Revue de presse janvier 2022

Découvrez la revue de presse de Dauphine-PSL du mois de janvier 2022

Université Paris Dauphine - PSL

Le suivi de la campagne présidentielle est bouleversé par l’actualité Covid. En 2017, « il y avait un enthousiasme réel pour la campagne », se souvient Claire Sécail, qui participait à la recherche menée par le groupe « Médias et Élections » du Laboratoire Communication et Politique de l’Université Paris Dauphine - PSL surun panel d'une trentaine de personnes de tous âges, tous bords politiques et toutes catégories socioprofessionnelles (CSP) confondues. À l'automne dernier, le groupe de recherche retrouve une dizaine de ces sondés. « Tous expriment une lassitude, une perte de sens globale, une fatigue personnelle liée à cette crise qui n'en finit pas. On atteint un niveau qui fait que la campagne ne suscite pas l'enthousiasme du tout, et vaguement l'intérêt. C'est maintenant que tout devrait changer, mais rien ne se passe », observe Claire Sécail. (www.leparisien.fr, Clémence Bauduin, 12/01/2022)

Le Conseil National des Centres Commerciaux (CNCC) s’est associé avec Dauphine Executive Education, de l’Université Paris Dauphine - PSL. Avec cette alliance, les deux partenaires comptent proposer la 1ère formation certifiante à destination des professionnels de l’immobilier commercial : certificat Immobilier Commercial « enjeux & transformations »(La Lettre M2, 01/2021)

Désormais, les universités rivalisent sans complexe avec les grandes écoles grâce à des filières sélectives reconnues pour leur excellence. C’est le cas de l’Université Paris Paris-Dauphine-PSL, qui propose des formations autour de deux entrées en sciences des organisations et en mathématique informatique. Elle est la première et la seule université française parmi le cercle des établissements accrédités Equis. Dauphine est également reconnue pour son modèle d’excellence et sa sélection drastique. De son côté, Paris Sciences et Lettres (PSL) propose le Cycle pluridisciplinaire d’études supérieures (CPES), une formation hybride entre la classe préparatoire aux grandes écoles et l’université. Elle est réservée aux élèves à forte capacité de travail, aux résultats solides et équilibrés en terminale ainsi qu’aux étudiants dotés d’un projet global motivé. (Le Figaro (Hors-Série), Rozenn Gourvennec, 01/2022) 

 

Le programme Dauphine Intervient En Start-up Existante (DIESE) permet, depuis 4 ans, à 10 start-up en croissance et hypercroissance de structurer leur finance et gestion. Dans le cadre de ce programme, ces structures bénéficient du soutien des étudiants de Master 2 (Parcours 124 du Master 2 CARF Contrôle Audit et Reporting Financier) de l'Université Paris-Dauphine-PSL. Cette année, le programme compte une nouveauté avec le label « Capital Gestion » de la House of Entrepreneurship de l'Université Paris-Dauphine-PSL. Celui-ci sera attribué aux start-up de l'édition 2022 qui remplissent les critères d'une saine gestion de leurs actifs, finances et trésorerie. Les start-up intéressées peuvent répondre à l'appel à candidatures jusqu’au 14 mars 2022. (www.capdigital.com, 28/01/2022) 

Enseignants et experts de l'Université Paris Dauphine-PSL

Depuis le 31 décembre, le port du masque est devenu obligatoire sur la voie publique pour les personnes de plus de 11 ans. Le nouveau variant Omicron est en effet extrêmement contagieux. Olivier Damette, enseignant-chercheur au Bureau d'Économie Théorique et Appliquée (BETA) et chercheur associé à la chaire « Économie du climat » de l’Université Paris Dauphine - PSL, explique que la circulation du Covid en extérieur est à l’origine de 10 % des cas. Selon lui, « en matière de contamination, deux critères comptent : la concentration de virus dans l'air et la durée d'exposition à ce virus ». www.lexpress.fr, Sébastien Julian, 31/12/2021)

