Revue de presse septembre 2021
Université Paris Dauphine - PSL
Dans les Hauts-de-Seine, 160 449 enfants effectuent leur rentrée en école maternelle et élémentaire, soit 1 776 écoliers de moins qu'en 2020. Le secondaire accueille, quant à lui, 131 823 adolescents, soit 1 592 élèves en plus par rapport à 2020. Dans 40 établissements du second degré, les élèves sont « encordés » grâce au dispositif « Cordées de la réussite ». Celui-ci permet à des jeunes issus de milieux modestes de se projeter dans l'avenir à partir d'actions menées par les établissements « têtes de cordées », avec l'intervention régulière d'étudiants. Paris-Dauphine fait partie des universités qui y sont associées. Par ailleurs, la vaccination va s’inviter dans certains établissements. « Nous sommes en train de nous organiser avec l'ARS pour que les vaccinations aient lieu le plus tôt possible sur site », indique Dominique Fis, directrice académique dans les Hauts-de-Seine.(Le Parisien, Marjorie Lenhardt, 02/09/2021)
Le ministère de la Culture à l’École des Arts Décoratifs a lancé une formation en partenariat avec l’Institut Pratique du Journalisme de l’Université Paris-Dauphine, en 2017. Une nouvelle édition de cette initiative, qui couvre toutes les étapes de création ainsi que l’environnement du métier de dessinateur de presse, aura lieu à Angoulême, du 18 au vendredi 22 octobre. Elle est organisée en partenariat avec l’EESI et avec le concours de Cartooning for Peace, du Centre permanent de la caricature, du dessin de presse et d’humour de Saint-Just-le-Martel. (La Charente Libre, 03/09/2021)
L’Université Paris-Dauphine-PSL organise une réunion d’information sur sa formation Executive Master Intelligence artificielle & science des données, destinée aux professionnels en activité qui souhaitent acquérir la maîtrise des technologies émergentes de l’Intelligence artificielle (IA). À travers ce cursus, ils pourront découvrir les fondamentaux de l’informatique et des mathématiques appliquées, la conception et l’implémentation d’algorithmes complexes de l’IA, les architectures distribuées ainsi que la modélisation et le traitement des Big Data pour l’IA. Ce programme est dispensé par des spécialistes et des chercheurs reconnus. À l’issue du parcours, les participants reçoivent un Diplôme d’Université de niveau Bac+5, validé par le conseil d’administration de Paris-Dauphine-PSL. (www.lebigdata.fr, Bastien L, 06/09/2021)
La 9e édition du Printemps de l’économie se tiendra, cette année, du 12 au 15 octobre et abordera le thème « Bifurcations, l’heure des choix ». Visant à offrir un décryptage des enjeux économiques contemporains à tous les publics, l’évènement propose 31 conférences thématiques qui se dérouleront dans 4 lieux emblématiques du savoir : le campus Eiffel de l’INSEEC, l’Université Paris Dauphine-PSL, le Conservatoire national des arts et métiers et l’Ecole nationale supérieure de chimie. Parmi les intervenants figurent Laurence Tubiana, présidente du conseil d’administration de l’Agence Française de Développement (AFD), et Lola Vallejo, directrice du programme climat de l’Iddri. (www.esteval.fr, 22/09/2021)
En partenariat avec KPMG Tunisie, l’Université Paris-Dauphine a organisé, le 28 septembre, une réunion sur l’adoption des IFRS (International Financial Reporting Standards) par les entreprises tunisiennes. Depuis 2018, l’expertise académique en matière de sciences des organisations a été lancée par l’Université Paris-Dauphine. « Il faut toute l’excellence académique de notre université conjuguée à l’expertise d’un cabinet tel que KMPG pour assurer un programme de qualité, dont le souci est à la fois d’asseoir la base théorique de ces normes tout en appréhendant toute la spécificité du contexte tunisien auquel elles s’imposent », note Amina Bouzguenda Zeghal, directrice générale de l’Université Paris-Dauphine I Tunis. (www.businessnews.com.tn, 28/09/2021)
Enseignants et experts de l'Université Paris Dauphine-PSL
Dans le cadre d’une interview, Christian de Perthuis, économiste,fondateur de la Chaire Economie du Climat à l’Université Paris-Dauphine, parle de l’impact économique des effets du changement climatique. Il cite plusieurs catastrophes secondaires et explique que c’est l’invasion des criquets pèlerins qui affiche le coût économique le plus élevé. Selon l’estimation de la Banque mondiale, ce coût se situe à hauteur de huit milliards de dollars, « ce qui est énorme et va significativement impacter le PIB des pays concernés, où l’agriculture représente une part importante de la richesse », indique l’économiste. Ce dernier souligne par ailleurs que le réchauffement climatique a un coût variant selon la structure des économies affectées. Face à un climat de plus en plus incertain, Christian de Perthuis estime que seule une réorganisation drastique des moyens de production et de stockage de l’énergie peut permettre d’avoir une avancée. « La préservation des puits de carbone naturels que représentent ces deux écosystèmes est un enjeu majeur, qui suppose de notre part un changement de comportement », ajoute-t-il. (Le Télégramme, Samuel Ribot, 04/09/2021)
