Revue de presse Septembre 2019

Découvrez la Revue de Presse de Dauphine de septembre 2019

Université Paris Dauphine-PSL

La priorité de l’industrie de la gestion d’actifs française, pour cette rentrée, est de convertir l’épargnant particulier à l’ISR. L’Université d’été de l’Asset Management, organisée par l’Université Paris-Dauphine, a ainsi consacré sa sixième édition, tenue fin août, sur le thème de la bascule du « retail » vers l’ESG. (Option Finance, 02/09/2019)

Isabelle Huault, présidente de l’Université Paris-Dauphine, a représenté le 7 septembre les membres du jury de l’accélérateur BFM, un concours de start-up dédié aux entrepreneurs de banlieue et des territoires. Elle a ainsi questionné Claudio Pereira, président et fondateur de « Cœur de logement » et Faouzi Annajah, président et fondateur de « Werevo », parmi les seize candidats présélectionnés, sur leurs concepts, leurs parcours et leurs projets respectifs. (BFM Business TV, 07/09/2019)

Nombreuses sont les écoles hôtelières en France et en Suisse qui sont des références dans la formation des techniques propres à la gastronomie et à la gestion hôtelière auprès des jeunes étudiants. Le Cordon Bleu en fait partie. Cette école a été créée en 1895 par la journaliste Marthe Distel et s’est exportée à l’étranger, dix ans après. Elle s’est ainsi implantée dans différents pays, en s’adaptant facilement aux mœurs culinaires locales. L’institut conserve le grand diplôme d’une durée de neuf mois composé de trois niveaux. En outre, des formations sont aussi dispensées. « Contrairement à d’autres écoles, nos étudiants sont âgés de 25 à 28 ans. Ils ont souvent eu d’autres expériences avant de nous rejoindre », explique Eric Briffard, chef exécutif et directeur des Arts culinaires. Toutefois, il a créé deux bachelors post-Bac en Arts culinaires et Management hôtelier international, en partenariat avec Paris-Dauphine, ce qui a contribué à baisser leur moyenne d’âge. Par ailleurs, la marque Le Cordon Bleu rayonne dans le monde avec ses 36 instituts répartis sur les cinq continents. (Le Chef, 08-09/2019)

Dans le cadre de la réforme à venir du dispositif fiscal qui encadre le mécénat, Gabriel Attal, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, a annoncé, fin août, dans un entretien aux Echos, que le gouvernement comptait revoir à la baisse, de 60 % à 40 %, le taux de défiscalisation pour les dons supérieurs à 2 millions d’euros. Pour les responsables de fondations universitaires, les nouvelles règles à venir sont une « vraie source d’inquiétude ». « Les entreprises donneront moins », prévient Laurent Batsch, président de la Fondation Paris-Dauphine. « Au moment où des relations très fécondes se développent, cette limite de 2 millions d’euros est comme un carton jaune, on leur demande de ne pas aller trop loin », ajoute-t-il. Si les universités et les grandes écoles sont sur la même ligne, ils « ne désespèrent pas d’obtenir des aménagements à la réforme lors de l’examen parlementaire du budget 2020 à l’automne », rapportent Les Echos. (Les Echos, 11/09/2019)

« Avec des si », Isabelle Huault, présidente de l’Université Paris-Dauphine, imagine l’établissement idéal pour former les meilleurs étudiants et attirer les talents internationaux. Avec des moyens illimités, elle renforcerait la diversité sociale au sein de Paris-Dauphine en proposant plus de bourses, de logements étudiants et en consolidant le programme « Egalité des chances ». « Nous mettrons aussi des moyens encore plus importants sur le projet de réhabilitation de notre campus parisien et sur deux projets transversaux que nous lançons : le programme « Dauphine numérique » sur les sciences des données et l’IA et « Dauphine durable » », ajoute-t-elle. Dans dix ans, « nous aurons un magnifique campus moderne et numérique traduisant notre potentiel sur le plan pédagogique et scientifique. La diversité des nationalités, tant au niveau étudiant que du corps professoral sera encore plus importante ». Et Dauphine s’inscrira complétement dans le grand projet PSL, espère la présidente. Quant aux cinquante prochaines années, Isabelle Huault souhaite que l’établissement conserve sa capacité à imaginer et à être innovant. (Monde des Grandes Ecoles et Universités – Le Magazine, 09/2019)