Les travaux des sociologues Céline Bessière et Sibylle Gollac montrent une augmentation des inégalités de patrimoine entre les genres dans tous les pays. « En France, entre 1998 et 2015, l’inégalité de patrimoine entre les hommes et les femmes est passée de 9% à 16% », explique Céline Bessière dans une interview. Outre l’héritage,ellesouligne que la différence de richesse se creuse également au sein des couples. Par ailleurs, Céline Bessière qui est aussi professeure de sociologie à l’Université Paris Dauphine - PSL formule des propositions pour supprimer ces inégalités de patrimoine. (L’Humanité, Clotilde Mathieu, 04/01/2022)

Dans une tribune, Anne-Laure Delatte, chargée de recherches au CNRS, au Laboratoire d'économie de l’Université Paris Dauphine - PSL (Leda), constate que le « quoi qu’il en coûte » des deux dernières années est loin « d’un aveu d’échec du libéralisme ». Selon elle, l’État-providence est remis en question par le néolibéralisme, mais celui-ci nécessite l’existence de l’État et du droit pour la construction et le fonctionnement du marché. « Le quoi qu’il en coûte n’a rien changé, encore moins remis l’État au cœur du système. II a juste permis au marché de continuer à fonctionner et au vieux monde de perdurer », ajoute Anne-Laure Delatte.(Libération, Anne-Laure Delatte, 04/01/2022)

Les jeunes en début de carrière ne comptent pas leurs heures, notamment dans des secteurs comme, le conseil et les start-up. Alors que le contrat de travail prévoit de travailler 39 heures par semaine, certains arrivent à faire jusqu’à 45 heures hebdomadaires, voire 60 heures. « Les jeunes sont extrêmement travailleurs », note Alexandre Fitussi, cofondateur de Beanstock. Pour sa part, Jean-Yves Boulin, sociologue, chercheur à l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales de l’Université Paris Dauphine - PSL, estime que « les jeunes font preuve d’une sorte de soumissions volontaire ». « Ils se trouvent happés par leur besoin de reconnaissance. De plus, le présentéisme reste un phénomène très français », souligne-t-il. (www.lemonde.fr, 24/11/2021)

Dans une tribune, Philippe Chalmin, président de Cyclope et professeur émérite à l’Université Paris Dauphine - PSL, revient sur les faits qui ont marqué l’année 2021. Parmi eux, il évoque la hausse du prix du gaz sur le marché, mais aussi ceux du charbon et l’électricité. « Alors que la COP26 s’achevait dans la déception générale […] c’est toute la stratégie de la transition énergétique et de la sortie du charbon au profit du gaz qui se trouvait remise en question », note-t-il. D’après lui, « la montée en puissance de l’électricité, en particulier dans la mobilité, a provoqué […] des tensions sur les marchés des métaux les plus concernés ». Par ailleurs, il rappelle la crise agricole, notamment au Canada et au Brésil, qui a été causée par des aléas climatiques. Pour 2022, Philippe Chalmin constate que certains marchés « ont déjà amorcé des replis assez nets ». Il estime que le marché du gaz restera tendu, alors que le secteur agricole dépendra de quelques conditions. (Investir Le Journal des Finances, 08/01/2022)

Dans une tribune publiée dans L’Opinion, Frédéric Gonand, professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine - PSL, revient sur le rapport de l’OCDE sur la France, publié fin 2021, pour alimenter la campagne présidentielle en propositions de réformes économiques. Selon lui, l’OCDE « soulève dans ce rapport des problématiques souvent évoquées, mais tout aussi pertinentes » telles que les « pratiques de travail à haut rendement ». Par ailleurs, il évoque l’étude menée par Bloom, Sadun et Van Reenen, en 2012, montrant un envol de la productivité des entreprises américaines et une évolution beaucoup moins favorable dans les entreprises européennes. « Leur travail économétrique soigné suggère que l’intensité des promotions, des récompenses et aussi du renvoi des employés relativement moins performants joue un rôle important pour expliquer les écarts de productivité », note Frédéric Gonand. (L’Opinion, 10/01/2022)

