Revue de presse février 2021
Université Paris Dauphine - PSL
JurisCampus a lancé, en partenariat avec Dauphine-PSL, l'Executive Master Gestion et allocation d'actifs patrimoniaux. Cette formation de neuf mois s’adresse aux professionnels du patrimoine qui souhaitent parfaire leurs connaissances en matière d’allocation d’actifs au sens large du terme. Codirigé par Nicolas Esplan, cofondateur de JurisCampus, et Kévin Beaubrun-Diant, maître de conférences en économie à Paris-Dauphine, ce parcours se compose de trois certificats qui, réunis, permettent d’obtenir le diplôme mixant des cours en présentiel, en e-learning et des conférences. « L’Université Paris-Dauphine a toujours eu pour tradition d’être orientée vers le monde de l’entreprise. Pour cette formation patrimoniale et financière, nous apportons notre savoir-faire en provenance de six masters de notre université », explique Kévin Beaubrun-Diant. (Investissement Conseils, Marie Gérald, 02/2021)
La reprise des cours en présentiel à hauteur de 20 % promise par Emmanuel Macron ne devrait se mettre réellement en place qu’à compter de la semaine prochaine. C’est le cas pour beaucoup d’établissements, qui viennent de terminer les examens partiels, comme à Aix-Marseille ou encore à l’Université Paris-Dauphine-PSL. Cependant, tous les étudiants ne reviendront pas. « On a 50 % d’étudiants empêchés car ils ont lâché leur logement et il ne leur est pas évident de revenir un jour par semaine », explique Sébastien Damart, vice-président chargé de la formation de Dauphine-PSL. (Les Echos, Marie-Christine Corbier, 04/02/2021)
Alors que certaines universités multiplient les partenariats avec des pays étrangers et les doubles-diplômes, d’autres rivalisent sans complexe avec les grandes écoles. C’est le cas de Dauphine-PSL. Connue pour son modèle d’excellence et sa sélection drastique, elle est la seule université française accréditée EQUIS, un label européen de référence internationale, et se place parmi les 40 meilleures universités mondiales en mathématiques. Son offre de formations se structure autour de deux entrées en sciences des organisations et en mathématiques-informatique. Les étudiants se spécialisent ensuite en choisissant parmi six domaines d’enseignement. Par ailleurs, ils peuvent enrichir leurs parcours avec une expérience à l’étranger, dans l’une des universités partenaires de Paris-Dauphine. Enfin, l’université française fait partie des onze établissements de Paris Sciences et Lettres (PSL). Cette dernière propose, conjointement avec le lycée Henri-IV, un premier cycle de formation exigeant et sélectif, entre université et prépa : le Cycle pluridisciplinaire d’études supérieures (CPES). (Le Figaro Hors-Série, Marie Gérald, Edition 2021)
L’Université Paris Dauphine-PSL organise, en partenariat avec le mouvement Bouge Ton Coq, la première édition du Prix de l’innovation rurale. Cette initiative vise à récompenser et mettre en valeur les acteurs qui, par leurs projets, ont un impact concret sur le quotidien rural. Les lauréats recevront une récompense financière de 3 000 euros. (Midi Libre, 06/02/2021)
Pour relocaliser les chaînes de valeur, El Mouhoub Mouhoud, président de l'Université Paris Dauphine-PSL, explique, dans le cadre d’une interview, qu’« il faudrait d’abord voir ce qui est stratégique ou pas ». « Il faut privilégier le bien commun et l'impact collectif majeur », précise-t-il. Le président indique également qu’« il ne faut pas perdre de vue que les relocalisations, comme les délocalisations, obéissent en définitive toujours aux mêmes règles ». En effet, « elles dépendent du coût salarial unitaire, de la qualité du produit final, ainsi que des frais de transport et des droits de douane ». « C'est donc avant tout une question financière. Au-delà de ça, il faudrait réguler davantage la traçabilité des chaînes de valeur, toutes industries confondues », poursuit El Mouhoub Mouhoud. Par ailleurs, « si les consommateurs peuvent pointer du doigt les entreprises qui délocalisent, ils ne sont généralement pas prêts à payer le surcoût inhérent à la relocalisation. C'est un paradoxe, car produire en France est nécessairement plus onéreux que dans beaucoup d'autres pays », ajoute le fondateur et directeur du Groupement de recherche international du CNRS DREEM (Développement des recherches économiques euro-méditerranéennes). (demain.ladn.eu, Arnaud Pagès, 08/02/2021)
