Revue de presse mai 2021

Découvrez la revue de presse de Dauphine-PSL du mois de mai 2021

Université Paris Dauphine - PSL

Le Groupe SOS est mondialement reconnu pour sa croissance exceptionnelle. Cette année, il affiche un budget en hausse de « 10 % par rapport à l’exercice précédent ». Pour se développer, l’association s'appuie sur des cadres formés dans les grandes écoles. En 2015, elle a pris une part active dans la formation de ces cadres sociaux d'un nouveau genre en lançant, en partenariat avec l'Université Paris-Dauphine, son propre « Diplôme d'Université Business Management entrepreneur social ». Le Groupe SOS a également noué, en octobre dernier, un partenariat avec le Conservatoire national des arts et métiers, Sciences Po Paris, Sorbonne Université et Paris-Dauphine pour lancer son think-tank baptisé Impact Tank. Son but est d’« inspirer le débat public par une voix opérationnelle, où la comparaison des impacts prendrait le pas sur la comparaison des idéologies », et ce, en valorisant « des innovations impactantes sur la prévention de la perte d'autonomie, l'inclusion dans l'emploi ou la revitalisation des territoires ». (ASH Actualités Sociales Hebdomadaires, Pénélope Bacle, 04/05/2021)

Une convention de mécénat a été signée, le 6 mai, entre Stéphanie Petit, déléguée générale de la fondation INSA, et Nicolas Gomart, vice-président et directeur général du groupe Matmut. Ce programme de partenariat, d’une durée de 5 ans, se met en place selon une logique de pôles de compétences en lien avec les spécialités de formation d'ingénieur de l’INSA Rouen Normandie. En effet, le groupe Matmut a été sollicité en cohérence avec la spécialité génie mathématique proposée par l’école française. Les étudiants peuvent obtenir un double diplôme avec Paris-Dauphine et notamment le titre d'actuaire. Par ailleurs, dans le cadre de sa politique RSE, le groupe Matmut porte une attention particulière aux sujets relatifs à l'inclusion. Il a ainsi décidé, à travers cette convention de mécénat, de soutenir les actions de la Fondation visant à accompagner la diversité et l'ouverture de l'INSA Rouen Normandie. (www.insa-rouen.fr, 07/05/2021)

L'Université Paris-Dauphine a lancé, en partenariat avec le mouvement Bouge Ton Coq, la première édition du Prix de l'Innovation Rurale, afin de « récompenser les acteurs, qui par leurs projets ont un impact concret sur le quotidien rural ». Polymorphe, une association bourbonnaise, basée à Cérilly, figure parmi les lauréats de ce nouveau prix avec notamment à la clé, un chèque de 1 000 euros. Le jury a salué la création par l'association d'un tiers lieu culturel et agricole, mais aussi de sa revue annuelle Polymorphes, « qui interroge en miroir les dynamiques urbain-rural ». (La Montagne, 09/05/2021)

Les patrons de nouvelle génération ont compris que les organisations ne pouvaient plus faire l’impasse sur les demandes de la société pour davantage de vert, d’inclusion et de diversité. Les formations RSE (responsabilité sociétale des entreprises) et DD (développement durable) se sont donc multipliées au sein des grandes écoles de commerce, des associations de dirigeants et de nouvelles structures éducatives. Ces établissements cherchent à attirer les étudiants qui seront les cadres et chefs d’entreprise responsables de demain. L’Essec, l’Edhec, l’Université Paris-Dauphine, Kedge Business School et beaucoup d’autres ont ainsi mis à leur programme des Masters, MSC et MBA spécialisés dans le management de la RSE. « Nous formons les acteurs de l’économie de demain. Il est extrêmement important qu’ils aient dès le départ conscience de leur responsabilité, et du fait que leurs décisions doivent intégrer leur impact au-delà du strict périmètre de l’entreprise », souligne Denis Guibard, président de la Commission développement durable et responsabilité sociale de la Conférence des Grandes Écoles (CGE). (CB News, Patrick Cappelli, 05/2021)

