Revue de presse Février 2020

Découvrez la Revue de Presse de Dauphine de février 2020

Université Paris Dauphine­—PSL

La France recense quarante classes préparatoires économique et commerciale, option technologique (ECT), un dispositif peu connus qui permet aux étudiants déconnectés de la voie générale de reprendre le chemin des études longues. Un autre dispositif a aussi vu le jour en 2017 : la « Trajectoire sup ». Cet outil, créé en Ile-de-France par le Centre de formation d’apprentis Formasup Paris, est une passerelle qui conduit des lycéens de filières professionnelles vers l’enseignement supérieur en apprentissage. Trajectoire sup a par ailleurs instauré pendant l’été un stage de mise à niveau pour permettre un rattrapage dans les matières fondamentales. Les universités de Paris V-Descartes, Paris II Panthéon-Assas, Paris VII-Diderot et Paris-Dauphine ont ainsi ouvert quelques places dans plusieurs DUT et licences. L’Edhec recevra, pour la rentrée 2020, les premières candidatures pour intégrer son bachelor of business administration. (Le Monde (Supplément), 06/02/2020) 

Le Master Supply Chain Internationale de l’Université Paris-Dauphine occupe, cette année encore, la première marche du podium dans le classement des cinquante meilleurs Masters MS et MBA, établi par l’agence EdUniversal. L’Ecole des Ponts ParisTech se hisse à la 2e place avec son Master Spécialisé SC Design et Management, suivie de Kedge Business School (ISLI de Bordeaux) avec son Global Supply Chain Management. (supplychain-village.com, 12/02/2020) 

Le « Do’s Musical », l’association de comédie musicale de l’Université Paris-Dauphine, reprend dans son spectacle annuel « Anything Goes », une œuvre de Cole Porter, écrite en 1934. Elle sera interprétée par les étudiants dauphinois de l’association qui se retrouvent ainsi chaque samedi pour répéter dans l’un des amphithéâtres de la faculté afin d’être prêts pour les trois représentations qu’ils donneront au théâtre Marigny les 20 et 21 mars. Ces étudiants, qui se chargent eux-mêmes de la chorégraphie, de l’arrangement musical et des costumes, évoquent dans un reportage sur France Musique les préparations. Après « Grease », « West Side Story », « Anything Goes » est un nouveau défi pour Edith Sharpin, présidente de cette structure qui existe depuis cinq ans entre les murs de la prestigieuse université. (France Musique, 15/02/2020)

Le Cordon Bleu Paris, en partenariat avec l’Université Paris-Dauphine, propose un MBA en management et leadership appliqué au secteur hôtelier et culinaire international à l’issue duquel les étudiants se verront décerner le diplôme de MBA in International Hospitality and Culinary Leadership de l'institut d'arts culinaires , de MBA in Hospitality and Culinary Management et de Master Global Management de Paris Dauphine-PSL. Ce nouveau programme d’une durée d’un an, dont la première rentrée est prévue le 14 septembre prochain, permettra aux étudiants d’acquérir des connaissances en stratégie et gestion d'entreprise mais aussi de développer des compétences essentielles en leadership et en management. Les étudiants bénéficieront en outre d’un accompagnement personnalisé et d’une pédagogie adaptée aux profils et besoins des cadres et managers. « Grâce à notre partenariat avec l’Université Paris Dauphine-PSL, nous proposons un cursus en phase avec les normes d’excellences et compétences managériales exigées par ce secteur. Avec 125 ans d’expertise, nous avons à cœur à transmettre cette excellence à nos futurs étudiants. De plus, grâce à notre réseau mondial, ils évolueront dans un environnement multiculturel. Nous cherchons des personnalités aux profils variés parce que nous sommes convaincus que se confronter à de nouvelles approches permet une source d'inspiration et de créativité exceptionnelle », explique Sylvy Morineau, directrice académique de l’institut Le Cordon Bleu Paris. (www.journaldespalaces.com, 17/02/2020)

La troisième édition du « Fintech Innovation Challenge » a mis quarante étudiants du Master 224 Banque et Finance de l’Université Paris-Dauphine en compétition pour les former aux fintech. Les élèves, répartis en groupe, ont présenté leurs startups devant un panel de professionnels de la finance. La note attribuée par chaque jury sera prise en compte pour l’obtention de leur master. Une des fintech s’est distinguée : Pigsure by Farm’In. Il s’agit d’une assurtech dédiée aux éleveurs de porcs qui propose une assurance, la location d’une caméra infrarouge pour détecter les maladies et une « app » mobile permettant de surveiller l’élevage en temps réel. Fidelpay, « un moyen de paiement unique pour payer ses courses plus rapidement et utiliser ses cartes de fidélité de façon dématérialisée », a également suscité l’intérêt des jurys. « On a eu un bon collectif », « Les étudiants ont fait simple et bien », « La compréhension du modèle est immédiate », ont déclaré à l’unanimité les membres jury, qui dans l’ensemble ont été satisfaits de la présentation. « Les étudiants étaient d’un très bon niveau, avec de l’aisance à l’oral et des projets bien élaborés en dépit de certaines petites incohérences. Et on a vu de bonnes idées. Il y a de vraies niches à explorer aujourd’hui et on a besoin d’entrepreneurs en France », commente Isabelle Budd, investisseuse pour le family office Fast Forward. « J’ai été très agréablement surpris. Les étudiants étaient bien préparés. Cela étant, certains projets avaient testé leurs hypothèses, d’autres non. Avoir un schéma mental d’entrepreneur implique de faire des tests sur le terrain. Il est en outre important de voir s’il y a de l’intelligence collective dans un groupe d’entrepreneurs », confie aussi Rodolphe Falzerana, coach d’entreprises. « Les cours de fintech constituent aujourd’hui un quart du programme. L’attirance des élèves pour le venture capital suscite un intérêt fort pour la fintech. Ces dernières années, nous avons augmenté les heures de cours sur le sujet à chaque rentrée », explique Hervé Alexandre, directeur du Master 224. (L’Agefi Hebdo, 27/02/2020)  

