Revue de presse novembre 2021

Découvrez la revue de presse de Dauphine-PSL du mois de novembre 2021

Université Paris Dauphine - PSL

Organisées par le Conseil supérieur du notariat et l’Université Paris-Dauphine, les Journées notariales du patrimoine se tiendront les 15 et 16 novembre 2021 à Paris-Dauphine. L’évènement prévoit douze tables rondes consacrées à l’actualité du patrimoine(Droit & Patrimoine Hebdo, 02/11/2021)

Le baromètre du collectif Sista, de Boston Consulting Group (BCG) et du Conseil national du numérique, publié en juin 2021, révèle que les levées de fonds des femmes dirigeantes de start-up restent inférieures à celles des hommes. Les équipes fondatrices 100 % masculines comptent pour 84 % des start-up financées en 2020 contre 3 % pour les start-up exclusivement féminines. Pour Nicolas Jacquemet, professeur et directeur d'une chaire à PSE, et Audrey Breton, docteure en neurosciences et chargée d'études chez Cog'X, cet écart est notamment lié à des différences de socialisations de genre. Nicolas Jacquemet reprend une étude réalisée par Camille Hebert pour Paris-Dauphine en 2018, intitulée « Mind the Gap : Gender Stereotypes and Entrepreneur Financing ». Cette enquête indique que si les entreprises menées par des femmes dans ces secteurs masculins sont plus performantes en termes de rentabilité, de ventes et d'employés, c'est aussi parce que seuls les projets les plus sérieux sont passés au tamis des investisseurs. (www.challenges.fr, Léa Lejeune, 02/11/2021)

Le 31 août 2021, le Magistère de sciences de gestion del'Université Paris-Dauphine et l’ONG Solidarités International ont conclu un partenariat d’une durée de trois ans. Les deux établissements visent à instaurer des modalités de synergie afin de favoriser leur intérêt commun pour la solidarité, la coopération et l’utilité sociale. Cet accord fait naître des engagements réciproques entre les parties. Les étudiants et étudiantes de ce Magistère organiseront notamment un événement de sensibilisation pour l’association, le 3 novembre, au sein de l'université et à Place des Ternes, Paris 17e. L’objectif est de dévoiler les missions menées par l'association, dont celle visant l'accès à l'eau potable pour tous. (www.solidarites.org, 03/11/2021)

L’Université Paris Dauphine - PSL a lancé un appel d’offres portant sur des prestations de conseil et d'actions de relation presse pour une durée de 12 mois. Les candidatures peuvent être déposées jusqu’au 29 novembre 2021. (La Correspondance de la Publicité, 04/11/2021)

Times Higher Education (THE) a dévoilé son palmarès 2022 des meilleures universités du monde. La réalisation de ce classement s’est basée sur cinq critères : la qualité des enseignements, la recherche, l’influence des travaux de recherche, l'international et les revenus issus de la recherche. Avec PSL regroupant l’Université Paris-Dauphine, l’ENSAD et MINES ParisTech, la France occupe la 31e place du classement sur le critère de la qualité des enseignements. (business-cool.com, Maximilien Arengi, 17/11/2021)

L’enquête réalisée par l’association Financi'Elles, publiée le 16 novembre 2021 à l’occasion de ses dix ans,  révèle que l’égalité femmes-hommes est un sujet important pour les étudiants en master. Le sondage a été mené auprès de 1 815 étudiants de 18 grandes écoles et universités, dont Dauphine. Pour la majorité des étudiantes, « la défense de la parité et la mixité » seront des critères de choix « très importants » ou « assez importants » au moment de leur embauche. Interrogés sur les différences de revenus et de responsabilités, 46 % des jeunes femmes considèrent qu'elles apparaissent dès le premier emploi, contre seulement 35 % des hommes, tandis que « 51 % des femmes et 52 % des hommes les voient plutôt apparaitre au cours de la carrière, à mesure que les cadres montent en responsabilité ». 13 % des hommes sondés estiment que ces différences sont rares car l'égalité est atteinte, contre 3 % des femmes. Enfin, la banque, la finance et l'assurance sont perçues comme étant un secteur très en retard sur le plan de l’égalité professionnelle. (www.argusdelassurance.com, Sabine Germain, 16/11/2021)