Les prix de l'innovation rurale, créés par l'Université Paris-Dauphine-PSL, en partenariat avec le Mouvement Bouge Ton Coq, distinguent les innovations qui améliorent le quotidien des habitants et des professionnels du monde rural. Ces prix ambitionnent de donner une image positive de ces territoires, en reconnaissant l'engagement des acteurs qui les font vivre au quotidien mais aussi de devenir une plateforme d'échanges, de rencontres et de partage du savoir sur le monde rural. Par ailleurs, les projets présentés permettent aux chercheurs de PSL de réaliser des travaux en prise directe avec les enjeux des acteurs ruraux. En outre, lors de la cérémonie de remise des prix, qui s'est déroulée le 5 mai, le jury a analysé 92 candidatures, venant de 55 départements. Onze projets ont été distingués, dont deux ayant particulièrement retenu l'attention du jury. Les lauréats bénéficieront d'une dotation financière et d'un accompagnement assuré par les étudiants de PSL. (zepros.fr, 16/05/2021)

Référence dans la recherche universitaire, l'Université PSL soutient et accompagne ses étudiants ainsi que les chercheurs dans les différents stades de leur création d'entreprise, tout en valorisant la recherche académique. Composée de 11 établissements renommés, comme Dauphine-PSL, elle compte aujourd’hui plus de 150 entreprises lancées par ses étudiants et 88 start-ups issues de laboratoires et incubateurs. Son programme de recherche valorise des innovations scientifiques nécessaires en se basant sur des technologies inédites et pour faire face à des enjeux sociétaux, tels que le biomédical, le développement durable et l'Intelligence Artificielle. (www.esteval.fr, 19/05/2021)

L’inclusion et la diversité sont des sujets qui s’invitent de plus en plus dans la démarche RSE (responsabilité sociétale des entreprises). Depuis quelques années, les universités et les écoles de commerce ont, en effet, commencé à se saisir du sujet du management de la diversité. Des chaires ont ainsi émergé sur cette thématique à Dauphine-PSL, à l’Edhec et à l’Essec. Pour développer ces thèmes en lien avec la recherche, le Hoffmann Global Institute for Business and Society a été créé en 2018 à l’Insead. « Notre objectif est de transformer l’éducation au management, pour que les leaders et les managers aient conscience de leur responsabilité et soient équipés pour traiter ces questions dans leur vie professionnelle », explique Katell Le Goulven, la directrice de l’institut. (Les Echos, Coralie Donas, 27/05/2021)

Enseignants et experts de Dauphine-PSL

Le Groupe SOS est mondialement reconnu pour sa croissance exceptionnelle. Cette année, il affiche un budget en hausse de « 10 % par rapport à l’exercice précédent ». Pour se développer, l’association s'appuie sur des cadres formés dans les grandes écoles. En 2015, elle a pris une part active dans la formation de ces cadres sociaux d'un nouveau genre en lançant, en partenariat avec l'Université Paris-Dauphine, son propre « Diplôme d'Université Business Management entrepreneur social ». Le Groupe SOS a également noué, en octobre dernier, un partenariat avec le Conservatoire national des arts et métiers, Sciences Po Paris, Sorbonne Université et Paris-Dauphine pour lancer son think-tank baptisé Impact Tank. Son but est d’« inspirer le débat public par une voix opérationnelle, où la comparaison des impacts prendrait le pas sur la comparaison des idéologies », et ce, en valorisant « des innovations impactantes sur la prévention de la perte d'autonomie, l'inclusion dans l'emploi ou la revitalisation des territoires ». (ASH Actualités Sociales Hebdomadaires, Pénélope Bacle, 04/05/2021)

Sur le marché européen du carbone, le prix du quota de CO2 a franchi, le 7 mai, la barre des 50 euros par tonne. « Jamais ce prix n’avait dépassé 30 euros par tonne durant les 15 premières années de fonctionnement du marché », observe Christian de Perthuis, fondateur de la Chaire Economie du Climat à l’Université Paris-Dauphine. Mais pour la majorité des économistes du climat, le niveau de 50 euros par tonne est loin d’apparaître excessif. En effet, les travaux sur la valeur théorique du carbone requise pour viser un réchauffement en dessous de 2°C conduisent généralement à des valeurs nettement supérieures, explique Christian de Perthuis. Ainsi, cette hausse du prix du quota traduit en premier lieu la mise en place d’objectifs climatiques enfin contraignants à l’échelle de l’Union européenne, souligne-t-il. Par ailleurs, « la décision la plus importante sur ce marché est la fixation du plafond. C’est lui qui détermine la plus ou moins grande sévérité du rationnement et, partant, l’intensité du signal prix qui détournera les acteurs économiques de leur addiction aux fossiles », ajoute l’économiste. (Les Echos, Christian de Perthuis, 11/05/2021)