Comundi x Stratégies Formations, en partenariat avec l’Université Paris-Dauphine, propose le cycle certifiant « Marketing et communication digitale », une formation pour découvrir l’ensemble des leviers du marketing digital. « Nous avons travaillé, en partenariat avec l’Université Paris-Dauphine, sur un programme complet qui permet d’avoir une vision transversale des grandes tendances du digital, de comprendre les mécaniques complémentaires entre les différents leviers web mais aussi d’avoir des conseils très pratiques sur des mécaniques à mettre en place au sein de son entreprise », explique Clémence Richard, Business Development Manager chez Comundi. En outre, « ce programme a été pensé pour répondre à trois types de publics : des décideurs qui ont besoin d’une vision globale en matière de stratégie web, des professionnels plus opérationnels qui doivent comprendre leur rôle dans cette stratégie et optimiser leurs pratiques, mais aussi des personnes en reconversion qui souhaitent se diriger vers ce secteur, notamment en créant leur entreprise», poursuit-elle. « Le but n’est pas de connaitre précisément les rouages de chaque métier, mais d’avoir une vision globale », souligne Florence Benoît-Moreau, directrice pédagogique de la formation et Maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine. A l’issue du parcours, un certificat sera remis par cette dernière, attestant de l’acquisition de compétences digitales, et donnant droit à une équivalence de 3 unités d’enseignement du Master Communication Marketing de Paris-Dauphine.
(www.blogdumoderateur.com, 19/09/2019)

La tribune signée dans le JDD la semaine dernière par plus de 80 dirigeants d’établissements et 1 000 enseignants et chercheurs a recueilli 7 500 signataires. Ils demandent à l’Etat d’ « initier une stratégie de transition de l’enseignement supérieur positionnant le climat comme l’urgence première » et de mettre plus de moyens financiers pour enseigner les enjeux du changement climatique. « La problématique dans le supérieur, c’est d’avoir les moyens de nos ambitions. Un financement prouverait le volontarisme du gouvernement, au-delà des discours », explique Isabelle Huault, présidente de l’Université Paris-Dauphine, qui a également signé cette tribune. Comme l’ENS Ulm, Paris-Dauphine n’a pas attendu la tribune pour mettre en place des enseignements dédiés. En effet, au niveau de la recherche, Isabelle Huault envisage d’ « allouer des bourses doctorales supplémentaires et lancer des programmes de recherches sur les questions environnementales ». Concernant la formation, l’Université lance le projet « Dauphine Durable » pour « instiller les enjeux de la transition écologique dans les enseignements » et dès l’année prochaine, tous les étudiants de licence auront un cours obligatoire sur les enjeux de la transition écologique. Un certificat sera également accessible à tous les élèves de Master, avec un ensemble de trois ou quatre cours sur le changement climatique. En outre, la présidente de Paris-Dauphine a nommé une responsable de la question environnementale et le projet immobilier de réhabilitation du campus, prévu pour 2020, prendra aussi en compte cette question. 
(www.letudiant.fr, 20/09/2019)

La 4e édition des Journées du Management Culturel, organisée par l’Université Paris-Dauphine, se tiendra à la Maison des Métallos les 7 et 8 octobre prochain, avec comme thème central la transition. Dans une interview accordée au site www.moncherwatson.fr à cette occasion, Anaïs Mekki, titulaire d’un Master Management des organisations culturelles de Paris-Dauphine  et coordinatrice de l’évènement, présente le programme pour ces deux journées. Cette année, il a été construit autour de 3 volontés affichées, explique-t-elle : la volonté d’une interactivité accrue caractérisée par des ateliers pratiques pour plus de moments d’expérimentation et d’échanges, la volonté d’impliquer les partenaires dans la programmation afin de donner plus de sens aux évènements, et enfin, la volonté de mettre le phénomène de transition en avant. Selon elle, la culture est concernée par la transition écologique, notamment parce qu’une des principales missions du contenu culturel est d’essayer d’éduquer le citoyen en lui offrant une vision du monde, ou d’un écosystème qu’il ne connait pas. En outre, c’est l’occasion d’une prise de conscience collective, transmise par une organisation culturelle. « Il est dès lors de la responsabilité des artistes et des institutions culturelles de montrer le bon exemple », souligne Anaïs Mekki. L’équipe attend entre 250 à 300 participants.
(www.moncherwatson.fr, 23/09/2019)
 