Dans une tribune publiée par Le Point, les auteurs de la note du Conseil d’analyse économique (CAE) sur la fiscalité des transmissions, dont Gabrielle Fack, professeure d'économie à l’Université Paris Dauphine - PSL, défendent leur proposition de réforme de cette fiscalité. Selon eux, en France, le patrimoine hérité s’accroît globalement depuis plusieurs années, alors que le système de taxation de l’héritage creuse les inégalités. Les auteurs de la tribune notent que le niveau actuel d'imposition des transmissions est particulièrement élevé dans l’Hexagone. Dans ce contexte, ils estiment qu’une « taxation des transmissions tout au long de la vie permettrait de réduire cette forte imposition, en traitant de manière plus équitable les héritages reçus en ligne directe et en ligne indirecte ». (Le Point, 13/01/2022)

Dans une interview, Olivier Meier, professeur à Dauphine & Science Po Paris, propose des pistes de réflexion pour manager des équipes aux écarts d'âge conséquents et transformer les différences générationnelles en valeur ajoutée pour l’entreprise. Il convient en premier lieu de ne faire aucune comparaison d'une génération à l'autre, explique Olivier Meier, tout en rappelant que le manager a pour objectif d’éviter la création d’un climat de compétition et de discrimination envers un groupe générationnel au profit d'un autre. Il devra également trouver un rôle de formateur à chacun des collaborateurs. Celui-ci se présentera sous la forme de « tutorats croisés ». Pour Olivier Meier, le management devra surtout être axé sur la recherche de l'individualité, de la qualité spécifique, de la reconnaissance mutuelle. L’idée est de construire « des espaces de coopération entre les générations, autour d’une mission d’intérêt supérieur », complète celui qui est l’auteur de plusieurs ouvrages de management et de stratégie d’entreprise. (www.cadre-dirigeant-magazine.com, Reid Nalliat, 24/01/2022)

Dans une chronique, Christian de Perthuis, professeur à l’Université Paris-Dauphine-PSL et fondateur de la chaire Économie du climat, indique que la fermeture de Fessenheim a occupé une part significative du débat relatif au nucléaire. Il estime qu’il faudra prendre, dès le début du prochain quinquennat, deux orientations stratégiques. Sur celles-ci, le professeur évoque l’allongement ou non la durée d’exploitation du parc existant et l’action de décider si les centrales actuelles devront être remplacées par d’autres centrales nucléaires ou par du renouvelable, alors que le fossile est désormais exclu. Selon le professeur, « le réinvestissement dans le nucléaire existant pour allonger sa durée d’exploitation est justifié sur le plan économique comme sur le plan climatique si les conditions de sécurité sont assurées ». Il souligne, dans ce cadre, le rôle crucial de l’ASN. Christian de Perthuis évoque aussi sur le lancement industriel des EPR via le programme dit EPR2. Pour le professeur, « iI n’y a pas de justification économique ou climatique à lancer industriellement une filière EPR en France »(Les Échos, Christian de Perthuis, 25/01/2022) 

Dans une tribune, Patrice Geoffron, professeur à l’Université Paris-Dauphine et membre du Cercle des économistes, évoque quelques leçons à tirer de la crise énergétique. Selon lui, « l’Europe doit s’interroger sur les conditions de sa transition décarbonée, pour répondre à l’ambition du Fit for 55 » visant à réduire de 55 % les émissions de gaz à effet de serre en 2030. Il propose ainsi de finaliser la création de Fonds social pour le climat. Il constate aussi que la mise en place dans l’urgence des « boucliers tarifaires » avec des mesures coûteuses pourrait coûter 1 % du PIB en France. La transition énergétique est « la seule police d’assurance face à ces chocs, en réduisant la dépendance aux énergies fossiles d’un continent qui n’en extrait plus », conclut-il. (Les Échos,  Patrice Geoffron., 26/01/2022)

Selon Philippe Chalmin, professeur à Paris-Dauphine et président du rapport CyclOpe, la crise logistique dans le monde des matières premières va se poursuivre pendant plusieurs mois. Malgré l’amélioration de la situation sanitaire, les prix du transport maritime resteront à des niveaux élevés au moins jusqu’en 2023. Cette tension sur le fret maritime est d’abord liée à un « goulet d’étranglement », souligne l’enseignant. « Le rebond de la demande occidentale s’est heurté à l’engorgement des ports et au manque de navires dans la mesure où une partie de la flotte se trouvait en attente au large de ports tant chinois que nord-américains », explique l’expert. L’arrivée de nouveaux bateaux, la rationalisation de certaines infrastructures portuaires et la relocalisation de certaines activités pourraient contribuer à détendre les prix et fluidifier la chaîne logistique mondiale, « mais pas avant plusieurs mois », ajoute-t-il. (Les Échos, E. Go., 27/01/2022) 