Les prix de l'innovation rurale, créés par l'Université Paris-Dauphine-PSL, en partenariat avec le Mouvement Bouge Ton Coq, distinguent les innovations qui améliorent le quotidien des habitants et des professionnels du monde rural. Ces prix ambitionnent de donner une image positive de ces territoires, en reconnaissant l'engagement des acteurs qui les font vivre au quotidien mais aussi de devenir une plateforme d'échanges, de rencontres et de partage du savoir sur le monde rural. Par ailleurs, les projets présentés permettent aux chercheurs de PSL de réaliser des travaux en prise directe avec les enjeux des acteurs ruraux. En outre, lors de la cérémonie de remise des prix, qui s'est déroulée le 5 mai, le jury a analysé 92 candidatures, venant de 55 départements. Onze projets ont été distingués, dont deux ayant particulièrement retenu l'attention du jury. Les lauréats bénéficieront d'une dotation financière et d'un accompagnement assuré par les étudiants de PSL. (zepros.fr, 16/05/2021)

Référence dans la recherche universitaire, l'Université PSL soutient et accompagne ses étudiants ainsi que les chercheurs dans les différents stades de leur création d'entreprise, tout en valorisant la recherche académique. Composée de 11 établissements renommés, comme Dauphine-PSL, elle compte aujourd’hui plus de 150 entreprises lancées par ses étudiants et 88 start-ups issues de laboratoires et incubateurs. Son programme de recherche valorise des innovations scientifiques nécessaires en se basant sur des technologies inédites et pour faire face à des enjeux sociétaux, tels que le biomédical, le développement durable et l'Intelligence Artificielle. (www.esteval.fr, 19/05/2021)

Le conseil d’administration de Total a soumis à l’assemblée générale du groupe, le 28 mai, une résolution concernant ses engagements de réduction d’émissions de CO2. Pour certains investisseurs, ces engagements sont insuffisants. « La direction prise par Total est la bonne, mais cela va trop lentement : s’il continue à ce rythme, nous pensons qu’il ratera sa transition énergétique », confie un gérant de fonds anglo-saxon. Selon Patrice Geoffron, professeur à Paris-Dauphine et membre de l’Institut de l’économie positive, la pression qui s’exerce sur le groupe s’inscrit dans le contexte du « Green Deal » de l’Union européenne, qui vise une baisse de 55 % des émissions de CO2 d’ici 2030. « Les engagements de Total sur la baisse de ses émissions sont donc différents au niveau mondial, les grands pays n’ayant pas encore mis en place un cadre climatique aussi clair que l'Europe », ajoute l’enseignant. (Le Figaro, Guillaume Guichard, 21/05/2021)

Le Fonds monétaire international (FMI) a publié, en avril dernier, un rapport sur l’évolution des finances publiques dans le monde. Si la première préoccupation du FMI a toujours été l’équilibre des finances publiques, par la baisse des dépenses mais aussi, le cas échéant, par la hausse des impôts, ses priorités changent un peu, explique sur France Culture Jean-Marc Siroën, professeur de sciences économiques à Paris-Dauphine. En effet, l’obsession du FMI est aujourd’hui l’équilibre budgétaire par la hausse des impôts et éventuellement par la hausse des dépenses. « Il s’agit d’une évolution, d’un rééquilibrage et non d’une rupture », précise l’enseignant. Il ajoute, en outre, que « le FMI n’a plus peur de la dette ». « Dans une période de crise, il n’y a pas d’alternative à la dette. L’augmentation de celle-ci est automatique, ne serait-ce que par la réduction des recettes fiscales », souligne Jean-Marc Siroën. Par ailleurs, il ne pense pas que la montée en puissance de la Chine au sein du FMI puisse perturber le système. Selon lui, les Etats-Unis restent les seuls qui bénéficient d’un droit de veto sur les grandes décisions. (France Culture, Florian Delorme, 24/05/2021)