Enseignants et experts de Dauphine

Dans une tribune, Marie-Aude Laguna, maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine, analyse le dur équilibre entre risques financiers et risques extra-financiers des entreprises. « Dans le cadre d’un article de recherche avec Ryan Williams de l’Université d’Arizona, nous montrons que les entreprises ont une approche globale et non-segmentée de la gestion des risques (…) nos résultats démontrent que les entreprises gèrent leurs risques financiers dans le cadre d’une stratégie plus globale qui inclut le risque opérationnel, social et environnemental de leurs parties prenantes », explique Marie-Aude Laguna. (Option Finance, 02/09/2019)

Alors que les négociations sur la réforme de la retraite reprennent le 5 septembre, L’Express estime que « la question la plus brûlante est peut-être celle du coût de ce big bang sur les finances publiques ». Selon le magazine, il sera compris entre 5 à 7 milliards d’euros par an en régime de croisière. Et l’addition à moyen terme des revalorisations de salaires va peser, poursuit le média. « On promet des compensations, mais il y a derrière tout ça quelque chose qui s’appelle la dette publique et les engagements européens », s’inquiète Florence Legros, économiste et professeur à l’Université Paris-Dauphine. (L’Express, 04-10/09/2019)

Pascal Junghans, enseignant en économie des médias à l’Université Paris-Dauphine, estime qu’à la télévision, le film a perdu de son magistère, à cause du coût et du manque d’audience. Toutefois, la mesure annoncée par le gouvernement de laisser libre choix aux chaînes, à la programmation des œuvres cinématographiques, aura « très certainement des effets sur l’industrie cinématographique. Non sur les grosses productions américaines ni sur les films français, mais probablement sur les productions hexagonales de qualité médiane », avance l’enseignant. (La Croix, 05/09/2019)

De plus en plus d’entreprises misent désormais sur la collaboration et la coopération entre salariés pour souder les équipes et les embarquer dans leur processus de transformation. Pour Stéphanie Dameron, professeure à l’Université Paris-Dauphine, trois facteurs sont à l’origine de ce mouvement : la précarisation du travail, le changement de gouvernance des entreprises et la prise en compte des intérêts contradictoires portés par les différentes parties prenantes, outre le développement du télétravail qui a distendu le lien au collectif. « Les salariés ressentent d’ailleurs un besoin de reconnexion. Même si, bien sûr, le lien à réinventer ne sera pas de même nature que celui qui existait autrefois », avance l’experte. (Liaisons Sociales Magazine, 09/2019)

Pour Alain Villemeur, directeur scientifique de la Chaire Transitions démographiques Transitions économiques (TDTE) de l’Université Paris-Dauphine, l’épargne retraite est un outil indispensable de la réforme des retraites pour limiter la baisse de revenus des retraités. L’ambition de la loi Pacte d’atteindre 300 milliards d’euros d’encours en épargne retraite est largement insuffisante, selon lui. « Pour avoir un fonds de capitalisation suffisant, il faudrait arriver à 800 ou 900 milliards d’euros, ce qui serait le cas avec une contribution à 2 % du revenu », poursuit Alain Villemeur. (Argus Assurance Newsletter, 05/09/2019)

