Revue de presse avril 2021

Université Paris Dauphine - PSL

Pour préserver la santé de ses étudiants et lutter contre la détresse psychologique en cette période de crise, l’Université Paris-Dauphine-PSL a signé, le 29 mars, une convention de partenariat avec la Fondation Santé des Etudiants de France (FSEF). L’Université initie, à cet effet, un programme volontariste D.PASSE (Dauphine Psychologie Accompagnement et Soutien pour la Santé Etudiante), qui vise à renforcer les facteurs de résilience, individuels et collectifs des étudiants. Elle a également déployé des efforts matériels et financiers sans précédent pour protéger au mieux les étudiants, mais aussi les personnels. Ainsi, l'Aide sociale d'urgence de Dauphine-PSL a été accrue, passant de 35 000 euros en 2018 à 243 000 euros en 2020. La Fondation Dauphine a également soutenu cet effort en faveur de l'aide d'urgence aux étudiants via une opération de crowdfunding auprès des Alumni, qui a rapporté plus de 110 000 euros en un mois. « Dans ce contexte sanitaire difficile depuis une année maintenant, le bien-être et la santé psychique de nos étudiants constituent une priorité. Grâce à la mobilisation de l'ensemble de notre communauté dauphinoise, de multiples actions ont été mises en œuvre par l'Université au cours des douze derniers mois allant du renforcement de l'aide sociale d'urgence en passant par l'adaptation des conditions d'accueil et d'enseignement », explique Sébastien Damart, vice-président de la Formation et de la Vie Etudiante de Dauphine-PSL. (www.planetegrandesecoles.com, Dorian Zerroudi, 29/03/2021)

Le Cordon Bleu Paris et l'Université Paris-Dauphine-PSL lancent, dès septembre 2021, un MBA in International Hospitality and Culinary Leadership. Cette formation de dix mois permet une immersion au cœur de l'hôtellerie de luxe et de la gastronomie internationale pour accompagner les étudiants vers des postes de management. Elle s'adresse à des professionnels expérimentés ayant déjà trois années d'expérience, conscients des enjeux et des spécificités d'un marché en perpétuel renouvellement. Un enseignement qui leur permet d’acquérir les clés pour définir la stratégie d'établissements hauts de gamme, décider du concept culinaire ou hôtelier de leurs projets entrepreneuriaux mais aussi former et manager des équipes dans un environnement international concurrentiel. À l'issue de la formation, les étudiants se verront décerner trois diplômes : le MBA in International Hospitality and Culinary Leadership de l'institut Le Cordon Bleu ; le MBA in Hospitality and Culinary Management de l'Université Paris-Dauphine-PSL, et le Master Global Management de l'Université Paris-Dauphine-PSL. (www.neorestauration.com, Yannick Nodin, 13/04/2021)

Le Master Supply chain internationale de Dauphine-PSL occupe, pour la troisième année consécutive, la première place du classement Eduniversal des meilleurs masters, mastères spécialisés (MS) et maîtrises en administration des affaires (master of business administration, MBA) en logistique/supply chain en France. Le Master 2 Management de projets logistiques de l’université Paris II Panthéon-Assas se trouve la 4e place, suivi par le Master 2 professionnel Logistique, marketing et distribution de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. (Supply Chain Magazine, 04/2021)

Florence Gelin a été nommée directrice générale des services de l'Université Paris-Dauphine-PSL. Elle remplace ainsi Nicolas Pejout, en poste depuis mai 2018, qui est devenu directeur de la stratégie et du développement et membre du directoire d'EM Lyon Business School. Florence Gelin a rejoint l'Université Paris-Dauphine en 2008 où elle fut responsable de l'accompagnement professionnel et de l'action sociale (2008-2018) et parallèlement directrice du projet PSL au sein de l'Université (2017-2018). Elle était, depuis septembre 2018, directrice générale adjointe des services à l'Université Paris-Dauphine, chargée de PSL, de l'accompagnement professionnel et de l'action sociale. (Correspondance Economique, 21/04/2021)