Face aux grandes écoles, l’université dispose de nombreux arguments convaincants pour attirer les meilleurs élèves dans ses masters. Elle permet de plus en plus à ses diplômés de se faire une place de choix dans le monde de l’entreprise. Le ministère de l’Enseignement supérieur a publié, en décembre dernier, des scores positifs concernant l’insertion professionnelle des diplômés. Le domaine droit-économie-gestion est celui qui affiche les meilleurs scores avec un taux d’insertion de 94 % à 30 mois. Les salaires moyens sont aussi en hausse, soit de 2 000 euros net médian. De son côté, l’Université Paris-Dauphine revendique un taux net d’emploi de 94,6 % sur l’ensemble de ses masters. « Nos formations, notamment en finance, sont adossées à nos centres de recherche. La conception des programmes et la diffusion de la connaissance sont assurées par nos enseignants-chercheurs. Nos étudiants bénéficient donc des connaissances les plus récentes », souligne Sabine Mage, vice-présidente formation et vie étudiante de Dauphine. Le management de l’innovation, qui présente un taux d’insertion de 100 %, figure en outre parmi les masters les plus attractifs de l’établissement. (Les Echos Supplément, 24/02/2020) 

Paris Dauphine I Tunis propose, dès la mi-mars, des cours de révisions gratuits en mathématiques aux candidats bacheliers des villes de Tunis, Hammamet et Sfax. Cette initiative, baptisée « Bac à Dau’ », s’inscrit dans une démarche RSE. Elle vise à favoriser la réussite d’élèves potentiellement fragilisés par la difficulté de l’examen ou encore par l’isolement au sein des familles. Celles-ci, faute de temps, de savoir ou de moyens financiers, ne peuvent accompagner leurs enfants dans leurs révisions, à la maison ou en cours particuliers. « En complément de notre mission première, notre rôle est aussi celui d’un acteur local et social de proximité. Notre responsabilité nous incite donc à apporter ce soutien éducatif sur l’épreuve de maths dont l’enseignement est au cœur de nos formations », souligne Amina Bouzguenda Zeghal, directrice générale du campus tunisien de l’Université française. Les élèves intéressés devront s’inscrire en ligne pour bénéficier de l’une de ces sessions. L’établissement, qui entend travailler à la démocratisation de l’accès à l’éducation et au savoir, prévoit en outre de développer d’autres initiatives RSE.  (www.espacemanager.com, 28/02/2020)  

Enseignants et experts de Dauphine

La dernière loi de finances prévoit la cessation à compter de 2023 ou 2024 de plusieurs régimes fiscaux  dérogatoires. Pour François Fruleux, docteur en droit, maître de conférences associé à l’Université Paris-Dauphine et membre du Centre de Recherche Droit Dauphine, cette mesure est le fruit d’un rapport de force entre le Parlement et le gouvernement. En effet, « de nombreux « trous noirs fiscaux » subsistent : dispositifs dans lesquels s'engouffrent les recettes publiques, sans qu'existent d'informations fiables concernant leur efficience, leur coût ou le nombre de bénéficiaires. C'est pour enfin obtenir ces indications et « forcer le gouvernement à sortir du bois » que le législateur a décidé de recourir au « bornage temporel » des dispositifs considérés », explique le docteur. Si la démarche retenue est novatrice et volontaire, la résolution des parlementaires semble cependant s’émousser, la plupart des régimes visés ayant finalement été écartés du bornage. Pour ce diplômé supérieur du notariat, la nouvelle exonération en faveur des établissements publics de recherche constitue une nouvelle niche fiscale inefficiente. Selon lui,  le parlement devrait organiser lui-même des mesures prophylactiques efficaces qui permettent d’éviter que l’adoption de nouvelles dispositions puisse produire un tel effet. (La Semaine Juridique Notariale et Immobilière, 17/01/2020) 

Alors que les opposants à la réforme des retraites dénoncent un projet injuste, l’exécutif, lui, insiste sur la nécessité du changement. Arnaud Mias, professeur en sociologie à l’Université Paris-Dauphine, Jacques Maire, député LREM des Hauts-de-Seine et co-rapporteur du projet de loi sur la réforme des retraites ainsi que Valérie Labatut, secrétaire nationale CGT-TEFP, s’expriment sur le sujet dans l’émission « Le temps du débat » sur France Culture. Le site www.la-croix.com revient sur les interventions de chacun. Pour sa part, Arnaud Mias estime que si réfléchir au système de retraite implique d’aborder la question de la pénibilité, la discussion actuelle devrait également être l’occasion de poser la question de la soutenabilité au travail. En effet, l’envie de finir avec sa vie au travail augmente quand les conditions au travail se détériorent. Il ne s’agit donc pas seulement de compenser la pénibilité du travail, mais aussi de le transformer profondément, indique l’enseignant. (www.la-croix.com, 30/01/2020) 