La 35e édition du rapport CyclOpe dresse le bilan de la crise sanitaire sur les matières premières et essaie de tirer les grandes tendances du monde d’après. Selon Philippe Chalmin, codirecteur de ce rapport et professeur à Paris-Dauphine, la récente flambée des cours est liée au « phénomène de rattrapage avec un rebond de la consommation » et non au scénario de nouveau « super-cycle » vendu par la banque Goldman Sachs. Surtout, l’envolée des cours confirme l’émergence de la Chine et de son rôle clé dans les matières premières. « Elle a été la première touchée par la pandémie, elle en est sortie dès l’été, et les premières tensions sont apparues à l’automne », rappelle l’économiste. « Dans la plupart des cas, c’est la Chine qui est responsable de ces tensions sur les prix par la dynamique de sa reprise économique et l’importance de ses besoins estimés et anticipés », poursuit-il. Par ailleurs, « la géopolitique reprend sa place et les matières premières sont en première ligne. Il faut reprendre une lecture géopolitique pour chacun des marchés », complète Philippe Chalmin(Les Echos, Etienne Goetz, 26/05/2021)

La crise sanitaire aura été un puissant accélérateur de grandes tendances déjà à l'œuvre depuis quelques années, notamment celle du verdissement accéléré de l'économie mondiale, note Philippe Chalmin, professeur à Paris-Dauphine et codirecteur du rapport CyclOpe. Selon l’enseignant, « la transition énergétique sera bien sûr un long processus, mais le mouvement est lancé ». Cette dynamique se feraau détriment des énergies fossiles et au profit des métaux dont la demande va exploser. Parmi ces derniers, le cuivre est celui qui se détache particulièrement. Début mai, il a enregistré un nouveau record à plus de 10 400 dollars la tonne. Toutefois, le cuivre ne sera pas la matière première cardinale des marchés comme a pu l'être le pétrole. Il présente, en effet, bien trop de différences avec l’or noir pour lui prendre sa place structurante dans les marchés. (Les Echos, 26/05/2021)

Farid Toubal, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine, a signé, il y a quelques jours, une tribune dans laquelle il souhaite un taux d’imposition minimal de 21 % sur les profits des entreprises multinationales, pour que ces dernières n’aient plus aucun intérêt à localiser leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Invité sur LCI, l’enseignant précise que cette stratégie, dite d’optimisation fiscale, et que certains pourraient qualifier d’évasion fiscale, est récente. En outre, « l’une des façons d’éviter l’impôt dans lequel les entreprises sont redevables c’est de jouer sur les traités bilatéraux d’investissement ou de taxation », c’est-à-dire essayer de faire en sorte de réduire la charge fiscale au possible, en transitant par des Hubs financiers, explique-t-il. (LCI, Pascal Perri, 26/05/2021)

Etudiants et alumni de Dauphine-PSL

Chaque trimestre, Bloomberg établit un classement des économistes qui font les prévisions les plus justes. Pour le 26ème trimestre consécutif, Christophe Barraud a été désigné meilleur prévisionniste du monde.Titulaire du Master 104 de l'Université Paris Dauphine-PSL, réputé dans le monde entier pour former des as de la finance, il travaille à Paris, pour le courtier britannique, Market Securities. (www.franceinter.fr, Sophie Fay, 03/05/2021)

Sonia Ventura a été nommée Client Service Director de l’agence média UM. Titulaire d'un Master marketing et communication de Dauphine-PSL, elle était dernièrement responsable communication externe chez Marionnaud. (Correspondance de la Publicité, 03/05/2021)

Xavier Albert, directeur général d’Universal Pictures France, se voit également confier la direction générale de l’Italie après le départ à la retraite de Richard Borg, au mois de juillet. Titulaire d’une Maîtrise de sciences de gestion de Dauphine-PSL, il a intégré cette entreprise en 2016. (Satellifax Talents, 03/05/2021)

Damien Buisson devient directeur de participations « private equity » hôtellerie d’Atream. Il vient ainsi renforcer le département tourisme de la société de gestion d’actifs et de fonds immobiliers. Diplômé de l’Université Paris Dauphine-PSL, Damien Buisson était, depuis 2018, « senior vice president » d’Accor en charge des « business units » F1 et Thalassa et de l’expérience clients pour l’Europe du Sud. (Le 13 heures de l’Immobilier, Arthur de Boutiny, 03/05/2021)