Alors que l’intelligence artificielle (IA) sera très bientôt omniprésente dans nos sociétés, il est impératif de lui fixer un cadre éthique. Sans cet encadrement, les risques de dérives et les dangers seraient innombrables. D’ailleurs, les auteurs de science-fiction redoutent depuis des décennies qu’une IA incontrôlée puisse accroître les inégalités sociales, donner lieu à des massacres immoraux sur les champs de bataille, et même mettre en péril l’avenir de l’humanité. Afin d’aborder ces problématiques cruciales pour le futur, Marie Langé, fondatrice du cabinet de conseil en Data & IA AMASAI et responsable de l’offre Data chez Adone Conseil, est intervenue lors du webinar « Data Science, biais et éthique » organisé par l’Université Paris Dauphine-PSL. L’alumni de l’Executive Master Statistique & Big Data de Dauphine Executive Education a évoqué à cette occasion quelques exemples de biais dans le domaine de l’IA, et les solutions envisageables sur ce sujet. (www.lebigdata.fr, Bastien L, 26/04/2021)

Une vingtaine d'établissements de l'enseignement supérieur, dont Dauphine-PSL, viennent de rejoindre l'Accord de Grenoble. Ils s'engagent ainsi à élaborer des plans d’actions répondant à tous les objectifs de l’Accord, c’est-à-dire à former 100 % des personnes inscrites dans l’établissement aux enjeux de la transition socio-écologique, augmenter la participation de la recherche dans l’effort de transition, suivre et publier son empreinte carbone ou encore réduire les émissions de gaz à effet de serre. Cette initiative est portée par l’association COP2 Étudiante, qui veut faire basculer l'enseignement supérieur dans la transition écologique. Selon le président de l’association, Florent Vince, une deuxième vague d’établissements, plus d’une trentaine, ont signalé leur volonté de signer l’Accord de Grenoble. « On se félicite de cet engouement et on espère lui donner plus d’ampleur pour créer une vraie bascule sur la place de l’écologie dans l’enseignement supérieur », souligne-t-il. (www.novethic.fr, Marina Fabre, 27/04/2021)

Le Center for World University Rankings (CWUR) a publié, le 26 avril, son nouveau classement des meilleures universités 2021-2022. Cinq établissements français se hissent dans le top 50. L'Université Paris, Sciences et Lettres (PSL), composée de onze établissements dont le Collège de France, Paris-Dauphine ou encore l'ENS, se retrouve, pour la deuxième année consécutive, à la première place des universités françaises et à la 21^e place mondiale. Elle est suivie par Paris-Saclay à la 32^e place, Sorbonne Université à la 36^e place, l’Institut Polytechnique de Paris à la 41^e place puis l’université de Paris à la 42^e place. (etudiant.lefigaro.fr, 28/04/2021)

Enseignants et experts de Dauphine-PSL

Afin de soutenir la formation et les travaux des jeunes chercheurs, la société de gestion indépendante RGreen Invest, spécialisée dans l’investissement et le financement d’infrastructures dédiées aux énergies renouvelables et à l’adaptation au changement climatique, a annoncé le 1er avril un partenariat avec la Chaire Economie du Climat. Cette plateforme de recherche dédiée à l’économie de la transition énergétique est une initiative lancée par l’Université Paris-Dauphine en 2010, sous l’égide de la Fondation Institut Europlace de Finance, pour former les jeunes chercheurs en accueillant des stagiaires, doctorants et postdoctorants. Elle ambitionne aussi d’établir un pont entre la recherche universitaire et le monde de la décision publique et privée, tout en contribuant au débat public via des travaux de dissémination scientifique et l’organisation d’évènements. L’activité de la Chaire est organisée en trois pôles de recherche réunissant une équipe de 20 chercheurs permanents et 15 chercheurs associés dédiés autour de thématiques et secteurs précis dont l’innovation bas carbone, l’agriculture et les forêts. (www.lecourrierfinancier.fr, 02/04/2021)