Pour certains, le recul du commerce mondial est le signe d’une « démondialisation », souvent confondue avec la volonté de nombreux pays de se protéger contre les effets négatifs de la mondialisation, écrit dans une tribune au Monde El Mouhoub Mouhoud, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine et auteur du livre intitulé « Mondialisation et délocalisation des entreprises ».Quatre faits majeurs permettent pourtant de nuancer cette conclusion, souligne-t-il. En premier lieu, « si la part des produits assemblés en Chine dans les exportations totales de ce pays a chuté durant les années 2010, le commerce international de biens intermédiaires exprimé en volume continue de progresser », indique le professeur. Le recul du commerce international est, selon lui, moins le signe d’une démondialisation que d’une recomposition géographique des chaînes de valeur, qui cache des réalités très différentes suivant les secteurs d’activité. Par ailleurs, toutes les autres composantes de la mondialisation comme le commerce des biens manufacturés ne connaissent pas de repli significatif, précise El Mouhoub Mouhoud. Et enfin,  la mondialisation n’a pas d’effets homogènes et continus, explique l’enseignant, elle touche différemment certains territoires et certaines catégories de travailleurs à différents moments. (www.lemonde.fr, 31/01/2020) 

La réforme des 35 heures n’a pas modifié l’attachement des Français au travail tout comme l’insatisfaction face aux conditions de travail, qui reste fort, observe Jean-Yves Boulin, chercheur associé à l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso) de l’Université Paris-Dauphine. L’intensification du temps de travail s’est accélérée, avec une tendance de faire en 35 heures ce qui était fait auparavant en 39 heures, et a généré le sentiment de ne pas pouvoir accomplir un travail de qualité, selon le sociologue. Les salariés restent toutefois majoritairement attachés aux 35 heures, qui leur ont permis d’avoir un peu plus de temps pour leur vie familiale et sociale, ainsi que pour leurs loisirs, ajoute Jean-Yves Boulin. (Le Figaro, 31/01/2020) 

Les enjeux de communications sont très importants dans le management interculturel qui représente un « défi au quotidien ». En effet, « un Chinois et un Français échangeant en anglais utilisent des mots identiques mais qui renvoient à des univers de sens nationaux », explique Jean-François Chanlat, professeur émérite à Paris-Dauphine, qui a cofondé en 2008 et codirigé son master dédié. Ainsi, seul un travail dans la durée permet de mettre en œuvre les clés d’un management interculturel réussi. D’abord, une communication efficiente et ensuite une lutte contre les stéréotypes, qui « généralisent et enferment dans une image ». « Enfin, et le chantier peut être vaste, il convient d’articuler ces cultures nationales avec celles de l’organisation et du métier », complète l’enseignant. (Liaisons Sociales Magazine, Février 2020) 

Le mensuel La Jaune et La Rouge présente le livre « La Révolution de la finance : acte II », écrit par André Lévy-Lang, professeur à Paris-Dauphine, publié en octobre 2019 aux Editions Odile Jacob. L’ancien président de Paribas retrace dans cet ouvrage la révolution majeure en cours qui affecte l’ensemble de l’économie et de la société. « Quand il termine ce livre lumineux, non seulement le lecteur maitrise les arcanes de la finance contemporaine mais il a en outre la certitude d’être devenu plus intelligent », indique la revue. (La Jaune et La Rouge, Février 2020) 

Philippe Chalmin, professeur à l’Université Paris-Dauphine et fondateur du Cercle Cyclope, revient sur l’effondrement des cours du pétrole brut qui ont baissé de 20 % en un mois. « Au lendemain de la mort du général iranien Soleimani, le prix du baril de pétrole était monté au-delà de 70 dollars. Aujourd’hui, nous sommes à 55 dollars…. La principale raison, c’est que le marché est largement excédentaire », explique l’enseignant. Cependant, « il n’y a pas que le pétrole, toutes les matières premières, dont la Chine est le premier  importateur mondial, ont vu leurs prix baisser (…) A la limite, sur le pétrole, la Chine ne joue pas un rôle aussi important que pour d’autres produits. Mais c’est symbolique », poursuit l’économiste. (www.francetvinfo.fr, 05/02/2020) 

Adoptée il y a vingt ans, la loi SRU, qui impose à un certain nombre de communes des quotas de logements sociaux , présente un bilan mitigé, d’après le tout nouvel Institut des hautes études pour l'action dans le logement (Idheal). Ce dernier a commandé une étude auprès de deux économistes Kevin Beaubrun-Diant, maitre de conférence à l’Université Paris-Dauphine et Tristan-Pierre Maury professeur à l’Edhec. A partir des données du service des finances publiques collectées entre 1999 et 2015, les enseignants-chercheurs ont donc recensé le nombre de logements selon leur statut, privé ou social, les revenus des habitants dans chaque commune de France et même dans chaque section cadastrale. La loi SRU a, certes, réussi à mieux répartir géographiquement l’offre de logement social dans les communes urbaines mais pas à combler les écarts de revenus entre quartiers ni à contrecarrer une tendance de fond au creusement de l’inégalité entre enclaves de richesse et de pauvreté.  (Le Monde, 05/02/2020) 

Si les technologies d’intelligence artificielle reposant sur le deep learning sont extrêmement puissantes, elles restent cependant vulnérables aux attaques adverses. Une équipe composée de plusieurs chercheurs, dont Jamal Atif, professeur à l’Université Paris-Dauphine, étudie actuellement une piste : celle de l’ajout de bruit lors des tâches d’interférence. Invité par Actuia à présenter leur projet, Jamal Atif, explique qu’ « il suffit parfois de prendre une image, d’ajouter un tout petit bruit, défini de façon très malicieuse, pour qu’il ne soit pas très perceptible par un humain, pour tromper complètement un réseau ». Auteur de plus de 100 publications scientifiques dans le domaine de l’IA, Jamal Atif a été membre de l’équipe TAO du LRI, de l’équipe ESPACE de l’IRD, du LTCI et du LIMSI avant de rejoindre Dauphine-PSL. Ses intérêts de recherche actuels portent sur les fondements de l’intelligence artificielle responsable. (Actuia, Janvier - Mars 2020) 