Unicancer prévoit de créer une labellisation pour renforcer l’expertise des infirmiers libéraux intervenant en cancérologie et leur lien avec les Centres de lutte contre le cancer (CLCC), mais aussi améliorer la collaboration et la qualité de la coordination entre les Idel et les CLCC. Pour confronter ce projet à la réalité du terrain, une enquête a été réalisée de mai à juin 2021. Ainsi, 60 % des infirmiers libéraux qualifient de bon leur lien avec le CLCC. Près de 37 % des infirmiers interrogés estiment que ce label pourrait consolider leurs acquis et améliorer la reconnaissance de leurs compétences. Un tiers considèrent également qu'il entraînerait une meilleure coordination de la prise en charge du patient. Enfin, plus d’un quart y voit un atout pour s'impliquer dans un projet innovant auprès d'un CLCC et avoir une meilleure visibilité sur lacompétence cancer. La présentation de ce label s’est déroulée lors du salon infirmier, à Santexpo le 9 novembre 2021.Un groupe projet travaille sur le sujet depuis deux ans avec l'Université Paris-Dauphine(www.hospimedia.fr, Perrine Debacker, 12/11/2021) 

Dans un entretien, Eric Briffard, directeur des Arts Culinaires et Chef d'Etablissement de l'institut Le Cordon Bleu Paris, présente cette école de cuisine, devenu aujourd'hui le premier réseau mondial d'instituts d'arts culinaires et de management hôtelier présent dans plus de 20 pays. Il évoque notamment les différentes formations proposées par l’établissement. Dans le domaine du management, trois cursus sont mis en avant par l’institut en partenariat avec l’Université Paris-Dauphine-PSL, précise-t-il. Il s’agit du Bachelor en Management Hôtelier International qui permet à l’étudiant d’acquérir toutes les compétences managériales nécessaires pour devenir manager d’une structure hotellière de luxe ; du Bachelor en Management des Arts Culinaires qui est axée sur les objectifs management, la gestion du budget et des équipes, l’innovation internationale ; et du MBA in International Hospitality and Culinary Leadership, en partenariat avec l’Université Paris-Dauphine PSL, qui vise à apporter l’expertise au secteur de l’hôtellerie et de la gastronomie dans une perspective internationale, détaille l’expert. (C’est à vous !, N.C., 11/2021) 

Dans un entretien, le président de l’Université Paris-Dauphine–PSL, El Mouhoub Mouhoud, explique comment s’est déroulée la rentrée en présentiel au sein de l’établissement. « Nous avons notamment travaillé avec un de nos enseignants-chercheurs en mathématiques, sur un process de régulation du public, par un comptage anonyme du nombre de présents dans l’université », indique-t-il. Cela a permis de grader et de mesurer le « taux de dangerosité épidémique » de chaque espace et ainsi, de mettre en place des indicateurs d'alerte en fonction des taux d’incidence, détaille le président. Il évoque également les trois dossiers indispensables pour l’université cette année ; le nouveau campus, les doubles-diplômes et l’international.El Mouhoub Mouhoud souligne par ailleurs que « la proximité avec le monde économique » est le « meilleur atout » de Dauphine pour garantir l'une de ses missions fondamentales : l’insertion des étudiants sur le marché du travail. (Monde des Grandes Ecoles et Universités – Le Journal, Clarisse Watine, 10/2021)

L’Université Paris-Dauphine - PSL propose, depuis plus de 20 ans, une formation en Executive Master of Business Administration (EMBA). Le campus londonien offre désormais l’EMBA dans un format hybride 100 % en anglais pour les professionnels de haut niveau. D’une durée de 18 mois, ce programme est dispensé à 70 % en ligne. Le London Executive MBA est accessible aux professionnels diplômés d’un Bac + 3, ayant 5 ans d’expérience managériale et d’un niveau anglais courant.  La formation est sanctionnée deux diplômes : le EMBA et un Master en Management de l’Université Paris-Dauphine - PSL. Les participants disposent de plusieurs opportunités de networking à l’échelle internationale. (lepetitjournal.com, N. C, 24/11/2021)