Elise Huillery professeure à l’Université Paris-Dauphine, a présenté au conseil scientifique de l’éducation nationale (CSEN), une étude, menée dans 97 collèges, sur un programme associatif destiné à booster la confiance, la motivation et la persévérance d’élèves issus de milieux défavorisés. « Les résultats sont hétérogènes, l’impact moyen faible », a indiqué la professeure. Toutefois, le rapport coût-bénéfice de ce dernier s’avère supérieur à d’autres dispositifs comme le dédoublement de classe ou les internats d’excellence, souligne-t-elle. (La Croix, 06/09/2019)

Pour Samuel Bouron, sociologue et maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine, la loi Avia, qui entend transférer aux opérateurs de plateformes en ligne la responsabilité de définir ce qui relève ou non d’un « discours haineux », présente un risque de censure injustifiée. « L’algorithme prendra difficilement en compte dans son évaluation l’identité du locuteur et le contexte de l’énonciation, qui s’avèrent pourtant utiles pour différencier ce qui sépare l’agression de l’humour, sans oublier qu’un message est interprété diversement d’une personne à l’autre », explique le sociologue. Ainsi, « pour ne pas voir se réduire davantage les libertés fondamentales, il est nécessaire de ne pas se faire déposséder du pouvoir de décider ce qui est dicible ou non dans l’espace public par les géants du Web et par leurs algorithmes », poursuit-il. (L’Humanité, 11/09/2019)

La France a également développé autour de la fintech un écosystème mêlant recherche, enseignement, valorisation et entrepreneuriat. Dernier exemple en date, l’université de Paris Dauphine qui vient de créer une chaire dédiée à la finance digitale en partenariat avec Mazars et Crédit Agricole Corporate and Investment Bank. Portée par Hervé Alexandre, professeur de finance, responsable du master banque finance à Dauphine, la chaire se positionne comme une réponse aux besoins réels d’un marché en pleine croissance. (Forbes, 16/09/2019)

L’Autorité de la concurrence persiste dans sa proposition d’ouvrir la vente de médicaments sans ordonnance aux grandes surfaces. Selon Claude Le Pen, professeur de l’Université Paris-Dauphine et économiste de la santé, « il ne faut pas sous-estimer la charge symbolique d’une telle mesure, qui peut-être l’amorce d’un changement complet de modèle, packagé à une série d’autres mesures (…) ». Pour le professeur, les pharmacies les plus impactées seraient surtout les pharmacies urbaines de taille moyenne supérieure. (Pharmacien Manager, 09/2019)

Rayan Nezzar, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine, est porte-parole du candidat à la mairie de Paris Cédric Villani, chargé  de l’écriture des discours et conseiller pour la stratégie électorale. (Bulletin Quotidien, 12/09/2019)

Dans une interview accordée au journal Libération, Philippe Chalmin, professeur d’histoire économique à l’Université Paris-Dauphine et directeur du rapport Cyclope sur les marchés mondiaux de matières premières, évoque les attaques des sites pétroliers saoudiens. L’enseignant estime que ces derniers devraient affecter les cours mondiaux du pétrole, déjà très volatils. (Libération, 16/09/2019)

Philippe Chalmin, historien et professeur à l’Université Paris-Dauphine, fait partie des invités de l’émission 28 Minutes. Pour lui, le ralentissement économique pousse certains pays gros pollueurs, comme la Chine ou l’Inde, à sacrifier leurs engagements écologiques afin de soutenir leurs croissances. Selon le professeur, la France est relativement exemplaire en termes d’émissions de gaz à effet de serre.
(Arte, 23/09/2019)

Sarah Abdelnour, sociologue et maîtresse de conférences à l’Université Paris-Dauphine, vient de publier, avec sa consœur Dominique Méda, « Les Nouveaux Travailleurs des applis ». Dans un entretien, elle évoque le « capitalisme de plateforme », qu’elle définit comme un système économique reposant sur l’innovation technique que représentent les plateformes numériques et cherchant à tirer profit de travailleurs souvent faussement à leur compte. 
(Le 1, 25/09/2019)