Les frère et sœur Edmond-Claude et Antoinette Frety, tous deux enseignants à l’Université Paris-Dauphine, ont ouvert conjointement le cabinet Frety Avocats à Paris, en septembre. Leur expertise couvre le terrain de la responsabilité civile, du droit pénal, du droit à la propriété intellectuelle et du droit de la consommation. (www.lemondedudroit.fr ,07/02/2020)  

 Le quotidien juridique Petites Affiches La Loi présente le livre « Droit du marché de l’art 2020-2021 », coécrit par François Duret-Robert, chargé d’enseignement à l’université Panthéon-Sorbonne (Paris 1), avec des membres de l’Institut Art & Droit. Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, François Duret-Robert a également enseigné la matière à l’Université Paris-Dauphine. Cet ouvrage, à jour de l’ordonnance du 10 février 2016 portant réforme du droit des contrats, du régime général et de la preuve des obligations, traite de façon approfondie la réglementation des ventes publiques aux enchères.  (Petites Affiches La Loi, 07/02/2020) 

Nancy Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des représentants, a manifesté sa méfiance envers Donald Trump, après l’acquittement de celui-ci par le Sénat, mercredi, dans le procès en destitution qui lui était intenté. Il reste « une menace pour la démocratie américaine », a-t-elle indiqué. « Le président américain flirte continuellement avec les règles constitutionnelles, ce qui explique l’engagement de la procédure d’impeachment. Même si cette procédure a été considérée par beaucoup comme une erreur de Nancy Pelosi, ce n’est pas l’issue de ce procès qui va renforcer Donald Trump », estime pour sa part Marie-Cécile Naves, docteure en sciences politiques de l’Université Paris-Dauphine. Pour cette politologue, le 45e président des États-Unis a réussi avec sa politique sur l’immigration, sa politique étrangère, ou sa personnalité, à attiser et entretenir le clivage entre démocrates et républicains, mais aussi à éteindre certaines divergences entre les différents courants républicains.  (La Croix, 07/02/2020) 

En raison des profondes mutations technologiques, 14 % des postes actuels disparaîtront dans les quinze à vingt prochaines années et 32 % supplémentaires connaîtront de profondes transformations, dévoile une récente étude de l’OCDE. L’avenir et les contours du travail dépendent cependant de la façon dont les États vont aborder plusieurs grands enjeux, notamment le progrès de l’automatisation, le vieillissement de la population et la question écologique. Sur ce dernier point, Dominique Méda, professeure à l’Université Paris-Dauphine et titulaire de la Chaire « Reconversion écologique, travail, emploi » de la Fondation Maison des sciences de l’homme, se demande si nous allons la considérer comme la priorité absolue et engager nos sociétés dans la bifurcation radicale qu’elle exige. « Si nous le faisons, les transformations sur le marché du travail pourraient être massives », prévient-elle. Par ailleurs, la sociologue estime qu’« il faut changer nos modes de production et de consommation et substituer au fétichisme du PIB le fétichisme de l’empreinte carbone individuelle et collective ». « D’après les travaux dont on dispose, c’est créateur d’emplois », indique-t-elle. Et pas uniquement de métiers verts, mais aussi d’activités pour des artisans, des agriculteurs ainsi que pour tous les métiers de la santé et des services à la personne, puisqu’il s’agit de « déployer un nouveau paradigme du prendre soin », complète l’enseignante. (Le Monde (Supplément), 07/02/2020)   

Dans une tribune, Pascal Dumontier, professeur, DRM Finance, Université Paris-Dauphine, présente deux études illustrant les enjeux relatifs à la communication financière via les médias sociaux. En effet, les entreprises du CAC 40 ont presque systématiquement un compte Twitter et utilisent fréquemment LinkedIn, Facebook ou Instagram. La première étude, menée par Blankespoor, Miller et White, s’appuie sur des entreprises américaines du secteur des hautes technologies cotées en Bourse, et se focalise sur l’usage de Twitter. Elle montre que recourir à Twitter pour offrir un accès direct à un communiqué de presse permet une meilleure circulation de l’information, en réduisant l’asymétrie informationnelle entre entreprises et investisseurs, mais aussi l’asymétrie informationnelle entre investisseurs. La deuxième étude, réalisée par Jung, Naughton, Tahoun et Wang, s’appuie, quant à elle, sur le comportement des firmes américaines de l’indice S&P 1500 en matière d’annonces de résultats trimestriels. Ces derniers ont montré que, dans la mesure où la nature de l’information financière divulguée via les médias sociaux n’est pas réglementée, « on peut craindre un comportement opportuniste de la part des firmes qui recourent à ces médias, les bonnes nouvelles étant rapidement et abondamment relayées, les mauvaises nouvelles l’étant moins ».  (Option Finance, 10/02/2020) 

