Olivier Ruthardt a été nommé membre du comité de direction du groupe AG2R La Mondiale Matmut en charge des RH et des relations sociales du périmètre Matmut. Titulaire d’un master 2 de gestion, management et organisation des ressources humaines de Paris-Dauphine et d'un MBA management des ressources humaines de la même université, il était jusque-là directeur général adjoint des ressources humaines et relations sociales du groupe Matmut.  (Entreprise & Carrières, 11-17/02/2019)

Valérie Fort vient d’être nommée directrice financière du groupe Partouche. Titulaire du master 203 finance de marché de l’Université Paris-Dauphine, elle était jusqu’ici responsable trésorerie et financements de CBRE Global Investors. (Correspondance Economique, 13/02/2019)

D’après l’agence financière Bloomberg, Christophe Barraud a été le meilleur prévisionniste de la planète en 2018. Diplômé en économie financière de l’Université Paris-Dauphine, il est devenu une référence grâce aux prévisions économiques qu’il délivre à ses clients : des banques, des institutionnels, des hedge funds. Il avait déjà reçu les titres de meilleur prévisionniste sur les statistiques américaines de 2012 à 2018, meilleur prévisionniste sur les statistiques zone euro de 2015 à 2017 et meilleur prévisionniste sur les statistiques chinoises de 2017 à 2018. (L’Express, 13-19/02/2019)

Emmanuel Gaveau a été nommé directeur administratif et financier du groupe Artémis Courtage. Diplômé de l’Université Paris-Dauphine, il était auparavant directeur général adjoint et directeur administratif et financier chez Quietalis. (L’Agefi Hebdo, 14-20/02/2019)

Thomas Sabatier vient de lancer Pitchichi, cabinet de conseil en choix d’agences, expert en création. Titulaire d’une maîtrise en économie et gestion, marketing de l’Université Paris-Dauphine, il a travaillé jusqu’en 2017 comme concepteur-rédacteur chez JWT Paris.
(Correspondance de la Publicité, 14/02/2019)

Le 15 février a eu lieu une mobilisation lycéenne et étudiante devant le ministère de la Transition écologique pour pousser le gouvernement à agir pour la planète et à respecter ses engagements pris lors de la COP21. Interrogé par Le Figaro, Léo, un des manifestants, qui est étudiant à l’Université Paris-Dauphine, constate que « pour l’instant, la priorité, c’est la croissance économique et la compétitivité, mais la planète n’attend pas ». (Le Figaro, 16-17/02/2019)

Le groupe Czech Media Invest (CMI) a annoncé que le pôle presse de Lagardère Active devenait CMI France. Claire Leost a été nommée directrice générale, et Jean-Philippe Siourd, directeur digital. Ce dernier est titulaire d’un master en administration des finances et des télécommunications à l'Université Paris-Dauphine en 2003. Il occupait jusque-là le poste d’éditeur digital chez Lagardère Active.
(Correspondance de la Presse, 20/02/2019)

La direction d’Elephant International, nouvelle filiale du groupe rattachée à Elephant Story, a été attribuée à Sandra Ouaiss en février. Cette titulaire d’une maîtrise de gestion à Paris-Dauphine a rejoint le pôle fiction du groupe Elephant en mars 2018.(Satellifax Talents, 22/02/2019)

Grâce à l’exemption des taxes de douane pour tous les produits européens au Japon entrée en vigueur le 1er février, Castel espère passer de 4 à 4,5 millions de bouteilles vendues chaque année. « Les Japonais sont friands de culture et de patrimoine. Il faut leur raconter l'histoire de nos vins, de nos terroirs, des artisans vignerons qui les ont élevés », explique Jean-Marc Lisner, directeur de Castel au Japon, diplômé en économie à Paris-Dauphine.(La Tribune, 23-25/02/2019)

Selon une étude du cabinet Heidrick & Struggles, les comités de direction des grands groupes financiers cotés ne comptent que 7 % de femmes. Sous l’initiative d’Inès Mechoucha, dernière année de master en ingénierie financière à Paris-Dauphine, les élèves en master à Paris-Dauphine se sont mobilisés pour mieux comprendre les obstacles qui freinent la carrière des femmes dans la finance. Toutefois, les femmes sont fortement représentées dans les directions des ressources humaines, comme à Paris-Dauphine, qui est l’une des rares universités ayant à sa tête depuis 2016, une présidente.  (madame.lefigaro.fr, 27/02/2019)

Jullien Brezun vient d’être nommé directeur général de Great Place To Work France. Titulaire d’une maîtrise et d’un DESS en marketing et distribution de l’Université Paris-Dauphine, il occupait jusqu’ici le poste de directeur commercial international multicanal d’Annick Goutal, du groupe AmorePacific. (Correspondance de la Publicité, 27/02/2019)

Publié le 14 février 2019