« La notion de compensation carbone prend de plus en plus d’importance, d’autant que la France vise la neutralité carbone d’ici 2050 », observe Christian de Perthuis, économiste et fondateur de la chaire « Economie du climat ». D’ici quelques jours, l’élevage bovin deviendra le second secteur labellisé « bas carbone » par le ministère de la Transition écologique, après la foresterie. Les éleveurs engagés dans la démarche pourront ainsi valoriser la baisse de leurs émissions de gaz à effet de serre sous forme de crédits carbone. L’économiste reste toutefois prudent : « le tarif des crédits carbone se décide entre les vendeurs et les acheteurs. Il n’existe pas de cours unique. L’éventail des compensations est donc très large en fonction de la qualité des produits conduits ». « Sur le marché des crédit carbone, contrairement à celui des quotas d’émission pour les industries lourdes, le mécénat des entreprises est volontaire. Il est donc difficile d’y faire monter le prix », poursuit Christian de Perthuis.
(La France Agricole, 27/09/2019)

Dominique Méda, professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine et directrice de l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso), et Patricia Vendramin, professeure de sociologie à l’université catholique de Louvain, en Belgique, expliquent dans un entretien le changement de vision du travail par une étude sur trois générations : les jeunes de moins de 30 ans, la génération du milieu de 30 à 50 ans et celle de plus de 50 ans.  Pour les deux spécialistes, « la valeur de l’expérience dans le monde du travail a diminué ces dernières années au profit de l’innovation, associée à la jeunesse ». (www.lemonde.fr, 28/09/2019)

Alors que les comptes de la Sécurité sociale sont toujours dans le rouge, Claude Le Pen, économiste de la santé à l’Université Paris-Dauphine, estime que la conjoncture économique n’est pas la seule en cause. La raison principale reste les mesures prises en décembre dernier en réponse à la crise des Gilets jaunes, considère-t-il. En effet, ces mesures coûteront, dès cette année, un peu plus de 2 milliards d’euros à la branche retraite de la Sécurité sociale. (France 2, 29/09/2019)

Le nombre d’étudiants en finance croît de 9 % par an depuis les années 1990. Si la crise financière mondiale n’est pas parvenue à stopper cette dynamique, elle a en revanche entrainé de profonds bouleversements dans la formation des futurs professionnels de la finance. En effet de nombreux enseignements tiennent aujourd’hui compte de la métamorphose des métiers de la finance et de la prolifération des réglementations en la matière. « Nos plaquettes de cours ont donc dû accorder une place croissante à l’informatique. Nos étudiants de Master consacrent actuellement près d’un tiers de leur temps à se familiariser avec la programmation et les outils informatiques professionnels de la finance », témoigne Jérôme Mathis, professeur à l’Université Paris-Dauphine. Par ailleurs, l’établissement vient de créer un cours sur les fintechs. (Option Finance, 30/09/2019)
 

Etudiants et alumni de Dauphine

« Parmi les nombreuses activités humaines dont on mesure désormais l’influence sur le réchauffement climatique, l’économie numérique suscite une attention grandissante. Paradoxalement, un des pans de ce secteur est souvent passé sous silence : la publicité numérique », qui représente aujourd’hui plus de la moitié des investissements publicitaires dans le monde, dénonce Théophile Megali, Doctorant en sciences de gestion à l’Université Paris-Dauphine. En outre, la numérisation des supports publicitaires traditionnels constitue aussi un enjeu énergétique crucial. Théophile Megali estime que « de manière générale, la publicité pourrait participer à la lutte contre le réchauffement climatique et ainsi prendre sa part aux efforts collectifs fournis ». Pour le doctorant, « cet objectif pourrait être inclus dans la politique de responsabilité sociale et environnementale des marques ». (La Tribune, 04/09/2019)

Béatrice Isal a été nommée directrice générale de BilletReduc.com de France Billet. Titulaire d’un DESS Gestion des Télécommunications, Télématique, Télévision de l’Université Paris-Dauphine, elle a fondé la société de conseil en marketing, développement commercial et organisation Daily Shaker Agency, en 2016, dont elle était, jusqu’à présent, présidente. (Correspondance de la Presse, 03/09/2019)