Les facultés d’éco-gestion s’affirment en concurrentes sérieuses des écoles de commerce. En effet, les jeunes sont nombreux à postuler auprès de ces cursus universitaires très prisés au recrutement de plus en plus « qualitatif ». Ainsi, dans près des trois quarts des facultés d’éco-gestion du top 20 de L’OBS, la majorité des élèves admis ont obtenu une mention « bien » ou « très bien » au baccalauréat. En tête du classement figure la très renommée Université Paris Dauphine-PSL, présente pour la première fois sur Parcoursup en 2020. De ce fait, le nombre de candidats pour l’ensemble des licences proposées dans cette université a doublé. En outre, le recrutement est devenu national, avec désormais un tiers d’admis en dehors de l’Île-de-France. « Cela nous permet d’élargir notre vivier de bons, voire très bons élèves », se félicite Dorothée Gallois-Cochet, directrice de la licence sciences des organisations (LSO), en tête du palmarès. Par ailleurs, Dauphine-PSL joue la carte de l’ouverture, avec des parcours spécifiques à Madrid, Londres et Francfort. (L’OBS, Stéphanie Condis, 11-17/02/2021)
Le programme doctoral « Artificial Intelligence for the Sciences » (AI4theSciences), porté par l’Université PSL, lance un appel à candidatures ouvert jusqu’au 26 février 2021. Il offrira 26 contrats doctoraux cofinancés pour des projets de thèses aux interfaces de l’intelligence artificielle (IA) ou du traitement des données massives. Ainsi, 23 sujets de thèse sont disponibles, dont le PhD project « Breaking the curse of high-dimensional PDE’S and applications to mathematical finance » de l’Université Paris-Dauphine-PSL. En plus des activités de l’école doctorale de leur discipline, les lauréats seront formés aux techniques de l’IA et du Machine Learning, à la rédaction d’articles de vulgarisation, à l’Open Science, et à l’acquisition de compétences transverses, lors de séminaires hebdomadaires et de conférences. Chaque doctorant bénéficiera d’une double supervision : un directeur de thèse, chercheur de PSL spécialiste de sa discipline, et un co-encadrement réalisé par un spécialiste des techniques de l’IA ou des données massives. (www.actuia.com, 16/02/2021)
L’institut JurisCampus et l'Université Paris Dauphine-PSL proposent un nouvel Executive Master spécialisé en allocation d'actifs et sélection de fonds à destination des conseillers indépendants et banquiers privés. Reconnu par le niveau Bac +5, Titre RNCP niveau 7 de l'institut de formation JurisCampus, ce diplôme est structuré en trois certificats alliant la dimension pratique et professionnelle de l'allocation d'actifs à l'excellence académique. Il a été conçu afin d’optimiser la qualité de la formation d'un public de professionnels, souvent libéraux, fortement contraint par le temps. (Droit et Patrimoine Hebdo, 22/02/2021)
Enseignants et experts de Dauphine-PSL
Joëlle Toledano, professeure émérite de sciences économiques à Dauphine, vient de recevoir le prix du livre d’économie. Son livre intitulé « Gafa : Reprenons le pouvoir ! » dissèque la montée en puissance de ces géants de l’Internet, leur capacité à verrouiller la concurrence et à définir leurs propres lois. Pour l’auteure, ce n’est pas en se battant avec de vieilles armes, des menaces de démantèlement aux amendes pour abus de position dominante, que l’on répondra à ces questions du XXIe siècle. Il faut, selon elle, choisir un traitement spécifique pour chacune des Gafa afin qu’elles se développent dans le respect de l’intérêt. (Paris Match, A.-S.L., 28/01-03/02/2021)