Les 36 instituts d’administration des entreprises (IAE) créés par les universités françaises constituent une alternative économique aux écoles de commerce. Les frais de scolarité sont les mêmes que ceux pratiqués à l’université. La méthode de recrutement et le prix des formations diffèrent toutefois selon l’établissement. À Dauphine PSL, les droits d’inscription des diplômes grand établissement sont modulés en fonction du revenu des parents, de 0 à 8 000 euros environ. Les licences classiques coûtent, quant à elles, 550 euros par an. Dauphine-PSL développe également une formation en alternance, avec une gratuité totale. Certaines écoles offrent par ailleurs de fortes exonérations aux boursiers. (Le Figaro Supplément, N.C., 22/11/2021)

La finale de la 3ème édition de l’Eloquence du Bégaiement s’est déroulée le 23 novembre 2021 à Paris. Pour ce concours, les six finalistes se sont entraînés avec des anciens participants et des orthophonistes. Pour sa part, la candidate Bérénice Fulchiron a répété dans un amphithéâtre de l’Université Paris-Dauphine(Franceinfo, Marie Bernardeau, 23/11/2021

Lors de la cérémonie du 10e anniversaire du Prix Emile Perreau-Saussine, qui s’est déroulée sur le rooftop de l'Université Paris-Dauphine-PSL le 12 octobre 2021, le docteur Adrien Louis a reçu le prix de Philosophie Politique pour son ouvrage « Les meilleurs n'auront pas le pouvoir : Une enquête à partir d’Aristote, Pascal et Tocqueville ». Ce prix « s'inscrit dans une démarche intellectuelle particulière, celle d'Emile Perreau-Saussine, qui manifeste une certaine forme d'inquiétude civique vis-à-vis de la tendance du libéralisme », indique Alexis Carré, auteur de la préface de « Les meilleurs n'auront pas le pouvoir ». Le jury, présidé par Pierre Manent, directeur de recherche émérite à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, était composé de hauts fonctionnaires, de professeurs, de journalistes et de chercheurs dans le domaine des sciences sociales et de la littérature. (itartbag.com, 28/11/2021)

La nouvelle édition du Dauphine Jazz Festival se déroulera le 4 décembre 2021. L’associationl’Oreille de l’Université Paris-Dauphine proposera à cette occasion une programmation avec les plus belles pépites du jazz actuel, comme Blue Lab Beats. L’ensemble des bénéfices seront reversés au Bureau d’Accueil et d’Accompagnement des Migrants (BAAM)(mairie15.paris.fr, 30/11/2021)

Brigitte Dormont, professeure d’économétrie et d’économie de la santé à l’Université Paris-Dauphine-PSL, défend dans une tribune le rapport du Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie (HCAAM), commandé par le ministre de la Santé, qui relance l’idée d’une « grande Sécu ». Le projet est au cœur de vifs débats alors qu’« il s’agit seulement de faire couvrir le ticket modérateur par la Sécurité sociale au lieu des complémentaires », explique l’enseignante. La Sécurité sociale doit, selon elle, permettre « un égal accès aux soins de tous, sans siphonner le revenu des citoyens ». Brigitte Dormont met également en avant une possibilité de gain de pouvoir d’achat, d’équité et d’efficience. (Le Monde, Brigitte Dormont, 28-29/11/2021)

Enseignants et experts de l'Université Paris Dauphine-PSL

Elise Huillery, professeure d’économie à l’Université Paris-Dauphine et à Sciences Po, plaide pour « l’extension des aides sociales de droit commun aux 18-25 ans ». Ces jeunes sont non seulement les plus touchés par la pauvreté mais sont aussi ceux qui ont le plus été affectés par la crise sanitaire, souligne-t-elle. Selon l’enseignante, tous les dispositifs existants ou en discussion sont ancrés dans une erreur de logique. La « garantie jeunes », destinée aux 16-25 ans sans emploi et sans formation, vivant en dehors du foyer familial, est « conditionnée par un accompagnement. Sa durée est réduite à douze mois, et l’accompagnement en limite par construction le nombre de bénéficiaires puisqu’il faut mettre, en face de chaque jeune, des accompagnants dans les missions locales », explique Elise Huillery. Il en est de même pour le futur dispositif « garantie jeunes universelle » ou « revenu d’engagement », qui accompagne les jeunes sans formation ni emploi selon une logique de « devoirs et de droits », poursuit l’économiste. Pour elle, « faire de l’accompagnement social une condition de l'aide revient à écarter la très grande majorité des jeunes ». (Le Monde, 31/10-02/11/2021)