Dans une tribune, un groupe d’experts, dont Alexandre Rambaud, coresponsable de la chaire Comptabilité écologique, maître de conférences à AgroParis Tech-Cired/Université Paris-Dauphine et Frédérique Déjean, professeure des universités à Paris-Dauphine, invitent les entreprises et les États à participer activement à l’expérimentation et à la généralisation des outils de soutenabilité forte pour la conservation de la nature. En effet, « la transition des entreprises vers la soutenabilité forte est une nécessité écologique, un devoir moral et une condition pour la viabilité de l’économie », soulignent les signataires. Dans ce contexte, le Lab Capital Naturel, présenté lors du Congrès mondial de la nature de l’UICN, permet d’expérimenter deux types d’outils complémentaires : des méthodologies pour fixer des objectifs de « bon état écologique » et un modèle de comptabilité qui intègre, de manière financière et biophysique, ces objectifs dans les stratégies, modèles d’affaires et tableaux de bord des entreprises. Le Lab Capital Naturel a été créé par le WWF France et la chaire Comptabilité écologique,fruit d’un partenariat entre des organismes de l’enseignement supérieur comme Paris-Dauphine. (Les Echos, 08/09/2021)
Philippe Chalmin, économiste et professeur à l’Université Paris-Dauphine, explique dans une interview que la crise sanitaire a provoqué l’arrêt de certaines productions et des problèmes logistiques, entraînant ainsi une baisse de l’offre, à un moment où la reprise économique se faisait forte. « On a donc assisté dès le début de l’année 2021 à des hausses de prix, notamment sur les matières premières industrielles », indique l’enseignant. Selon lui, l’engorgement total des systèmes de transport est celui qui a joué de manière assez forte, avec une hausse des prix sans précédent, notamment dans la catégorie du fret conteneur. Pour l’économiste, la désindustrialisation française est assez loin d’être terminée. Toutefois, le retour à la normale sur le transport maritime devrait intervenir au début de l’année prochaine, « mais ça peut prendre plus de temps et ça dépendra surtout de ce que donne la suite de la pandémie », souligne Philippe Chalmin. (La Dépêche du Midi, L. S., 09/09/2021)
La Fondation de l’Université Paris-Dauphine a racheté auprès de Séquano Résidentiel une résidence étudiante de 158 studios située à Saint-Ouen-sur-Seine. Cette dernière qui est encore en cours d’achèvement sera livrée début 2023. La résidence, dont la gestion sera confiée à l’Arpej, accueillera les étudiants de Paris-Dauphine - PSL, prioritairement boursiers. L’acquisition a été financée sur les fonds propres de la Fondation et par un prêt locatif social de la Banque des Territoires. Par ailleurs, l’Université Paris-Dauphine a pris il y a deux ans un bail de 190 lits à Saint-Ouen. (Le 13 Heures de l’Immobilier, 13/09/2021)
Le Lab Capital Naturel est un outil créé par WWF France et la Chaire Comptabilité Ecologique. Il propose une méthodologie qui vise à accompagner les entreprises afin de mesurer leur impact sur la biodiversité et dans la mise en œuvre de politiques environnementales. La démarche est expérimentée par plusieurs entreprises comme Carrefour, GRDF, Groupe Bel, Groupe Rocher, LVMH et Michelin. Un groupe d’observateurs, comprenant notamment la CDC Biodiversité, la Fondation AgroParisTech et l’Université Paris-Dauphine, supervisent les tests. (www.rsedatanews.net, Laurence Estival, Aurélie Verronneau, 15/09/2021)
Le mandat de Sophie Schiller en tant que membre de la Commission des sanctions de l'Autorité des marchés financiers a été renouvelé. Professeure agrégée de droit privé à l'Université Paris-Dauphine, elle est présidente du comité juridique de la Fondation nationale droit du patrimoine. Sophie Schiller est également rédactrice en chef adjointe de la « Revue Française de Gouvernance d'Entreprise ». (Bulletin Quotidien, 10/09/2021)
A l’Université Paris-Dauphine, près de 3 millions d’étudiants font leur rentrée durant ce mois de septembre, avec 800 nouveaux élèves qui entrent en première année de licence. Ces derniers ont, dans leur cursus, un cours obligatoire sur les enjeux écologiques du XXIe siècle. Cet enseignement a notamment été conçu par la sociologue Dominique Méda, professeure à l’Université Paris-Dauphine. Elle explique que son originalité est qu’il mélange les apports des sciences humaines et sociales avec ceux des sciences naturelles pour permettre de comprendre la situation actuelle de la société. Dans cette dernière, les êtres humains sont devenus des facteurs déterminants capables de façonner et d’abimer la biosphère, souligne Dominique Méda. (Radio Classique, 13/09/2021)