Le président de l'Institut du Management des Services Immobiliers, Henry Buzy-Cazaux, s'inquiète du manque de statistiques fiables pour évaluer le besoin de logements en France. Ce préalable est pourtant indispensable afin de mener à bien une politique efficace. Pour retrouver l'étude de référence qui a « mis le feu aux poudres », il faut remonter en 2020, indique le président. En effet, des chercheurs de l'Université Paris Dauphine-PSL, mandatés par le Crédit foncier, avaient révélé qu’il manquait un million de logements en France. Le rapport « invoque la sous-estimation de plusieurs phénomènes au cours des vingt années précédentes, pêle-mêle la décohabitation, les séparations, l'immigration », explique Henry Buzy-Cazaux. Alors qu'on a vécu sur un objectif de 300 000 logements nouveaux par an, il en faut au moins 500 000 pour rattraper le retard accumulé et faire face à la demande nouvelle, poursuit-il. « Depuis, cette ligne bleue des 500 000 logements, jamais atteinte, tient lieu d'objectif mythique », regrette le dirigeant. (www.capital.fr, Henry Buzy-Cazaux, 01/02/2021)
Eric Voltzenlogel est nommé vice-président customer acquisition de Proximis. Il offre ainsi à l’entreprise plus de 20 ans d’expérience dans le développement de solutions de commerce et de e-commerce. En effet, après avoir travaillé pendant plus d'un an en tant que project manager sur un projet e-commerce pour Ouat Entertainement, il a continué à développer son expertise pendant près de 12 ans chez Ready Business Systems en travaillant sur des projets en lien avec des entreprises prestigieuses. Par ailleurs, Eric Voltzenlogel a commencé à mettre à profit ses compétences dans le monde de l'éducation à partir de 2012, en devenant digital marketing trainer pour ICN Business School, puis, connected commerce consultant & trainer pour l'Université Paris Dauphine-PSL. (ia-newsmag.com, 01/02/2021)
Le think tank Entreprise & Progrès présentera les résultats de son « Baromètre des entreprises en progrès » le 11 février. Ce travail est piloté par Laurence Peyraut, secrétaire générale de Danone France et vice-présidente du cercle. Les participants découvriront une liste d’indices qui favorisent « la raison d’être transformative » de toute entreprise, c’est-à-dire les commandements de la responsabilité sociétale alliée à la performance économique. La démarche a la caution d’un comité scientifique au sein duquel siègent les professeurs Albert David de Dauphine-PSL et Rodolphe Durand de HEC Paris, les consultants Nathalie Gimenes et André Coupet, ainsi que Louise Beveridge, cheffe d’entreprise et figure d’Ethics & boards. (Gestion Sociale, 04/02/2021)
Les spécialistes de maladies infectieuses, Alfred Spira et Richard Benarous, ainsi qu'une centaine de médecins, biologistes et juristes publient sur le site du JDD une pétition demandant au président Emmanuel Macron et à la chancelière allemande Angela Merkel de tenir leur promesse en faisant du vaccin contre le Covid-19 « un bien public mondial ». « La séquence du virus responsable de la pandémie Covid-19 est un bien public mondial, les vaccins qui en sont issus doivent l'être aussi ! », insistent les signataires de la tribune, parmi lesquels figure Dominique Méda, professeure à l’Université Paris Dauphine-PSL et directrice de l'Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso). Pour cela, « il est indispensable que toute l'industrie pharmaceutique se mobilise en urgence pour la production de ces vaccins, en obtenant des compagnies qui les ont produits les licences nécessaires », expliquent les auteurs. Selon eux, les gouvernants ainsi que les institutions européennes et mondiales disposent avec la séquence du SARS-Cov-2 d'un point d'appui solide pour négocier avec les entreprises productrices des vaccins et exiger qu'elles délivrent ces licences. « Sinon le mécanisme de licence d'office prévu pour des situations exceptionnelles telles que celles que nous vivons aujourd'hui devrait être mis en œuvre pour permettre leur production libre », ajoutent-ils. (www.lejdd.fr, 06/02/2021)