Dans une tribune publiée par la Solution Notaire Hebdo, Arnaud Raynouard, professeur à l’Université Paris-Dauphine-PSL, s’intéresse à la loi Confiance dans l’institution judiciaire. Elle prévoit désormais qu’un mode amiable de règlement d’un différend (Mard) constaté par acte d’avocat puisse obtenir apposition de la formule exécutoire par le greffe. Pour l’enseignant, le texte consacre ainsi une évolution notable même s’il estime que « cette innovation semble surtout motivée par la volonté de désengorgement des juridictions, et moins par la réalité des Mard ». (Solution Notaire Hebdo, Arnaud Raynouard, 27/01/2022)

Alors que l'ensemble des matières premières analysées par le CyclOpe ont enregistré une forte hausse en 2021, à l’exception des cours de la viande de porc, l’année 2022 s’annonce encore très incertaine, selon les prévisions annuelles du cercle CyclOpe publiées le 27 janvier dernier. En cause, les tensions géopolitiques en Ukraine, l’appétit de la Chine pour les importations agricoles, et la « certitude » d'une poursuite de la crise des conteneurs. Dans le secteur de l’énergie, le cours du gaz a quadruplé en moyenne avec un indice CyclOpe qui a gagné 397 points. « Actuellement, le gaz naturel vaut deux fois plus cher que le pétrole en équivalence thermique », confirme le président-fondateur de CyclOpe, Philippe Chalmin, qui est également professeur à l’Université Paris-Dauphine. Il a ajouté que si la Russie envahit l’Ukraine, le baril du pétrole va exploser et il y aura une pénurie de gaz en Europe. (AFP, im/uh/spi, 27/01/2022)

Tiré par la diminution de la production du café au Brésil, le cours de l’arabica était en hausse de 75 % sur un an en décembre 2021. « Le marché du café, comme celui d’autres produits tropicaux, tel le coton, a aussi été perturbé par les problèmes de fret et de manque de conteneurs », souligne Philippe Chalmin, président du CyclOpe et professeur à l’Université Paris-Dauphine. « Or, s’il y a bien une certitude, c’est que la crise logistique va se poursuivre jusqu’au second semestre, voire jusqu’en 2023 », ajoute-t-il. Par ailleurs, dans ses prévisions 2022, CyclOpe table sur une progression de 4 % de son indice sur les marchés de matières premières, après un bond historique de 49 % en 2021. Mais, certains produits, dont le café, devraient sortir du lot. « Il y a eu des gelées, en juillet, dans les plantations brésiliennes. On est en phase d’évaluation de leur impact sur les productions à venir », précise Philippe Chalmin(Le Monde, Laurence Girard, 30-31/01/2022)

Etudiants et almuni de l'Université Paris Dauphine-PSL

Le Quart d’Heure de franceinfo s’intéresse au concours d'éloquence réservé aux personnes bègues que la France organise depuis trois ans. Un reportage sur la préparation du concours à l’Université Paris-Dauphine est proposé. « L’objectif c’est d’utiliser l’éloquence comme un cadre pour promouvoir une vision positive du bégaiement et le handicap en général », explique Mounah Bizri, cocréateur du concours et ancien élève du Master 203 promotion 2018 de l’Université Paris Dauphine - PSL (franceinfo, Olivier de Lagarde, 02/01/2022)

Créé par deux jeunes étudiants en Master 2 d’économie à l’Université Paris Dauphine - PSL, Marc-Antoine Faure et Jean Toussaint Battestini, Kyrn'Economics est un blog qui a pour objectif d’alimenter le débat sur le développement économique de la Corse. Marc-Antoine Faure explique que les thèmes principaux sont : l’économie du transport, l’économie du logement, et l’économie insulaire. Une dizaine d’articles devraient être publiés successivement dès le mois de janvier. (France Bleu RCFM, 04/01/2022)