Dans une tribune au Monde, Christian Schmidt, professeur d'économie émérite à l'Université Paris-Dauphine-PSL, note que la crise sanitaire semble avoir converti au keynésianisme même les pays européens restés jusque-là les plus réticents. En effet, toutes les politiques publiques de relance reposent sur ce que Keynes nomme « la propension à consommer », à laquelle il a consacré la totalité du livre 3 de sa « Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie », précise l’économiste. « Keynes y prend soin de distinguer ce qu'il appelle les facteurs objectifs, qui correspondent aux relations entre les agrégats macroéconomiques (revenu, consommation, emploi), des facteurs subjectifs, sur lesquels il précise qu'ils ne soulèvent guère de problèmes et auxquels il ne conviendrait donc pas, pour lui, de s'attarder », explique Christian Schmidt. Une exception d'importance se trouve pourtant mentionnée par Keynes lui-même au hasard d'un curieux détour dans son analyse des facteurs objectifs qui déterminent cette propension à consommer. Il s'agit « de l'influence profonde qu'exerce, dans certains cas exceptionnels, sur la propension à consommer, le développement d'une incertitude extrême quant à l'avenir et à ce qu'il cache », souligne l’enseignant. « C'est précisément dans ce type de situation que nous nous trouvons aujourd'hui. En pareille circonstance, les liens classiques entre revenu et consommation définis par la macroéconomie se révèlent inopérants », résume-t-il. (www.lemonde.fr, Christian Schmidt, 03/04/2021)

Alors qu’un troisième confinement vient d’être annoncé par le président de la République, Dominique Méda, professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine, estime qu’il est essentiel de se plonger dans les analyses qui tirent les enseignements du premier. Elle explique, dans une chronique, que « les classes populaires, déjà fragilisées, sont celles qui ont payé le plus lourd tribut à la crise en continuant à travailler sans moyens de protection ou en perdant leur emploi et en connaissant pour la plupart de graves difficultés financières, pendant que les professions les mieux protégées par leur statut d’emploi pouvaient continuer à télétravailler et à épargner ». Selon la sociologue, la pandémie « a achevé de rendre éclatantes les failles de notre Etat-providence et constitue d’une certaine manière une occasion unique d’engager une réforme structurelle de celui-ci en faveur des plus modestes ». C’est pourquoi, Dominique Méda appelle à « la mise en place non seulement d’une prime, mais bien d’une véritable révision des classifications et des grilles salariales, rehaussant de façon permanente les rémunérations de ces personnes à la hauteur de leur contribution déterminante à la vie sociale, de même qu’une réflexion approfondie sur les fondements de la hiérarchie des salaires ». (Le Monde, Dominique Méda, 04-06/04/2021)

Face aux mutations du dialogue social en cette période de crise, le Master Négociations et relations sociales de Dauphine-PSL réunit des professionnels expérimentés, qui peuvent aussi bien être en poste du côté des ressources humaines que représentants du personnel. Ce mélange d’expériences permet de confronter les positions, les fonctions et fait naitre un échange constructif. « C’est un véritable avantage avec ce Master, c’est un laboratoire ! Toutes les situations cohabitent et s’échangent, avec un kaléidoscope extraordinaire de métiers. Il y a peu de lieux où cela est possible, l’Université en fait partie et je m’en félicite, cela donne lieu à des échanges riches et une respiration intellectuelle », se réjouit Gérard Taponat, responsable de ce Master. D’autant plus qu’« il va falloir travailler ensemble, pour encaisser le choc. Face à la crise, la solution passera nécessairement par plus d’échanges entre cadres syndicaux et DRH », souligne-t-il. (www.focusrh.com, 12/04/2021)

Les faillites sont à un niveau anormalement bas alors que les annonces de suppressions d’emplois se succèdent. En effet, la Banque de France n’a dénombré que 31 212 défaillances en 2020, contre 51 202 en 2019. Anne Epaulard, professeure de macroéconomie à Dauphine-PSL et conseillère scientifique à France Stratégie, a coécrit plusieurs articles sur le sujet. Selon elle, « cette crise si violente et inhabituelle comportait deux risques majeurs, celui que des entreprises viables et productives ne trouvent plus de financement, et celui que des entreprises qui auraient dû faire faillite continuent à exister ». « Le premier, plus dangereux que le second, a été évité grâce au soutien public massif », précise l’enseignante. « Alors que d'ordinaire des entreprises avec des dettes importantes peuvent inquiéter sur leur pérennité, dans les circonstances actuelles, certaines pourraient se désendetter avec la reprise, sans aide pour reconstituer leurs fonds de roulement », ajoute l’experte. (Paris Match la Quotidienne, Anne-Sophie Lechevallier, 12/04/2021)