Selon un arrêté du Premier ministre Jean Castex du 5 février, plusieurs personnalités ont été nommées membres du Conseil d'analyse économique (CAE), sur proposition du ministre de l'Economie, Bruno Le Maire. Elles ont été « choisies en raison de leurs compétences dans le domaine de l'analyse économique ». C’est notamment le cas de Anne Epaulard, professeure à l'Université Paris Dauphine-PSL, conseillère scientifique au Commissariat général à la stratégie et à la prospective (France Stratégie) et membre du collège de supervision de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR). (Correspondance Economique, 10/02/2021)
Dans une tribune, Elyès Jouini, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine-PSL et responsable de la Chaire Unesco Femmes et science, parle de la faible présence des femmes dans les filières scientifiques. Leur sous-représentation contribue, selon lui, aux inégalités sur le marché du travail puisque ces filières mènent en moyenne à des emplois mieux rémunérés. « Elle représente aussi une perte de talents dans des domaines à forte demande tels que l’informatique ou l’intelligence artificielle », précise l’enseignant. Cette sous-représentation apparaît sensiblement plus forte, « non pas dans les pays pauvres, mais au contraire dans les pays les plus développés et égalitaires », observe-t-il. Par ailleurs, Elyès Jouini met en évidence une tout autre logique dans des travaux conduits dans le cadre de la Chaire femmes et science. En effet, « nous montrons que ce qui varie vraiment entre les pays où les jeunes filles étudient volontiers les sciences et ceux où elles s’en détournent, c’est la force des stéréotypes qui associent, dans certains lieux plus que dans d’autres, l’excellence en mathématiques aux seuls hommes », explique le professeur. (Libération, Elyes Jouini, 11/02/2021)
La nouvelle mandature 2021-2023 du Conseil national du numérique (CNNum) a été présentée le 11 février. Selon le secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, Cédric O, cette nouvelle mandature permet de changer d’échelle. « Il s'agit maintenant de penser la transformation anthropologique du numérique [...] qui change nos modes de travail, nos relations sociales, notre intimité [...] et pose des questions éthiques importantes », a-t-il souligné. Ainsi, la nouvelle version du CNNum aura la charge de s'interroger sur ce que le numérique fait au monde avec comme mission de formaliser les problématiques relatives au numérique et mettre en partage les éléments utiles à la pensée et à la décision publique tant à l'échelle nationale qu'européenne. La santé sera l'une de ses priorités. Joëlle Toledano, professeure émérite en économie, associée à la Chaire « Gouvernance et Régulation » de l'Université Paris Dauphine-PSL et membre de l’Académie des technologies, fait, en outre, partie des membres de ce Conseil. (Hospimedia, 12/02/2021)
Le Sénat a adopté, le 28 octobre, sur « avis favorable » du ministère de l'Enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation (Mesri), le sous-amendement 238 abrogeant la procédure « de qualification aux fonctions d'enseignant-chercheur » via la loi du 24 décembre 2020 de programmation de la recherche pour les années 2021 à 2030 (LPR). Dans une tribune, des professeurs à l’université expliquent que les modalités de mise en œuvre de cette réforme sont entachées de contradictions, auxquelles les représentants du ministère devraient prêter attention dans les négociations en cours. « Alors qu'elle prétend valoriser l'excellence scientifique, cette réforme ne met pas