Patrice Geoffron, professeur à l’Université Paris-Dauphine et membre du Cercle des économistes, explique dans une tribune que les engagements « zéro émissions nettes » (ZEN) des pays sont « extraordinairement hétérogènes ». « Certains sont juridiquement contraignants, tandis que d’autres sont en cours d’examen, voire seulement esquisse de perspective politique », constate l’enseignant. Seule une trentaine d’Etats ont des feuilles de route vers leur neutralité, précise l’OCDE. Pour limiter la dérive du climat à +1,5°C à la fin du siècle, il faudra diviser les émissions par deux d’ici à 2030. Or, les initiatives prises n’ont pas été suivies d’une nette rupture et d’une réelle mise en œuvre, déplore Patrice Geoffron. Selon lui, le Conseil d’Etat et la Cour constitutionnelle fédérale ont respectivement rappelé à l’ordre la France et l’Allemagne pour les retards accumulés dans leurs engagements. (Les Echos, Patrice Geoffron, 10/11/2021)

Vincent Cadoret, chief data officer du Groupe Keolis, rejoint Europcar Mobility Group en tant que chief data and analytics officer. Docteur en informatique de l’Université de Rennes 1, Vincent Cadoret a notamment suivi des cursus complémentaires comme un MBA commun Université Paris-Dauphine / Université du Québec à Montréal, entre 2009 et 2011, et une formation de Data Scientist à l’école Télécom ParisTech. Par ailleurs, il est enseignant vacataire en première année de Master management & organisations à l’Université Paris-Dauphine depuis 2020. (Le Monde Informatique.fr, 08/11/2021)

L'architecte et urbaniste Anne Démians a été élue à l’Académie des Beaux-Arts. Elle remplace Roger Taillibert et devient ainsi la première femme occupant un poste au sein du collège d’architecture. Par ailleurs, Anne Démians, qui est aussi enseignante à Paris-Dauphine, se revendique dans son « manifeste » du « classicisme moderne », car « le classicisme garantit à nos bâtiments cette intemporalité dont la période actuelle nous prive ».(Architectures Crée, Automne 2021)

Christian de Perthuis, fondateur de la chaire Economie du climat et professeur à Paris-Dauphine-PSL, dresse un bilan mitigé de la Cop26 dans les colonnes de Ouest-France. Les progrès au niveau des « contributions nationales » restent selon lui très insuffisants pour atteindre les objectifs fixés par l’Accord de Paris. L’enseignant évoque néanmoins deux avancées majeures : la diminution des émissions de méthane et la sortie des énergies fossiles. Plus de cent pays se sont en effet engagés à réduire d’au moins 30 % leurs émissions de méthane d’ici à 2030. Christian de Perthuis regrette en outre que les questions énergétiques aient été mieux traitées par la Cop que les enjeux agricoles. (Ouest France, 15/11/2021)

Philippe Chalmin, professeur à Paris-Dauphine, revient dans le cadre d’une interview sur la flambée des prix des matières premières, en particulier des métaux, depuis le début de l’année. Il s’agit, selon lui, d’une surchauffe liée à la très forte reprise de la demande dans un contexte marqué par une importante crise logistique. L’enseignant estime toutefois que « l’idée d’une menace sur les métaux stratégiques ou les terres rares est un peu exagérée ». En effet, les tensions observées sur le cobalt et le lithium existent depuis la prise de conscience de l’importance des batteries électriques. (La Tribune Edition Quotidienne, Jean-Philippe Déjean, 24/11/2021)

Face à la propagation rapide de la Covid-19, Miquel Oliu-Barton, Maître de conférences en mathématiques à l’Université Paris-Dauphine et chercheur associé au centre de réflexion Bruegel, et Bary Pradelski, chargé de recherche en économie au CNRS et membre associé du centre de recherche Oxford-Man Institute, proposent au gouvernement de « rendre accessible sans attendre une troisième dose de vaccin pour tous et de renforcer les critères du pass sanitaire ». D’ailleurs, une étude israélienne menée à grande échelle a montré que les doses de rappel protégeaient très efficacement contre les formes graves de Covid-19 chez l'ensemble de la population adulte, et diminuaient considérablement le taux de transmission, expliquent les deux experts dans une tribune au Monde. (www.lemonde.fr, 24/11/2021)