Contrairement à certaines croyances, l'attachement d'un salarié à sa nouvelle entreprise n'est pas automatique. Pour Serge Perrot, professeur des Universités à Dauphine-PSL, « c’est un peu comme dans une relation humaine, les premières impressions sont structurantes, il faut faire un effort, car, si on part sur une fausse note, celle-ci peut traîner ». Par ailleurs, « des recherches montrent qu'il existe un lien fort entre les pratiques d'intégration et plusieurs indicateurs, comme le niveau de satisfaction du salarié, son implication, son efficacité et ses intentions de départ sur le court terme », rapporte l’enseignant. Selon Serge Perrot, l'intégration obéit à un double processus : « cette période, qui peut varier selon les personnes et les métiers, consiste d'abord à comprendre et à apprendre les codes et la culture de l'entreprise, son métier, découvrir ses collègues. Puis ensuite à l'intérioriser : dans quelle mesure ce que fait l'entreprise, sa façon de fonctionner, ses valeurs, me correspondent ou pas », explique-t-il. (www.lemonde.fr, Léonor Lumineau, 13/04/2021)

Depuis quelques mois, de nombreuses études insistent sur la pertinence économique de la stratégie d’élimination du Sars-CoV-2, surnommée « zéro Covid ». Cette stratégie, qui consiste à frapper vite et fort, protégerait davantage la croissance que de chercher à atténuer l’ampleur des contaminations pour éviter la saturation des hôpitaux. C’est « un investissement économique rentable avec des effets positifs durables », affirme l’économiste Cécile Philippe. De son côté, Miquel Oliu-Barton, maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine, a réalisé, avec sept coauteurs, une étude, pas encore publiée, sur le niveau de liberté dans cinq pays pro-élimination (Australie, Islande, Corée du Sud, Nouvelle-Zélande et Japon) par rapport au reste de l’OCDE. Il en ressort que « les partisans du zéro Covid connaissent moins de restrictions que les autres », car l’effort demandé aux populations ne dure qu’un temps, révèle le mathématicien. (Le Journal du Dimanche, Emmanuelle Souffi, 18/04/2021)

Afin de faciliter au mieux l’insertion de leurs futurs diplômés en finance, la plupart des universités et des grandes écoles ont jugé nécessaire de revoir leurs dispositifs. L’Université Paris Dauphine-PSL a, pour sa part, donné la priorité au présentiel pour les étudiants en première et en dernière année lorsque la situation sanitaire le permettait. L’accueil sur site en première année est important pour l’intégration des jeunes dans leur parcours de formation et pour l’acquisition des fondamentaux, explique Serge Darolles, responsable mention finance, professeur de finance à l’Université Paris Dauphine-PSL. Par ailleurs, « pour les accompagner au mieux dans leur insertion professionnelle, nous avons mis en place un nouveau diplôme universitaire (Diplôme universitaire d’aide à l’insertion professionnelle) », indique l’enseignant. D’ailleurs, ce DUAIP a aussi permis aux étudiants en M2 de Dauphine de terminer leur stage de fin d’études au-delà de la fin de leur année universitaire, initialement prévue au 15 décembre 2020, précise Serge Darolles. Enfin, il permet également à des jeunes ayant terminé leur M2 de se réinscrire à Dauphine pour effectuer un ou plusieurs stages en 2021, et renforcer ainsi leur expérience sur le terrain, complète le responsable. (Option Finance, 19/04/2021)

Selon Patrice Geoffron, professeur à l’Université Paris Dauphine-PSL et membre du Cercle des économistes, la crise en cours est venue fonder des attentes de « souveraineté industrielle » de toutes parts, ce qui suppose de déterminer les orientations susceptibles de renforcer la capacité collective à affronter de prochains chocs. « Ces priorités sont évidentes s’il s’agit des produits et équipements médicaux... mais plus difficiles à étayer au-delà », souligne l’enseignant. « Dès lors qu’il faut une boussole, observons que le déploiement des technologies bas carbone est l’antidote à une gamme assez large de menaces pour l’Europe, et permettrait de renforcer même son attractivité », analyse Patrice Geoffron. Ainsi, l’Europe ne doit pas négliger sa capacité à attirer des productions industrielles à la recherche d’une électricité propre ou de chaînes logistiques vertes, estime-t-il. En effet, elle gagnera en souveraineté, face à de prochains chocs, si elle est plus avancée sur la voie d’une société décarbonée, insiste le professeur. (Les Echos, Patrice Geoffron, 21/04/2021)