tout en œuvre pour le faire », dénoncent les signataires, parmi lesquels figure Hélène Nasom-Tissandier, MCF-HDR en droit privé à l’Université Paris Dauphine-PSL. « Tout porte à penser, surtout, que le recrutement des maîtres de conférences, ou leur promotion aux fonctions de professeur, se fera à l'avenir sans véritable régulation scientifique, puisqu'il est toujours possible de composer les comités de sélection en fonction de desseins particuliers », soulignent-ils. Ainsi, « il est urgent de réintroduire, voire de renforcer encore la qualité scientifique dans les critères de sélection. En attendant, la valorisation de l'excellence universitaire exigerait de profiter des négociations en cours avec les syndicats, pour entre autres garantir juridiquement que les universités intègrent les lauréats déjà qualifiés aux fonctions de professeur », poursuivent-ils. (www.lemonde.fr, 14/02/2021)
Anne-Laure Delatte, chargée de recherches au CNRS (Leda, Université Paris Dauphine-PSL), estime qu’en imposant un remboursement en vingt ans de la dette Covid, sans augmentation des impôts, le gouvernement français met les dépenses publiques sous pression. Pour la chercheuse, le programme inverse, soutenu par ceux qui défendent l’annulation de la dette publique détenue par la Banque centrale européenne (BCE), est incontestablement le seul valable aujourd’hui. Celui-ci ambitionne de défendre le budget de l’Etat pour protéger les citoyens contre les crises à venir, et d’installer un régime de croissance inclusif et respectueux du climat. En outre, « le rôle croissant et prépondérant qu’ont pris les banques centrales a de nombreux inconvénients et ne me paraît pas souhaitable », confie-t-elle. « Or, annuler la dette au bilan de la BCE est tentant, mais risque de conforter encore son rôle et d’éloigner les hausses d’impôts sur le profit des multinationales et sur les plus riches », poursuit Anne-Laure Delatte. (Libération, Anne-Laure Delatte, 16/02/2021)
Les journées portes ouvertes (JPO) n’ont pas pu se tenir en présentiel cette année en raison de la crise sanitaire. Les établissements ont toutefois rebondi en organisant ces évènements en virtuel. Ainsi, il n’était pas question de « faire du copier-coller », indique Valérie Bouba, directrice de la communication à l'Université Paris-Dauphine-PSL. « Nous avons donc été obligés de repenser la constitution même du salon », ajoute-t-elle. À l'Université Paris-Dauphine-PSL, la journée des masters a attiré 3 080 visiteurs, contre 1 080 en présentiel, tandis que le samedi des lycéens a vu 3 200 personnes connectées contre 4 200 l'an dernier. Malgré un chiffre apparemment en baisse, le nombre de visiteurs lycéens est en réalité en hausse. « En présentiel, les parents accompagnent souvent leurs enfants, en distanciel, ils sont moins nombreux à avoir leur propre session. Les familles peuvent partager le même écran », explique la directrice. Ainsi, « le virtuel nous a permis de remplir l'un de nos objectifs principaux : favoriser l'égalité des chances », souligne Claire Boitard, responsable des admissions à l'Université Paris-Dauphine-PSL. « En plus de permettre d'économiser un trajet jusqu'à Paris, il offre la possibilité d'avoir des échanges très qualitatifs, en privé, avec ou sans parent, un point positif pour les lycéens qui sont moins à l'aise pour poser des questions », poursuit la responsable. (www.campusmatin.com, Marine Dessaux, 17/02/2021)
Jean Pisani-Ferry est le nouveau président de l’Institut de l’économie pour le climat (I4CE). Ingénieur de Supélec et titulaire d'un DEA de mathématiques, il est l’actuel directeur de Bruegel (Bruxelles), centre de recherche et de leader sur les politiques économiques en Europe. Jean Pisani-Ferry est également professeur associé à l’Université Paris-Dauphine. (BIP Bulletin de l’Industrie Pétrolière, 17/02/2021)