Le journal Le Figaro dresse le portrait d’Arnaud Nourry, PDG de Hachette Livre depuis 2003. Ce titulaire d’un DEA de l’Université Paris-Dauphine a intégré le groupe en 1990 comme chargé de mission du président, puis devient directeur financier adjoint en 1994. Il fut ensuite nommé directeur général du groupe Hatier, filiale de Hachette Livre, en 2001. « Hachette Livre est un groupe composé de multiples maisons d’édition. Jamais je n’ai cherché à les intégrer. J’ai ce mot en horreur. J’ai toujours respecté l’indépendance des éditeurs et de leurs auteurs, car le talent n’est pas paramétrable », explique Arnaud Nourry. (Le Figaro, 02/09/2019)

Sensibilisées à l’environnement et à la solidarité, Maëlle Chouadra, directrice des ressources humaines Europe chez Chassis Brakes International, fournisseur de pièces automobiles, fait partie de ces personnes qui ouvrent la voie de l’évolution des entreprises. Désirant fonder sa propre entreprise, elle a suivi une formation continue à l’Université Paris-Dauphine, et obtient le diplôme d’entrepreneur social. En plus des cours, elle a aussi bénéficié d’enseignements spécifiques à l’économie sociale et solidaire (ESS). Maëlle Chouadra est actuellement dirigeante de Felice, une conciergerie solidaire qu’elle a créée, proposant aux entreprises des services de pressing, de réparation de smartphones, de lavage automobile. (Management, 09/2019)

Agalé Touchard-Le Drian a été nommée directrice associée de RAISE Impact. Cette diplômée de l’Université Paris-Dauphine a travaillé pour la Banque européenne d’investissement (BEI) depuis 2012, en tant que senior investment manager. (Correspondance Economique, 06/09/2019)

Directeur du digital de La Banque Postale, Alexandre Giros, diplômé de l’Université Paris-Dauphine, est nommé au comité de Direction générale de La Banque Postale à compter du 22 juillet 2019. (Riskassur, 06/09/2019)

Jean Cabanes prend la direction de conseil d’Accenture pour l’équipement industriel, le fret et la logistique. Diplômé de l’Université Paris-Dauphine, il a pris, en 2010, la responsabilité pour la France et le Benelux des activités de conseil de l’entreprise pour les secteurs de l’automobile, de l’équipement industriel, des infrastructures de transport et du tourisme. En 2014, il a pris la direction pour l’Europe, l’Afrique et l’Amérique Latine. (Les Echos, 06-07/09/2019)

Isabelle Bion a été nommée directrice des opérations de CCR Re, réassureur filiale de la Caisse centrale de réassurance (CCR). Titulaire d’une Maitrise en sciences et techniques comptables et financières de l’Université Paris-Dauphine, elle était, depuis juillet 2014, directrice comptable du groupe BNP Paribas Cardif. (Correspondance Economique, 09/09/2019)

Pour concrétiser son projet, elle obtient, en formation continue, le diplôme d’entrepreneur social de Paris-Dauphine. En plus de cours très pratiques - comptabilité, finance, management, marketing, les participants bénéficient d’enseignements spécifiques à l’économie sociale et solidaire (ESS). Maëlle Chouadra y comble certaines lacunes et acquiert les clés pour lancer son entreprise. Surtout, la formation l’aide à découvrir un écosystème d’entreprises «différentes» qui constitue désormais son quotidien. «Ça m’a également permis de savoir où j’allais, de comprendre les différents modèles économiques qui existent dans l’entrepreneuriat social, résume-t-elle, et de connaître les avantages et les inconvénients de chacun.» (Management, septembre 2019)

Julien Toqueboeuf a été nommé secrétaire général de Bouygues Construction durant le conseil d’administration du 27 août 2019. Ce diplômé de l’Université Paris-Dauphine remplacera Pascal Grangé à partir du 1er octobre 2019, et intégrera le Comité exécutif de Bouygues Construction. (Le Moniteur.fr La Quotidienne, 13/09/2019)