L’association CERCES (Cercle des Comptables Environnementaux et Sociaux) a été officiellement lancée le 22 avril. Lors de la conférence de lancement, les membres fondateurs, autour d’Hervé Gbego, président du cabinet Compta Durable et d’Alexandre Rambaud, directeur de la Chaire Comptabilité Ecologique portée notamment par les universités Dauphine-PSL, AgroParisTech et l’Université de Reims-Champagne-Ardenne, ont présenté les concepts théoriques et des retours d’expériences d’entreprises ayant testé les nouvelles méthodes comptables. (www.agridees.com, Francky Duchâteau, 30/04/2021)

Etudiants et alumni de Dauphine-PSL

Pour clôturer l'initiative solidaire lancée avec « le club des jeunes reporters », franceinfo crée le « Prix du Jeune Reporter » afin de récompenser le meilleur étudiant-journaliste. La station de radio réaffirme ainsi son soutien à la jeunesse en permettant au gagnant d'intégrer sa rédaction radio pour un stage de deux mois. Selma Riche, de l'Institut Pratique du Journalisme (IPJ) de l'Université Paris Dauphine-PSL, fait partie des étudiants-reporters présélectionnés, pour son reportage sur la manifestation de soutien à Julie, victime de viol. (www.presseagence.fr, 01/04/2021)

Apax France annonce une série de nominations, dont celle de Raphaël Delmarre au poste de secrétaire général et responsable de l'équipe « administration des fonds », et d’Annick Bitoun en tant que managing director debt capital markets. Raphaël Delmarre possède un Master 225 de Dauphine-PSL, tandis qu’Annick Bitoun est titulaire d’un Master économie banque finance assurance de Dauphine-PSL.(capitalfinance.lesechos.fr, 02/04/2021)

L’ancien ministre tunisien de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et des TIC, Tawfik Jelassi, devrait être nommé sous-directeur général pour la communication et l’information à l’Unesco. Diplômé de l’ISG Tunis, il a obtenu une Maîtrise en Informatique Appliquée à la Gestion (MIAGE) et un diplôme d’Etudes Approfondies (DEA) en Informatique des Organisations à l’Université Paris Dauphine-PSL. Tawfik Jelassi est également titulaire d’un Doctorat Ph.D. de New York University. (www.espacemanager.com, 02/04/2021)

Michel Schmitt, ancien vice-président numérique de Paris Sciences et Lettres, est devenu président de la section « Innovation, compétitivité et modernisation » du Conseil général de l'économie, de l'industrie, de l'énergie et des technologies. Docteur de l'Ecole des Mines de Paris et HDR de Paris-Dauphine, il était président suppléant de la section « Technologies et société » de ce conseil depuis septembre 2020.(Correspondance Economique, 07/04/2021)

Le groupe Barrière a annoncé, le 6 avril, la mise en place d'une nouvelle organisation, avec la création d'une direction de la stratégie & du développement, à compter du 1er mai. Alexandre Desseigne-Barrière se voit ainsi confier cette nouvelle direction. À ses côtés, Julien Huel est nommé directeur général adjoint. Titulaire d'un Master de gestion de l'Université Paris Dauphine-PSL, Julien Huel était directeur de la restauration de cette entreprise depuis 2016. (Correspondance Economique, 07/04/2021)

Sara Fert est nommée directrice du département solutions affinitaires de la direction affinitaire et marchés spécialisés de Gras Savoye Willis Towers Watson. Titulaire d’un DEA banque-finance de Paris II et d’une Maîtrise de mathématiques appliquées de Dauphine-PSL, elle a rejoint cette société en juin 2019 (www.agefi.fr, Laurence Cattelan, 01/04/2021)