Consultante au Boston Consulting Group entre 1999 et 2001, Florence Benoit-Moreau devient vice-présidente « vie étudiante et responsabilité sociale » de l’Université PSL (Paris Sciences et Lettres). Titulaire d’un DEA en marketing de Dauphine et d’un Doctorat en sciences de gestion de PSL, elle est, depuis 2009, maitre de conférences en marketing et responsable du Master marketing & stratégie à Paris-Dauphine-PSL. Florence Benoit-Moreau est aussi membre du conseil scientifique de Dauphine-PSL. (www.consultor.fr, 18/02/2021)
Les propos de la ministre de l'Enseignement supérieur sur « l'islamo-gauchisme », et sa confirmation d'une prochaine enquête « sociologique » sur l'influence des idéologies radicales à l'université, continuent de susciter de vives polémiques. Une pétition lancée le 19 février par 600 universitaires et chercheurs appelant à la démission de la ministre a d’ailleurs atteint 13 439 signataires, le 23 février. Cosignataire de l'appel des universitaires, Dominique Méda, sociologue et enseignante à Dauphine-PSL, explique que le motif principal de la colère réside dans la méthode employée. L'enquête annoncée par la ministre est, selon elle, digne d'une « police de la pensée ». L'inquiétude quant à cette démarche ne monte pas que des sciences sociales, mais de toutes les disciplines, souligne l’enseignante. Dominique Méda déplore également les effets produits par l'annonce de Frédérique Vidal et le risque de voir aujourd'hui les universitaires se déchirer sur la place publique au sujet d'études qui explorent les questions des identités ethniques ou de genre. Pour la sociologue, renoncer définitivement à l'enquête annoncée serait un premier pas pour ramener un peu de sérénité. (www.la-croix.com, Bernard Gorce, 23/02/2021)
L’Université Paris Dauphine-PSL et Barbri International vont proposer, à partir du mois de juillet, un nouveau programme de formation préparatoire aux examens du barreau anglais, destiné aux étudiants et professionnels souhaitant devenir Solicitor. Dirigé par Duncan Fairgrieve et Arnaud Raynouard, professeurs de droit à l’Université Paris-Dauphine-PSL ainsi que par Chris Jorgenson, de Barbri à Londres, ce programme est étalé sur 20 ou 40 semaines. Il s’appuie notamment sur des workshops organisés à l’Université Paris-Dauphine-PSL et au Royaume-Uni avec des professionnels expérimentés dans la préparation de la 2nde partie de l’examen. (www.lemondedudroit.fr, 23/02/2021)
Etudiants et alumni de Dauphine-PSL
Véronique Jan est nommée rédactrice en chef de l'Œil du 20h sur France 2. Enseignante à l’Institut Pratique du Journalisme (IPJ) Dauphine-PSL, elle est elle-même diplômée de cette école française. Véronique Jan est également enseignante référente TV pour les M2 temps plein. (Correspondance de la Presse, 04/01/2021)
La Caisse des Dépôts a nommé Carole Abbey directrice du pilotage des participations stratégiques au sein de la direction de la gestion des participations stratégiques. Titulaire d'un Master en finance d'entreprise et en ingénierie financière de l'Université Paris-Dauphine-PSL, elle était, depuis juin 2017, directrice de participations au sein de cette même direction, en charge notamment de Bpifrance, Icade, la Compagnie des Alpes et CDC Habitat. (Correspondance Economique, 01/02/2021)
Jacques Bouillot est élu président de l’école d’ingénieurs ESB à Nantes. Son mandat s’étendra jusqu’en 2023. Titulaire d’un Master en développement durable de l’Université Paris Dauphine-PSL, cet ingénieur de formation a rejoint Eiffage Construction en 2005 où il a pris la direction de la filière Sèche & Solutions bas carbone. (Batiweb, Marie Gérald, 02/02/2021)
Arkwood poursuit son développement en nommant Xavier Guérin, présent dans l’équipe depuis le lancement du cabinet il y a cinq ans, en tant que Counsel. Inscrit au Barreau de Paris depuis 2015, il intervient au sein des Master 2 de Droit des Affaires et Gestion de Patrimoine de l’Université Paris Dauphine-PSL. (www.lemondedudroit.fr, 03/02/2021)