Un collectif de chercheuses et d’universitaires spécialistes du genre, qui compte notamment deux experts de l’Université Paris-Dauphine, Catherine Achin et Alban Jacquemart, dénoncent dans une tribune au Monde la loi de programmation pluriannuelle de la recherche. Selon eux, les réformes à venir vont « accroître les inégalités liées à la classe, à l’assignation ethnoraciale, à la nationalité, au handicap, à l’âge, ainsi que les inégalités entre les femmes et les hommes ». Un bilan des réformes déjà menées atteste ce renforcement des inégalités, soulignent-ils. Pour ce collectif, « si le gouvernement souhaite réellement que la France demeure un pays d’excellence scientifique et dispense une formation de qualité aux générations futures, tout en soutenant avec force les valeurs d’égalité, il est urgent de construire un autre projet pour l’université et la recherche publique : un projet ambitieux fondé, sur la création massive d’emplois stables, sur un financement public pérenne, sur la collaboration scientifique, sur des garanties d’indépendance à l’égard des pressions politiques et gestionnaires, mais aussi sur des mesures transformatrices contre les inégalités, les discriminations et les violences au travail ».  (Le Monde, 11/02/2020) (www.sauvonsluniversite.com, 10/02/2020) 

« Alors que le développement de l’intelligence artificielle représente pour les entreprises un incontournable levier de compétitivité, l’utilisation particulière des algorithmes de prix suscite de nombreuses interrogations en droit de la concurrence », observent Brigitte Schirmann-Soulier, avocate au sein du cabinet Deloitte-Taj, et Arnaud Raynouard, professeur à l’Université Paris-Dauphine et membre du comité scientifique juridique du cabinet Deloitte-Taj. Le développement des systèmes algorithmiques de fixation des prix a ainsi amené les autorités de la concurrence françaises et allemandes à se pencher sur les effets et les risques potentiels de collusion que peut causer le recours à ces algorithmes sur le jeu de la concurrence. Leur usage pourrait potentiellement entraîner des pratiques d’alignement ou de coordination entre entreprises, pratiques constitutives d’ententes anticoncurrentielles. Les autorités de concurrence soulignent toutefois que les dispositifs actuels de droit de la concurrence permettent d’appréhender des pratiques de construction des prix découlant du recours à l’intelligence artificielle qui fausseraient le jeu de la concurrence et causeraient un dommage à l’économie. En outre, pour Brigitte Schirmann-Soulier et Arnaud Raynouard, « les nouveaux défis que pose aujourd’hui l’intelligence artificielle sont donc de taille au regard des possibles distorsions de la concurrence ». (L’Opinion, 12/02/2020) 

Le Rassemblement national ne présente pas de candidat dans certaines villes, malgré des scores électoraux impressionnants lors des derniers scrutins. « On ne fait pas une liste avec des scores, mais avec des personnes », explique Frédéric Boccaletti, le secrétaire départemental du RN dans le Var, affirmant avoir été plus exigeant sur le profil des personnes. Outre la quantité de travail qui a entrainé l’abandon de plusieurs candidats frontistes depuis leur élection, l’étiquette RN constitue également un autre frein majeur aux candidatures. De son côté, Félicien Faury, doctorant en science politique à l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso) de l’Université Paris-Dauphine, estime que « la plus grande difficulté pour le RN est d’attirer des notables locaux et des cadres jugés compétents ». « C’est ce qui explique sans doute les tentatives de neutralisation de l’étiquette partisane », poursuit-il. (Le Monde, 13/02/2020)  

Si la loi SRU a contribué à mieux répartir les logements sociaux, elle n’a pas accru la mixité sociale en France, révèle une enquête commanditée par le tout nouvel Institut des hautes études pour l’action dans le logement (Idheal). L’étude intitulée loi SRU « une mixité de façade(s) ? », présentée le 4 février par Kevin Beaubrun-Diant, maitre de conférences à l’Université Paris-Dauphine et Tristan-Pierre Maury professeur à l’Edhec Business School, montre que les HLM sont de plus en plus mélangés aux autres logements. Les écarts de revenus entre les 20 % de ménages les plus pauvres et le reste de la population ont cependant augmenté dans le même temps.  (Le Journal du Grand Paris, 10 -16/02/2020) 

Isabelle Veyrat-Masson, directrice de recherche au CNRS, Université Paris-Dauphine, est invitée à réagir sur l’abandon de Benjamin Griveaux à la course à la mairie de Paris, accablé par la diffusion d'une vidéo à caractère sexuel. Pour la spécialiste en communication politique, il sera difficile pour un nouveau candidat de « relancer la machine ». Il n’a rien fait d’illégal contrairement à d’autres situations, juge la directrice pour qui cette histoire est « totalement ridicule, un peu scandaleuse et inacceptable ». Elle estime, en outre, qu’on a dans tous les cas incité Benjamin Griveaux à retirer sa candidature. (franceinfo, 15/02/2020)

Depuis la découverte d’immenses gisements gaziers dans les profondeurs de la mer du Levant au début des années 2010, les pays de la côte méditerranéenne orientale, la Turquie en tête, se disputent l’exploitation des ressources. « Tout le monde s’est mis à chercher du gaz. Et ce n’est pas fini : de nouvelles découvertes seront faites dans les années à venir », indique Samuele Furfari, professeur de géopolitique de l’énergie à l’Université libre de Bruxelles. De son côté, Marie-Claire Aoun, enseignante en géopolitique de l’énergie à l’Université Paris-Dauphine, précise qu’« aucun gisement n’a été découvert à ce jour dans la ZEE (zones économiques exclusives) turque, mais Erdogan a l’ambition de faire de son pays un hub gazier incontournable pour l’Europe ». « L’inauguration du Turkstream, un gazoduc reliant la Russie à la Turquie puis à l’Europe via la mer Noire, en décembre, s’inscrit dans cette logique de plateforme de transit », ajoute-t-elle. Par ailleurs, le gaz de Méditerranée orientale a, selon elle, un potentiel extrêmement prometteur, l’enjeu est cependant de lui trouver des débouchés. (Libération, 19/02/2020)