Le Conseil d'administration du groupe GECI International a acté, le 10 avril, la démission de Nathalie Lebargy de son mandat d'administratrice avec effet immédiat, et a décidé de coopter Clara Otto en qualité d'administratrice pour la durée du mandat restant à courir. Titulaire d'un Master II de l'Université Paris Dauphine-PSL, Clara Otto est directrice administrative et financière de la Chaire de Philosophie à l'Hôpital. Elle est aussi Partner du cabinet L'Alliance Révision (Luxembourg). (lesechos-comfi.lesechos.fr, 12/04/2021)

Pierre-Yves Genon devient directeur du Campus lyonnais de l’ESCCA School of Management. Installée à Lyon depuis cinq ans, cette école a pris place au sein des anciens locaux des Laboratoires Mérial à Gerland qui accueillent désormais 750 étudiants. Diplômé en Finances Internationales de l’Université Paris Dauphine-PSL, Pierre-Yves Genon est l’un des maîtres d’œuvre du développement de ce campus, dont il était le directeur-adjoint pendant quatre ans. (www.lyon-entreprises.com, Dominique Largeron, 12/04/2021)

Digiteka Advertising nomme Emine Mnasser en tant que sales strategist officer. Titulaire d'un Master de Gestion des télécommunications et des nouveaux médias de Dauphine-PSL, il était, depuis octobre 2017, chef de groupe multiscreen à MédiaCom, en charge du compte Toyota. (Correspondance de la Presse, 13/04/2021)

François-Xavier Holderith a été nommé directeur financier de la Compagnie des Alpes, et devient membre du comité exécutif du groupe. Titulaire d’une Maîtrise en finance de Dauphine-PSL, il était directeur de la trésorerie et du financement de Verallia Packaging depuis août 2015. (Correspondance Economique, 15/04/2021)

Virginie Flore devient directrice des ressources humaines de Spie Batignolles, et intègre le comité exécutif du groupe. Titulaire d’un Master 2 en gestion des ressources humaines et des relations sociales de Dauphine-PSL, elle a rejoint cette entreprise en 2016 en qualité de directrice développement RH, puis directrice performance et innovation RH. (Entreprise & Carrières, 12-18/04/2021)

La 14ème cérémonie de remise des trophées SCOPS s’est tenue le 30 mars. Orchestrée par le Master Distribution et Relation Client de l’Université Paris-Dauphine-PSL sur le thème de la résilience, cette cérémonie a été coanimée par deux étudiantes, Julie Jochim et Margot Sicard. Quatre trophées ont été décernés par les 24 membres du jury, composé de professionnels du retail, d’experts et de décideurs. Ainsi, Freepry a reçu le titre du meilleur service d’aide à la vente, tandis que l’opération Agir pour les restos a obtenu celui de meilleure opération commerciale. Le prix du meilleur concept de vente a été décerné à Youzd, et le prix de la meilleure stratégie relationnelle a été attribué à Monop' x Le Petit Ballon. Enfin, le Don de Giga a reçu le prix de l'innovation solidaire de l'année, en partenariat avec MicroDon. (LSA La Quotidienne, Yves Puget, 09/04/2021)

Le président de l’Assemblée nationale française, Richard Ferrand, a décidé de renouveler Abdeldjellil Bouzidi, membre de l’Autorité de la statistique publique (ASP) pour un mandat de six ans, à compter du 6 mai prochain. Docteur en économie industrielle de l’Université Paris III Sorbonne Nouvelle, il est diplômé de l’Université catholique de Louvain et de Dauphine-PSL. Abdeldjellil Bouzidi est, par ailleurs, dirigeant d’Emena Advisory. (presidence.assemblee-nationale.fr, 16/04/2021)

Après avoir contribué pour Danone à la création du marché des yaourts lactés en Chine, Charles de Kervénoaël est désormais à la tête de St Hubert, champion tricolore des margarines avec sa marque Oméga 3. Le dirigeant, diplômé de Dauphine-PSL, vient de lancer en France une gamme de yaourts à base d’avoine, de quoi surfer sur l’engouement des consommateurs pour le végétal, via une alternative au controversé soja. Selon lui, l’ultrafrais d’origine végétale pèse 110 millions d’euros en France et a affiché une croissance de 44 % sur ces quatre dernières années. (Les Echos, Julie Le Bolzer, 19/04/2021)