Le président de Pays de Montbéliard Agglomération, Charles Demouge, a accueilli, le 4 février, en salle du Conseil, 15 étudiants du Master 2 « Politiques urbaines et gouvernance des territoires » de Dauphine-PSL, accompagnés de Jean-Marie Pillon, maître de conférences en sociologie, afin d'échanger sur le projet « La transformation d'un territoire industriel » du programme « Territoires d'innovation », qui constitue leur sujet d’étude. Il s’agit d’un exercice pédagogique qui consiste en une étude du territoire de projet des agglomérations de Montbéliard et Belfort. Un regard sera également porté à l’échelle des villes de Montbéliard et Belfort dans le cadre du programme « Action cœur de ville » et à l’échelle du Pôle métropolitain Nord Franche-Comté dans le cadre de la labellisation « Territoire d’industrie ». Pays de Montbéliard Agglomération est le chef de file de ce projet prévu jusqu'en 2028. (Les Affiches de Haute Saône-Belfort-Sud des Vosges, JR, 05/02/2021)
Caroline Imberti, Mathilde Declercq et Anna Debains, élèves avocates coachées par Elodie Valette, avocat counsel chez White & Case LLP, ont remporté avec succès la première édition du concours Paris Place de Droit, qui s’est tenue au Tribunal de Commerce de Paris le 28 janvier. Les lauréates auront ainsi le privilège d’accompagner la délégation du Barreau de Paris lors d’un évènement à l’étranger. À cette occasion, elles participeront à la promotion des chambres internationales parisiennes et contribueront, avec la délégation française, au rayonnement de la place de Paris. Titulaire d’un Master de droit des affaires de l’Université Paris Dauphine-PSL, et récemment du CAPA, Anna Debains a pratiqué le contentieux des affaires et le droit pénal des affaires au sein de plusieurs cabinets français et internationaux ainsi qu’au sein d’une banque et du parquet national financier. (www.lemondedudroit.fr, 08/02/2021)
Le groupe MAIF a nommé Patrick Blanchard au poste de directeur général adjoint chargé du BtoB à compter du 31 mars 2021. L’entreprise lui a également confié la direction générale de sa filiale Altima Assurances. Titulaire d'un Master de méthodes informatiques appliquées à la gestion des entreprises (MIAGE) de Dauphine-PSL, Patrick Blanchard était directeur des activités de gestion des sinistres de la MAIF depuis janvier 2016. (Correspondance Economique, 10/02/2021)
Le site d’informations www.dogfinance.com présente l’interview de Nataniel Elkaim, arrivé premier au Trophée Dogfinance M1 de Dauphine. L’étudiant relate qu’il a intégré Paris-Dauphine en 2017, en Science des organisations, doublé du parcours CEJ (Certificat d’Études Juridiques). Il a ensuite rejoint l’association Dauphine Discussion Débat, qui invite des hommes politiques, journalistes, économistes et chefs d’entreprise pour partager leurs expériences et connaissances avec les étudiants. Passionné par le monde de la Finance, Nataniel Elkaim explique qu’il a choisi Dauphine car sa formation en Finance est de très bonne qualité. « Elle offre des bases solides et des connaissances pointues », précise-t-il. « Dauphine est l’un des seuls établissements à proposer une formation aussi complète à ses étudiants, tout en leur laissant le choix de se spécialiser en 3ème année. De plus, la vie associative est très présente à Dauphine et c’est un point important », ajoute-t-il.(www.dogfinance.com, 12/02/2021)