L'Assemblée générale de Lectra a voté la nomination de Céline Abecassis-Moedas en tant qu'administratrice. Elle devient ainsi membre du comité d’audit, du comité des rémunérations et du comité stratégique du groupe. Titulaire d’un DEA méthodes scientifiques de gestion de l'Université Paris Dauphine-PSL, Céline Abecassis-Moedas est directrice de l'Executive Education et professeure à Católica-Lisbon. (ia-newsmag.com, 04/05/2021)

Bruno Henriquet a été nommé à la tête de Warner Bros International Television Production (WBITVP). Ce diplômé de Dauphine-PSL était précédemment directeur général en charge du développement chez Fremantle. (Correspondance de la Presse, 06/05/2021)

 

Clifford Chance annonce la nomination de dix nouveaux counsel au sein du bureau de Paris, parmi lesquels figure Diane Campion de Poligny. Titulaire d’un Master 2 de droit des affaires de l’Université Paris Dauphine-PSL, elle a été admise au Barreau de Paris en 2012. Diane Campion de Poligny a ensuite rejoint le groupe structuration de fonds d‘investissement de Clifford Chance en 2013. (www.lemondedudroit.fr, 06/05/2021)

Laurent Roubin est le nouveau vice-président de la Fédération nationale des Caisses d'Epargne. Titulaire d'un DESS en stratégie, planification et contrôle de gestion de l'Université Paris Dauphine-PSL, il est président du directoire de la Caisse d'Epargne des Hauts-de-France depuis novembre 2018, et président du conseil de surveillance de la société immobilière Grand Hainaut depuis 2019. (Bulletin Quotidien, 07/05/2021)

François Crémieux a été choisi par l'exécutif pour occuper le poste de directeur général de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM). Titulaire d’un Master en économie de Dauphine-PSL, il est directeur général adjoint de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) depuis 2018. (Hospimédia, 11/05/2021)

Paul Arkwright deviendra directeur financier de Covivio le 1er juillet. Diplômé de Dauphine-PSL, il est directeur contrôle financier, corporate finance et relations investisseurs de cette entreprise depuis 2019. (Les Echos, 11/05/2021)

Adrien Peyroles est nommé directeur général France de Bureau Vallée. Entré dans le groupe en 2009, cet ancien étudiant de Paris-Dauphine est devenu directeur communication et digital en 2018. Il avait aussi participé au développement du réseau Bureau Vallée en Belgique. (Les Echos Entreprises & Collectivités, 12-13/05/2021)

Nicolas Naftalski devient directeur général de Groupama Loire Bretagne. Titulaire d’une Maîtrise de sciences de gestion de Dauphine-PSL, il était, depuis 2019, directeur général adjoint de Groupama Assicurazioni, filiale italienne du groupe. (L’Agefi Hebdo, 13-19/05/2021)

Damien Buisson devient directeur de participations Private Equity Hôtellerie du groupe Atream. Diplômé de l’EM Normandie Business School et de Dauphine-PSL, il était depuis 2018, senior vice-président en charge des business units F1 et Thalassa et de l'expérience clients pour l'Europe du Sud chez Accor. (Le Moniteur des Travaux Publics et du Bâtiment, 14/05/2021)

Céline Abecassis-Moedas rejoint le conseil d’administration de Lectra et devient membre du comité d’audit, du comité des rémunérations et du comité stratégique du groupe. Titulaire d’un DEA méthodes scientifiques de gestion de Dauphine-PSL, elle est directrice de l’executive education et professeure à Católica -Lisbon.(Les Echos, 14/05/2021)

Natasha Cazenave est nommée directrice exécutive de l'Autorité européenne des marchés financiers (ESMA). Titulaire d’un Magistère banque finance assurance de l’Université Paris Dauphine-PSL, elle était, depuis 2017, membre de l'Organisation internationale des commissions de valeurs et du Conseil de stabilité financière mais aussi secrétaire générale adjointe en charge de la direction de la régulation et des affaires internationales au sein de l'Autorité des Marchés Financiers. (Dow Jones, 20/05/2021)

 

Publié le 31 mai 2021