Carole Spada devient directrice régionale adjointe des affaires culturelles de la région Île -de-France. Titulaire d'un diplôme d'études supérieures spécialisées en administration et gestion publique et d'un DESS en management des institutions culturelles de Dauphine-PSL, elle était précédemment directrice régionale adjointe déléguée des affaires culturelles de cette région, chargée de l'action territoriale et des industries culturelles. (Bulletin Quotidien, 19/04/2021)

Sébastien Bourgeois rejoint BNP Paribas Real Estate Investment Management en qualité de directeur du département « Real Estate Project Management ». Titulaire d’un DESS d’ingénierie d’immobilier d’entreprise des universités Dauphine-PSL et Marne-la-Vallée, il était « Head of Asset Management Offices & Retail » de Stam Europe depuis 2018. (Le 13 heures de l’Immobilier, Arthur de Boutiny, 20/04/2021)

Goodwin Paris structure son pôle venture avec l’arrivée d’Anne-Charlotte Rivière en tant qu’associée. Titulaire d’un DESS droit des affaires internationales, et d’un MSG droit des affaires et management de Paris-Dauphine, elle exerçait au sein de Dechert depuis 2009, après des expériences chez Veil Jourde et Fried Frank. (capitalfinance.lesechos.fr, 20/04/2021)

Adrien Peyroles devient directeur général France de Bureau Vallée. Diplômé de Dauphine-PSL, il était, depuis 2018, directeur communication & digital au sein de la centrale de cette enseigne spécialisée dans les fournitures de bureau et de la papeterie. (Exécutives, 22/04/2021)

L'ancien ministre Matthias Fekl fonde, avec Patrick Klugman et Ivan Terel, tous deux avocats au barreau de Paris, la plateforme Equanim, dédiée à la médiation internationale des affaires. Titulaire d'un Master 1 en droit privé de l'université Panthéon-Assas (Paris-II) et d'un Master 2 en droits des affaires de Dauphine-PSL, Patrick Klugman est co-fondateur du cabinet Grinal Klugman Aumont et Associés. (Correspondance Economique, 26/04/2021)

Samira Bouadi est nommée Chief Data Officer de BNP Paribas Real Estate, et conserve son poste au sein du pôle Business Services, en tant que directrice du département Data Science & Analytics Office. Titulaire d’un Master en modélisation, optimisation, décision et organisation de l’Université Paris Dauphine-PSL et Mines ParisTech, elle a rejoint cette entreprise en 2018 en qualité de Head of Data Science. (www.businessimmo.com, 26/04/2021)

Pierre Goguet devrait être renouvelé de ses fonctions en tant que président de CCI France et membre du Conseil économique, social et environnemental. Titulaire d'une Maîtrise en sciences économiques de l'Université Bordeaux-IV et d'un 3e cycle de finance de l'Université Paris Dauphine-PSL, il est président du directoire d’Exco-Ecaf, société d'expertise comptable et de commissariat aux comptes qu’il a fondée en 1989. (Bulletin Quotidien, 27/04/2021)

Nader Masmoudi est élu membre du département de mathématiques, mathématiques appliquées et statistiques de l’Académie américaine des arts et des sciences. Titulaire d’un Doctorat en mathématiques de l’Université Paris Dauphine-PSL et d’une Habilitation en mathématiques, il travaille comme professeur en mathématiques à l’Institute of Mathematical Sciences de l’Université de New York. (www.leconomistemaghrebin.com, Sofiene Ghoubantini, 27/04/2021)

Béatrice Lafaurie est la nouvelle directrice générale en charge des Ressources Humaines de BPCE. Elle devient également membre du directoire du groupe. Titulaire d’un DESS en gestion des ressources humaines de Dauphine-PSL, elle était précédemment directrice des Ressources Humaines de SNCF Mobilités. (Entreprise & Carrières, 26/04-02/05/2021)

Marie Waechter rejoint le département Legal du cabinet d’avocats Deloitte | Taj en tant que senior manager auprès des équipes restructuring. Titulaire d’un Master en Droit des affaires et de l’économie de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et d’un Master en banque et finance de l’Université Paris Dauphine-PSL, elle est membre du barreau des Hauts-de-Seine et membre de l’Association des Jeunes professionnels du Restructuring (AJR). (fiscalonline.com, 30/04/2021)