Christian de Perthuis, économiste, fondateur et titulaire de la chaire d’économie à l’Université Paris-Dauphine, intervient dans une émission de France Culture pour parler de la transition énergétique. Son livre « Le Tic-tac de l’horloge climatique - une course contre la montre pour le climat » est aussi présenté. « Pendant un siècle et demi, les sources renouvelables se sont heurtées sur le mur de la rentabilité et ont toujours été battues par les fossiles. Depuis une dizaine d'années, on est en train de changer complètement la hiérarchie des coûts de production. Et de plus en plus souvent, aussi bien le solaire photovoltaïque que l'éolien onshore, et maintenant l'éolien offshore, deviennent compétitifs, parfois même moins coûteux que les énergies fossiles », indique l’économiste. Au sujet de la mobilité, l’enseignant estime qu'on est à l'ébauche d'une grande révolution où ce sont d'autres systèmes que le moteur à combustion interne qui vont déplacer les personnes et les marchandises. Il ajoute que l’hydrogène vert sera potentiellement, demain, une solution très intéressante surtout pour les transports à longue distance, ou les poids lourds nécessitant une puissance très supérieure aux véhicules particuliers et probablement aussi pour les bateaux. Pour Christian de Perthuis, le financement le plus complexe dans les années qui viennent pour la transition énergétique, c’est le financement du désinvestissement depuis les sources fossiles. (France Culture, 21/02/2020) 

Le modèle économique de la dispensation adaptée, objet de l’avenant n°20 à la convention pharmaceutique, paraphé le 12 février entre l’Assurance maladie et l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO), entrera en vigueur le 1er juillet prochain. Grâce à ce dispositif, le pharmacien sera aussi désormais rémunéré sur ce qu’il ne délivre pas, pour 22 classes de médicaments à posologie variable. Le Professeur Claude Le Pen de l’Université Paris-Dauphine, souligne quant à lui, la complexité du projet. « Il ne peut marcher que s’il y a une responsabilité collective, une adhésion forte des pharmaciens d’aller au-delà des évolutions tendancielles des marchés. Or il est difficile de courber des tendances qui sont, malgré tout, un peu linéaires », explique l’économiste de la santé. Il y a, selon lui, « un hiatus entre la récompense individuelle et l’engagement collectif, compte tenu des clivages politiques sur cet avenant. Le seuil de déclenchement de la prime risque d’être difficile à atteindre », poursuit-il. (Le Moniteur des Pharmacies, 22/02/2020)  

Dans une tribune au Monde, Arnaud Simon, professeur à Paris-Dauphine, montre comment les écarts des prix de l’immobilier ont explosé en France suivant les départements sur les trois dernières décennies. D’après les recherches auxquelles l’enseignant à participé, le baby-boom entre 1945 et 1970 aurait un impact important sur le marché immobilier, aboutissant à un accroissement considérable des écarts de richesse immobilière entre les territoires. « Dans certains départements, la hausse de l’offre de logements est plus que compensée par un afflux d’actifs. Dans d’autres, ceux où la population active diminue sans pour autant devenir nulle, l’offre devient pléthorique, provoquant une chute majeure des prix immobiliers », explique le professeur. Le creusement des écarts est d’autant plus fort que la politique d’aménagement du territoire de ses dernières années en France a favorisé les métropoles régionales, qui voient leurs prix au mètre carré continuer de grimper. S’ajoutant à cela, la politique d’argent facile de la Banque centrale européenne, qui a contribué à accentuer cette inégalité, poursuit Arnaud Simon, pour qui « cette question ne peut pas continuer à rester hors du débat politique ». (www.lemonde.fr, 22/02/2020)  

L’indice Gini, qui mesure les inégalités, aurait connu en 2018 sa plus forte progression depuis 2010, d’après l’Insee. En cause, la hausse de 60 % des dividendes perçus par les ménages les plus aisés après la mise en place du prélèvement forfaitaire unique abaissant la fiscalité de certains revenus du patrimoine. Le caractère cumulatif et auto-entretenu des différentes formes d’inégalités entraine, selon Dominique Méda, la directrice de l’Institut de Recherche Interdisciplinaire en Sciences Sociales (Irisso), Dauphine/PSL, la sécession des plus aisés, les élites, et des classes populaires qui s’éloignent de l’intérêt général. Un double processus de sécession « qui se traduit pour les premiers par de trop fréquents exils fiscaux – qui mettent en évidence leur faible attachement à l'intérêt général – et pour les seconds par une abstention record lors des différentes élections tant ils pensent que leur vote ne peut rien changer ». Si nous voulons éviter tout cela, « il nous faut redonner aux classes populaires des raisons d'espérer et ramener nos élites à des comportements plus conformes à la norme », propose la sociologue. (www.liberation.fr, 24/02/2020)  

Pascal Junghans, prospectiviste et enseignant à l’Université Paris-Dauphine, estime que l’Europe devrait apporter des réponses à trois questions d’ordre juridique, technologique et politique pour bien figurer dans l’économie des données. L’enseignant reprend l’affirmation de Thierry Breton, commissaire européen chargé de la politique industrielle, du marché intérieur, du numérique, de la défense et de l’espace, selon laquelle « les données sont désormais le cœur de la machine économique du XXIe siècle comme le pétrole l’a été lors du siècle précédent ». Il convient d’envisager le sujet dans une perspective géoéconomique pour que l’Union puisse devenir concurrentielle dans l’économie de demain, considère Pascal Junghans. Pour le professeur, « il serait essentiel que l’Europe se dote enfin d’une organisation dépendant du politique pour que soit sécurisé ce qui fera la richesse des nations de demain ».  (www.lesechos.fr, 24/02/2020) 