Banque Richelieu a procédé à plusieurs nominations dont celle de Laeticia Silvy au poste de banquière privée à Banque Richelieu France, et de Pierre-Alexandre Rodocanachi en charge de développement commercial. Titulaire d’un Mastère spécialisé ESCP-EAP e-business et d’une maîtrise en gestion à l’Université Paris-Dauphine, Laeticia Silvy était, depuis 2015, banquière privée développeuse à la Banque Neuflize OBC ; tandis que Pierre-Alexandre Rodocanachi, titulaire d’une maitrise des sciences de gestion de l’Université Paris-Dauphine, était depuis 2014, chargé de l'offre globale de solutions sur mesure pour les groupes familiaux, les associations/fondations et les clients institutionnels au pôle gestion d'actifs du groupe ABN Amro. (Correspondance Economique, 16/09/2019)

Camille Le Bras est directrice des ressources humaines d’Omnicom Media Group France depuis début septembre. Cette titulaire d’un DESS gestion ressources humaines de l’Université Paris-Dauphine occupait le même poste au sein de d2X Expertise depuis mai 2017. (Correspondance de la Publicité, 17/09/2019)

La direction opérationnelle de Salto a été confiée à Thomas Follin, jusqu'alors directeur général chargé de la distribution et de l’innovation digitale des antennes du groupe M6. Ce titulaire d’une Maitrise de science de gestion et d’un Master 2 en télécoms et nouveaux médias de l’Université Paris-Dauphine était également membre du comité de direction du groupe M6. (Correspondance de la Presse, 18/09/2019)

Aglae Touchard-Le Drian devient directrice associée de Raise Impact au sein du groupe Raise. Cette diplômée de l’Université Paris-Dauphine était membre de conseils d’administration, de comités consultatifs d’entreprises et de fonds d’investissement dans les pays émergents. (L’Agefi Hebdo, 19-25/09/2019)

Grégoire Castaing a été nommé directeur général adjoint de la SCET (Services, conseil, expertise et territoire) du groupe Caisse des dépôts et consignation. En parallèle, il assurera la présidence exécutive d’Aatiko Conseils, filiale spécialisée en stratégie et management auprès des bailleurs sociaux. Titulaire d’une maitrise des sciences de gestion de l’Université Paris-Dauphine, il était, depuis 2015, consultant manager chez Finance Active. 
(Bulletin Quotidien, 20/09/2019)

Generali Investments a nommé Mario Petrachi en tant que directeur commercial pour la France et le Luxembourg. Titulaire d’un DESS banque et finance de l’Université Paris-Dauphine, il était, depuis 2010, directeur de la distribution externe pour la France et Monaco de BNP Paribas Asset Management.
(Option Finance, 23/09/2019)

Sylvain Tessier est nommé responsable adjoint de l’activité actions d’Oddo BHF, en charge de la vente, de l’exécution et des activités primaires. Diplômé du Master 203 de l’Université Paris-Dauphine, il était responsable de la syndication et de l’ECM (equity capital market) depuis 2017.
(Option Finance, 23/09/2019)

Christian Guénod assurera la direction du programme de transformation des processus du groupe Engie à compter du 1er octobre. Ce docteur en droit de l’Université Paris-Dauphine était directeur de cabinet auprès de la directrice générale du groupe depuis 2017.
(Les Echos, 25/09/2019)

Carine Renard, titulaire d’un DESS en marketing de l’Université Paris-Dauphine, est nommée directrice générale adjointe de Vizeum, une agence de conseil du groupe Dentsu Aegis Network.  Par ailleurs, Eric Bourguignon, Docteur en économie et finance internationale de l’Université Paris-Dauphine, devient directeur des activités sur titres pour compte de tiers en France au sein de Swiss Life Asset Managers. Enfin, Aurélien Lafaye, titulaire d’un Master 2 en assurance et gestion des risques de l’Université Paris-Dauphine, devrait rejoindre début octobre le groupe Infopro Digital en tant que directeur du pôle finance. (Correspondance de la Publicité, 01/10/2019 ; Correspondance Economique, 30/09/2019 ; DOW JONES, 30/09/2019)

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Publié le 1 octobre 2019