Etudiants et almuni de l'Université Paris Dauphine-PSL

Le Monde propose un entretien avec l’actrice Lucie Zhang, révélée grâce au film « Les Olympiades » du réalisateur Jacques Audiard. L’actrice est en troisième année à l'Université Paris-Dauphine où elle donne rendez-vous pour ses interviews. L’étudiante parle du tournage du film qui, pour elle, « a été un accélérateur de changement ». (Le Monde, Laurent Carpentier, 03/11/2021)

L’AMF va officiellement décerner son prix 2021 du Jeune chercheur à Paul Karehnke, professeur associé de finance à l’ESCP Business School, lors de la réunion de son Conseil scientifique en janvier 2022. Ce prix d’un montant de 5 000 euros récompense les travaux de chercheurs âgés de moins de 35 ans sur des thèmes économiques et financiers qui présentent un intérêt pour le régulateur de marché. Paul Karehnke, qui a obtenu un Doctorat en finance de l'Université Paris-Dauphine, présentera à cette occasion ses travaux de recherche aux membres du Conseil scientifique de l’AMF. (www.wargny.com, 08/11/2021)

M6 a choisi Dominique Tenza pour remplacer Nathalie Renoux aux commandes des journaux télévisés du weekend. Il revient sur son parcours professionnel dans le cadre d’une interview accordée à cette occasion. Ce diplômé de l'Institut Pratique du Journalisme (IPJ) indique qu’il a fait toute sa carrière à RTL qu’il a intégré en 2008.  (Sud Ouest, Jean-Michel Selva, 05/11/2021)

Audrey Azoulay a été réélue à une très large majorité, avec 55 voix favorables sur 58, à la tête de l'Unesco. Son portrait est proposé à cette occasion. Audrey Azoulay est titulaire d'une Maîtrise de sciences de gestion de l'Université Paris-Dauphine(Madame Figaro, N.C., 12-13/11/2021)

Mathias Vicherat a été nommé directeur de Sciences Po et remplace Bénédicte Durand. Cette dernière avait pris la direction de l'institution par intérim, depuis février 2021, après la démission de Frédéric Mion. Titulaire d’un Master de gestion publique à l'Université Paris-Dauphine, Mathias Vicherat a exercé le métier de sous-préfet de l'arrondissement de Bobigny, à la préfecture de Seine-Saint-Denis pendant 2 ans, en juillet 2006. (business-cool.com, 11/11/2021)

Hamdam Mostafavi devient directrice du développement éditorial numérique de L’Express. Cette diplômée de l’Institut Pratique du Journalisme (IPJ) était dernièrement rédactrice en chef de l’hebdomadaire qu’elle a rejoint en 2020. (Strategiesnews, 08/11/2021)

Emmanuelle Larroque, directrice-fondatrice de Social Builder, est l’une des deux Françaises sélectionnées par le Google Impact Challenge 2021, qui récompense les actions en faveur de l’émancipation économique et professionnelle des femmes. Social Builder est une start-up sociale qui construit l'égalité femmes-hommes dans le numérique. « Il faut réenchanter la tech pour les filles et les femmes et, de façon plus générale, les sciences pour encourager celles qui le souhaitent à aller vers ces métiers d'avenir », souligne Emmanuelle Larroque, qui a aussi étudié la sociologie de l’innovation à l’Université Paris-Dauphine. Elle prévoit de lancer prochainement la Social Builder Academy, qui ambitionne de développer le leadership des femmes à une tout autre échelle à travers une formation en ligne. (business.lesechos.fr, 13/11/2021)

Catherine Chavanier a été nommée directrice des ressources humaines de CDC Habitat, filiale de la Caisse des Dépôts. Cette titulaire d'un Master 2 en négociations et relations sociales de l'Université Paris-Dauphine (2011) était, jusqu'ici, directrice des ressources humaines de Radio France. (La Correspondance Economique, 15/11/2021) 