Les chercheurs Anne-Laure Delatte (CNRS, Université Paris-Dauphine), Adrien Matray et Noémie Pinardon-Touati font valoir leur influence l’année précédant les élections afin que les banques privées augmentent le crédit aux entreprises en difficulté dans leur territoire, grâce à l’accès inédit à des données statistiques bancaires françaises, récemment mises à leur disposition par la Banque de France. En effet, « le crédit augmente bien de façon différenciée avant les élections dans les circonscriptions où le candidat en place n’est pas assuré de sa réélection et quand il a une carrière politique déjà bien établie ». En contrepartie, les banques qui ont aidé un candidat en place à être réélu gagnent des parts sur le marché des prêts aux collectivités locales et aux entités publiques les années suivantes. Elles perdent par ailleurs des parts si le candidat n’est pas reconduit. « Nous avons reçu de nombreux mails depuis la publication du document de travail la semaine dernière, parfois bizarres, injurieux souvent encourageant », confie Anne-laure Delatte, dans une tribune au Libération dans laquelle elle relate cette expérience. (Libération, 25/02/2020)  

Les achats d’occasion ont explosé depuis la crise de 2008. Par nécessité économique, par conscience écologique, ce nouveau mode de consommation a aussi été facilité par le développement des sites, comme eBay, Leboncoin ou Vinted. Ainsi, 58 % des Français affirment avoir acheté au moins un objet de seconde main dans les douze derniers mois, soit trois fois plus qu’il y a quinze ans. Valérie Guillard, professeure à l’Université Paris-Dauphine, qui a étudié le profil des participants au Défi « Rien de Neuf » de Zero Waste France, explique que la situation est différente selon la classe sociale d’un individu. « Pour les personnes qui sont très bien intégrées dans la société, le fait d’acheter des objets d’occasion est un plaisir, par contre pour les gens dans le besoin, ou les personnes dans une situation de précarité, c'est très stigmatisant », relève-t-elle. « La norme reste encore aujourd’hui le fait d’acheter des choses neuves », souligne l’enseignante. Il y a aussi la question qui se pose sur l’emploi, poursuit-elle, « parce que si on arrête d’acheter des objets neufs, qu'en est-il des entreprises et des emplois? Cela représente de vraies questions de choix de société ». (France 2, 27/02/2020) 

Etudiants et alumni de Dauphine

Camille Neveu est nommée directrice des affaires fiscales et comptables au sein de l’Association française de la gestion financière (AFG). Titulaire d’un Master 2 en fiscalité de l’entreprise à Paris-Dauphine, elle était responsable du département d’ingénierie patrimoniale du family office Witam MFO depuis 2017.
(Exécutives, 02/01/2020)

Yannick Samson devient conseiller politique « climat et environnement » et chef de cabinet de l’ambassadeur de France à Pékin. Diplômé en affaires publiques de l’Université Paris-Dauphine, il était conseiller pour les enjeux globaux à l’ambassade de France à Brasilia depuis 2015. (Bulletin Quotidien, 06/01/2020)

Armelle de Selancy devient la nouvelle directrice de la communication de la Fédération française de l’assurance. Cette diplômée de Paris-Dauphine était jusqu’ici directrice marketing et communication de Meridiam. (La Correspondance Economique, 08/01/2020)

Carole Spada, titulaire d’un DESS en administration et gestion publique et d’un DESS en management des institutions culturelles de Paris-Dauphine, a été nommée directrice régionale adjointe déléguée des affaires culturelles de la région Ile-de-France, chargée de l’action territoriale et des industries culturelles. Elle était, depuis septembre 2017, chef du bureau de l’animation et de la veille du service des droits des femmes et de l’égalité entre les femmes et les hommes de la direction générale de la cohésion sociale au ministère des Solidarités et de la Santé. (Correspondance Economique, 09/01/2020)

Julia Clavel, jusqu’alors adjointe à la directrice de la stratégie de Saint-Gobain, devient directrice de la Stratégie France, Europe du Sud, Afrique et Moyen-Orient de ce même groupe. Titulaire d’une licence en économie appliquée de l’Université Paris-Dauphine, elle fut, de janvier à juillet 2016, chargée de mission questions budgétaires et numériques au cabinet d’Emmanuel Macron au ministère de l’Economie, de l’industrie et du Numérique.
(Correspondance Economique, 10/01/2020)

Clémence Mignot-Dupeyrot, titulaire d’un Master Business administration and management de l’Université Paris-Dauphine, a été promue directrice des relations investisseurs de ALD Automotive. (Option Finance, 13/01/2020)

La Tribune Edition Quotidienne consacre un article à Christophe Courtin, créateur de Santiane, la première assurtech hexagonale. Le quotidien relate comment ce diplômé de Paris-Dauphine s’est tourné vers le domaine de l’immobilier d’entreprise, tout en poursuivant une activité de Business angel via Courtin Investment qu’il a créée en 2015 pour accompagner les entrepreneurs dans le développement de leurs start-up. (La Tribune Edition Quotidienne, 14/01/2020)

Nathalie Guillet-Gérard prend la direction générale de Dalloyau. Après un passage en fonds d’investissement, cette diplômée de l’Université Paris-Dauphine a accompagné le groupe Rush pendant quatre ans. (Les Echos, 16/01/2020)