Fort du constat que la vente de voitures entre particuliers peut conduire à de nombreuses arnaques, Maxence Ghintran et Alexis Harnist, deux étudiants d’Emlyon business school, ont décidé de lancer la start-up Trustoo pour protéger les consommateurs. « Maxence a rejoint emlyon après avoir fait un M1 économie-mathématiques à Paris-Dauphine. Il avait déjà eu l’idée de Trustoo en arrivant à l’école. Nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée et ça a tout de suite matché sur le plan amical, mais aussi niveau business. Il m’a donc proposé de m’associer à lui », raconte dans une interview Alexis Harnist. Le cofondateur explique que « la mission Trustoo est de supprimer les fraudes et les arnaques liées à l’achat de véhicules d’occasion et démasquer les vendeurs malhonnêtes ». « Nous sommes le tiers de confiance de l’acheteur qui nous mandate pour que nous réalisions une inspection de la voiture d’occasion avant l’achat », souligne-t-il. « C’est un service qui intéresse beaucoup et qui est très demandé », se réjouit-il. (business-cool.com, Maximilien Arengi, 13/02/2021)
Ben Chaumette est nommé « Senior Advisor to the Dean » de Rennes School of Business. Ce diplômé de Dauphine-PSL est associé chez iDeal Makers, une société de conseil qui accompagne les entreprises désireuses de se développer ou s'étendre à l’international. (Le Journal des Entreprises – Le Brief (Edition Ille et Vilaine), 15/02/2021)
Annabelle Viollet est la nouvelle directrice régionale Occitanie de la Banque des Territoires. Dans une interview, elle évoque les grandes missions de l’institution et sa feuille de route pour l’Occitanie. « La relance est ma priorité absolue avec pour moteur principal la rapidité, car la crise a déjà des impacts économiques que nous voulons atténuer au plus vite », explique-t-elle. Originaire d'Angoulême, Annabelle Viollet est diplômée de Sciences Po Toulouse avant une préparation ENA à Dauphine-PSL et un DESS communication et développement territorial au Celsa Sorbonne. (www.ladepeche.fr, 16/02/2021)
Ben Chaumette, diplômé de l’INSEAD et de l’Université Paris Dauphine-PSL, est nommé « Senior Advisor to the Dean » de Rennes School of Business. Sa compétence managériale et son expertise, issues d’une longue pratique de l’international sur plusieurs continents, seront un véritable atout pour l’école de management, dont l’objectif est d’atteindre les deux tiers d’étudiants internationaux. (www.mondedesgrandesecoles.fr, 19/02/2021)
Ancien directeur des programmes et de l’antenne de France Inter et d’Europe 1, Emmanuel Perreau a rejoint Les Films Pelléas pour développer des projets cinématographiques et documentaires. Titulaire d’un DESS de gestion des institutions culturelles de Dauphine-PSL, il était responsable du développement du groupe de production et d’édition audiovisuelle Médiawan en septembre 2018. (Satellifax Talents, 22/02/2021)
Quentin Loiseleur a été nommé directeur délégué au développement et à la réorganisation des services du Conseil des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques (CVV). Titulaire d’un Master Carrières publiques de l’Institut d’études politiques de Grenoble et d’un Master Affaires publiques de l’Université Paris Dauphine-PSL, il a été chef de cabinet du président du Centre Pompidou, successivement auprès d’Alain Seban, puis de Serge Lasvignes. (The Art Newspaper Daily, 23/02/2021)
Directeur du réseau Fnac Paris depuis août 2019, Julien Munch devient directeur exécutif de Carrefour Roumanie. Titulaire d'un Master en audit de l'Université Paris Dauphine-PSL, il est également inspecteur des finances depuis juillet 2014. (Bulletin Quotidien, 25/02/2021)
Sabrina Sarfati rejoint la société YZ en qualité de directrice générale adjointe. Titulaire d'un Master Management et marketing de Dauphine-PSL, elle est associée de Time for the Planet depuis janvier 2020. (Correspondance de la Publicité, Bernard Gorce, 25/02/2021)
Virginie Flore est la nouvelle directrice des ressources humaines de Spie Batignolles, et intègre, à ce titre, le comité exécutif du groupe. Titulaire d’un Master 2 en ressources humaines de Dauphine-PSL, elle avait rejoint cette société en 2016 comme directrice développement RH, avant de devenir directrice performance et innovation RH. (Les Echos, 26-27/02/2021)
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