Héléna Bergez, titulaire d’un Master de mathématiques appliquées de l’Université Paris-Dauphine, est nommée directrice des ressources humaines et entre ainsi au comité exécutif d'Euler Hermes France. Elle travaille au sein de la société d'assurance-crédit depuis plus de 25 ans où elle a exercé plusieurs fonctions. (www.lesechos.fr, 16/11/2021)

Thomas Guittet, directeur des risques groupe de La Banque Postale, entre au comité exécutif de l’entreprise. Ce titulaire d’un Magistère de finance de l’Université Paris-Dauphine avait rejoint la société en tant que directeur adjoint des risques du groupe. Thomas Guittet était chargé de l’intégration et du pilotage de la filière risques(Les Échos, N.C., 18/11/2021)

Thibault de Broissia, diplômé de l’Université Paris-Dauphine, cofondateur d’Uptilab et Reeport, lance « Dataïads » avec ses deux associés Raphaël Grandemange, vice-président exécutif chez Jellyfish, et Benjamin Cozon, cofondateur d’Uptilab et Reeport également. Dataïads se positionne comme une agence de conseil et d’activation média avec l’ambition d’accompagner les entreprises vers un meilleur ROI. La société vise à accompagner ses clients vers l'orchestration, l'automatisation et l'optimisation des flux de données « first party » et de les enrichir de data contextuelles pour augmenter la pertinence et la performance des campagnes « search, social ads » et « retail média ». (La correspondance de la publicité, 19/11/2021)

Jean-Philippe Maheu, jusqu’alors vice president of US client solutions de Twitter, devient vice president, global client solutions. Il prendra ses nouvelles fonctions en janvier 2022. Diplômé notamment de l’Université Paris-Dauphine, Jean-Philippe Maheu a intégré Twitter en 2013, lors de l’acquisition de la société d’analyse Bluefin Labs, dont il était chief executive officer. (La correspondance de la publicité, 19/11/2021)

Benoit Derigny, titulaire d’un DESS en stratégie de Paris-Dauphine, est nommé directeur général de Manpower France. Cet expert du travail temporaire et du recrutement a été PGD de Supplay, second réseau travail temporaire et recrutement de ManpowerGroup, pendant 11 ans. Benoit Derigny dirige aussi depuis 2019 les activités du groupe au Maroc et en Tunisie.(www.focusrh.com , 24/11/2021)

Plusieurs nominations ont été annoncées au sein du pôle « Solutions ISR » de La Banque Postale Asset Management (LBP AM), filiale de gestion d’actifs de La Banque Postale. Diane Moulonguet, titulaire d’un Master en Affaires internationales parcours développement durable et responsabilité des organisations de l’Université Paris-Dauphine, a rejoint l’équipe en novembre 2021 en tant qu’analyste gouvernance(RiskAssur, 26/11/2021)

Le cabinet EY annonce la nomination de 18 nouveaux associés en France. Parmi eux figurent Marie-Amélie Deysine et Magali Levy, qui sont toutes les deux titulaires d’un DESS gestion fiscale de l’entreprise de Paris-Dauphine(Les Echos Capital Finance, 29/11/2021)

Jessica Jaoui occupera le poste de « head of retail capital markets » de JLL à compter du 1er janvier 2022. Diplômée de l’Université Paris-Dauphine, Jessica Jaoui a débuté sa carrière chez JLL en 2007 dans le département investissement, et s’est spécialisée en commerce en 2011. (www.immoweek.fr, Anaïs Divoux, 30/11/2021)

Benoît Derigny, titulaire d’un DESS en stratégie de l’Université Paris-Dauphine, prend la direction générale de Manpower France. Il dirige les activités du groupe au Maroc et en Tunisie depuis 2019. (Les Echos, 30/11/2021)

Céline Merle-Béral, chief human resources officer de Havas Media Group et de Havas Creative Global Network, devient membre du comité exécutif de Havas Group. Cette titulaire d’un DEA en droit économique et social de l’Université Paris-Dauphine a rejoint Havas Finances Services en 2012 en tant que directrice des ressources humaines et responsable juridique à la direction ressources humaines d’Havas. (La Correspondance de la Publicité, 30/11/2021)

Publié le 30 novembre 2021