L’émission 19/20 Limousin de France 3 Limousin propose le portrait de Matthieu Voisin, joueur de Rugby, 3e ligne au CAB (Club Athlétique Brive Corrèze Limousin). Le jeune homme de 23 ans est également étudiant en Licence gestion finance à l’Université Paris-Dauphine, qui offre des cursus adaptés aux sportifs de haut niveau. Matthieu Voisin raconte qu’il a eu une prise de conscience lorsqu’il s’est blessé en 2017 et qu’il a dû s’éloigner du terrain pendant un an. « J’ai failli arrêter le rugby. Donc, on prend conscience de la réalité de la chose et que si on n’a pas une formation ou une préparation d’après carrière fixée, ça peut être compliqué pour la suite », explique-t-il. Bizarrement, les partiels sont plus stressants que les matchs, confie le sportif. « On n’est pas habitué à avoir cette réflexion mentale plus que physique, donc c’est plutôt les partiels qui m’épuisent le plus », poursuit-il. (France 3 Limousin, 21/01/2020)

L’Agefi Hebdo dresse le parcours professionnel de Jérôme Albus, directeur régional France et Benelux de Tink. Titulaire d’une Licence d'économétrie et d’un Master 2 de gestion de la technologie et de l'innovation de Paris-Dauphine, il a été chargé de relancer l’entreprise Sungard en France, qui est devenue le leader mondial des solutions de gestion de trésorerie. « J’ai d’abord travaillé en avant-vente dans toute la zone Europe Moyen-Orient Afrique. J’avais un rôle à la fois technique et métier, j’accompagnais tout le cycle de vente. J’étais confronté à des cultures très variées, c’était ce que j’avais toujours voulu faire ! », indique-t-il. Quelques années plus tard, Jérôme Albus, devenu alors directeur commerciale de l’entreprise, quitte Sungard, qui a été reprise par Fidelity National Information Service (FIS). Il intègre en 2018 Tink, une plateforme d’open banking qui vient de signer un partenariat avec BNP Paribas. « L'open banking et les cas d'usages se développent à une vitesse incroyable. C'est grisant ! », dit-il avec enthousiasme. (L’Agefi Hebdo, 23/01/2020)

Timothée Bouteloup rejoint La Parisienne Assurances en qualité de chief of staff. Ce diplômé en Affaires internationales de l'Université Paris-Dauphine était directeur de Medef International, depuis juillet 2018. 
(Correspondance économique, 13/02/2020) 

Squareness nomme Jérôme Fortin, titulaire d’un Master 225 finance d’entreprise et ingénierie financière de l’Université Paris-Dauphine, associé. Il a participé à la création de cette entreprise en 2014 en tant que responsable de l’offre évaluation financière. 
(Exécutives, 13/02/2020) 

Nathalie Raingeval a été nommée directrice administrative et financière d’Altice Média France. Diplômée de l’Université Paris-Dauphine, elle était précédemment directrice du contrôle financier d’Altice France.
(Correspondance Economique, 14/02/2020)

Laurence Branthomme, titulaire d’une maitrise des sciences et techniques comptables et financières de l’Université Paris-Dauphine, devient directrice des affaires financières d’Eurazeo. Elle était dernièrement directrice associée de Valtus. 
(Les Echos, 19/02/2020) 

Virginie Hauswald, directrice générale déléguée de Filiassur, devient la nouvelle directrice générale de Garance. Cette diplômée de l’Université de Paris-Dauphine a créé son cabinet de conseil en assurance après un passage à La Mutuelle générale comme directrice stratégique. 
(L’Argus de l’Assurance, 21/02/2020) 

Daniel Bacqueroët, diplômé de l’Université Paris-Dauphine, a été élu président de l’Association des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion (DFCG). Il a réalisé l’ensemble de sa carrière au sein de groupes anglo-saxons. En parallèle à ses activités professionnelles, Daniel Bacqueroët, qui a déjà présidé la DFCG de 2008 à 2011, préside la Fondation DFCG sous l’égide de la Fondation de France. Il est également administrateur vice-président finance du CFA Sacef et censeur de l’association Solidarités Nouvelles pour le Logement (SNL).
(L’Agefi Hebdo, 20-26/02/2020) 

Alice Aymé rejoint Midcap Partners en tant que Head of Corporate Finance. « Nous sommes très heureux d'accueillir Alice parmi nous, à un moment clé de l'histoire de Midcap Partners », a ainsi déclaré le président Charles-Henri Berbain. « Figure reconnue de la Midcap en France, diplômée de la SFAF et d'une Maîtrise de Finance de l'Université Paris Dauphine, Alice a réalisé toute sa carrière chez Société Générale Gilbert Dupont », indique-t-il. Elle « arrive à un moment clé pour Midcap Partners et va nous permettre de continuer à accélérer pour devenir un des leaders européens sur le segment des Small & Midcaps », complète le président.  (www.zonebourse.com, 21/02/2020)  

Jean-Michel Mazalerat a été nommé président d’EP France, maison mère du producteur et fournisseur de gaz et d’électricité Gazel Energie (ex-Uniper France). Diplômé de l’IAE Paris-Dauphine, il était président-directeur général de Dalkia de juillet 2014 à janvier 2017, ensuite président conseil d’administration jusqu’en janvier 2018. (Correspondance Economique, 27/02/2020) 

Joséphine Loréal, titulaire d’un Master en économie appliquée à l’Université Paris-Dauphine, est nommée Responsable de la clientèle Third Party Distribution au sein du pôle relations investisseurs chez Apax Partners. Par ailleurs, Raphaël Bazin, titulaire d’un Master de finance d’entreprise et d’ingénierie financière à l’Université Paris-Dauphine, devient directeur au sein de l’équipe d’investisseurs chez Apax Partners Development.  (L’Agefi Nominations, 27/02/2020) 

Publié le 28 février 2020