Morgane Le Poul officie comme conseillère communication et presse au cabinet du secrétaire d'Etat chargé de la transition numérique et des communications électroniques, Cédric O, depuis le 15 décembre 2021 selon un arrêté paru le 22 décembre au Journal Officiel. Titulaire d'une licence de sciences politiques et gouvernement de l'Université Paris-Dauphine - PSL, elle avait occupé le même poste au sein du cabinet du ministre des Solidarités et de la Santé, Olivier Véran, depuis juin 2021. (www.ticsante.com, Wassinia Zirar, 03/01/2022)

Chargé de programmes à Arte France depuis 2007, Daniel Khamdamov est promu directeur de l'unité arts et spectacles. Il a étudié le management des institutions culturelles à l'Université Paris-Dauphine - PSL.(Média+, 05/01/2022)

Florence Barjou est nommée directrice des investissements de Crédit Agricole Assurances. Sa fonction sera effective le 1er mars 2022. Cette diplômée de l'Université Paris-Dauphine - PSL occupait le même poste chez Lyxor en 2020. (www.argusdelassurance.com , Isabelle Danton, 05/01/2022) 

Les étudiants viennent de commencer leurs examens en présentiel cette semaine. La ministre de l'Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, a annoncé sur Europe 1 le 7 janvier que « la doctrine est très simple, c'est un maximum d'examens en présentiel, la règle c'est du présentiel et ensuite évidemment il y a adaptations pédagogiques, en fonction des établissements, en fonction des circonstances ». Toutefois, de nombreuses pétitions, apparues cette semaine, demandent que les examens soient reportés ou organisés à distance. Charlotte, étudiante en deuxième année d'économie-gestion à l'Université Paris-Dauphine, raconte qu’elle subit des stress liés au Covid-19. « On sait que nous allons être plus de 600 à composer durant une semaine dans un hangar dès lundi alors oui, je suis stressée encore plus que d'habitude, car nous ne sommes pas à l'abri de côtoyer des étudiants positifs », explique l’étudiante. (AFP, asm/bfa/or, 07/01/2021)

Dans le cadre de son développement, le cabinet d’avocats Cornet Vincent Ségurel accueille Stéphanie Gérard, diplômée entre autres d’un Master II en droit des affaires de l’Université Paris-Dauphine - PSL, au sein de son équipe à Bordeaux en qualité d’avocate associée. Avec cette intégration, Stéphanie Gérard doit fournir une offre juridique complète aux clients du cabinet, intervenir sur des transactions d’envergure aux enjeux complexes, et contribuer à imposer encore davantage le cabinet comme un acteur de référence pour l’accompagnement juridique des opérations de fusions-acquisitions et de capital investissement dans le Sud-Ouest de la France. (www.lepetiteconomiste.com, 24/11/2021)

Le 31 janvier 2022, Bruno Laforestrie deviendra le directeur du développement et du studio Radio France, après sept ans à la direction de Mouv'. Dans ce cadre, ce titulaire d'une Maîtrise en sciences de gestion de l’Université Paris-Dauphine - PSL dirigera les équipes de la diversification et des éditions du studio Radio France, du développement international et du marketing relationnel. (La Correspondance de la Presse, 11/01/2022) 

CMS Francis Lefebvre annonce la cooptation de quatre nouveaux associés, parmi lesquels Jean-Hugues de la Berge et Philippe Gosset, respectivement titulaire d’un DESS droit des affaires et d’un Master 2 Finance d'entreprise de l’Université Paris-Dauphine. Philippe Gosset est également chargé d'enseignement au sein des universités Dauphine - PSL et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. (www.lemondedudroit.fr, 10/01/2022)

Un focus sur Catherine Pouget-Cauchy, présidente de Spinova, est proposé à l’occasion de sa nomination en tant que professeure experte à l'école Aivancity. Il est rappelé, dans ce cadre, que Catherine Pouget-Cauchy est docteure de l'Université Paris-Dauphine en sciences de gestion en partenariat avec le Collège de France en cognition. Elle est également membre de France Innovation et du Printemps de l'Optimisme. (www.ladepeche.fr, 24/01/2022) 

Publié le 31 janvier 2022