Dans une tribune, Hèla Yousfi, Maître de conférences, DRM-MOST à l’Université Paris-Dauphine-PSL, analyse la crise politique en Tunisie. Selon lui, « les enjeux d’un changement institutionnel ne peuvent pas se réduire uniquement à un problème de personnes ou à la nature des défis politiques et socio-économiques auxquels une société est confrontée ». Il préconise ainsi une « approche socio-culturelle qui intègre les attentes locales d’un « bon gouvernement » des hommes et dont dépend la légitimité des institutions et leur appropriation par les populations locales ». (www.tourmag.com, Hèla Yousfi, 15/09/2021)
Christian de Perthuis, professeur à l’Université Paris-Dauphine-PSL et fondateur de la Chaire Economie du climat, s’intéresse à l’usage de la subvention verte, dans une tribune. Selon lui, les subventions accordées pour isoler des bâtiments, installer une chaudière à bois ou acheter une voiture électrique ne sont pas efficaces d'un point de vue économique. L’enseignant explique que « malgré leur popularité, elles constituent une mauvaise utilisation, voire un gaspillage, de l’argent public ». Pour lui, il faudrait utiliser cet argent pour « le financement des reconversions […] l’investissement encore très insuffisant dans la recherche & développement et les infrastructures de réseau ». Christian de Perthuis recommande notamment d’investir plus d’argent dans la « mise au point et le développement des hydrolyseurs verts et autres technologies clés ». (Les Echos, Christian de Perthuis, 21/09/2021)
La généralisation du travail à distance pourrait enclencher une nouvelle vague de délocalisations. En effet, les métiers de bureau risquent de quitter l’Europe pour des pays émergents. En se fondant sur des critères tels que le coût horaire du travail, le nombre de travailleurs qualifiés, la qualité des réseaux informatiques et le climat des affaires, laCoface estime que l’Inde, la Pologne, la Chine et l’Indonésie sont les pays qui pourraient profiter le plus de ce phénomène. Toutefois, El-Mouhoub Mouhoud, économiste spécialiste de la mondialisation et président de l’Université Paris Dauphine-PSL, ne s’inquiète pas de ce mouvement. « Comme ce fut le cas dans l’industrie, des mécanismes de réallocation permettent d’orienter les investissements afin de répondre à de nouveaux besoins », indique-t-il. L’expert rappelle que la mondialisation a débouché en Europe sur une polarisation du marché du travail, car les postes de cadres et des emplois non délocalisables peu qualifiés ont été principalement conservés. « Il se peut qu’on connaisse la même forme de polarisation dans les services », observe l’économiste. (L’OBS, Baptiste Legrand, 23-29/09/2021)
Afin de réduire les émissions nettes de gaz à effet de serre d'au moins 55 % d'ici à 2030, de nouvelles propositions ont été adoptées par la Commission européenne le 14 juillet. Celles-ci ont pour objectif d’adapter les politiques de l'Union européenne en matière de climat, d'énergie, d'utilisation des terres, de transport et de fiscalité. La Commission propose ainsi de créer un fonds social pour le climat, qui permettrait d'octroyer aux Etats membres 72,2 milliards d’euros pour la période 2025-2032. Selon Marie Brière, responsable du Centre de recherche aux investisseurs chez Amundi et professeure associée à l’Université Paris-Dauphine, la France aura un rôle important à jouer pour que ces propositions, inscrites au sein du Pacte vert pour l’Europe, soient mises en place. (RB Revue Banque, 09/2021)
Selon une étude menée par le groupe Adecco, le télétravail augmente la productivité des salariés, mais aussi leur fatigue. 82% des sondés disent qu’ils sont plus productifs qu’avant. Toutefois, les journées de travail sont plus longues pour 14% des personnes interrogées, et 63% des salariés déclarent travailler 40 heures ou plus par semaine. Pour Jean-Yves Boulin, chercheur à l’Université Paris-Dauphine, en France, « très peu demandent à télétravailler 5 jours sur 5 et la moyenne est plutôt de deux jours par semaine, voire moins ». Les entreprises préfèrent organiser un mode de travail hybride en mêlant télétravail et présence au bureau, dans une organisation renouvelée. Le professeur estime que ce mode de travail doit être beaucoup plus consacré « au temps collectif, à l’échange avec les pairs sur l’activité et la manière de travailler ». (La Croix Hebdo, Nicolas Senèze, 24/09/2021)
Dans une tribune, Ryan Williams, directeur chez Oxera et professeur à l'Université Paris Dauphine-PSL, Ambroise Descamps, consultant senior chez Oxera et docteur en économie, et Antoine Comps, analyste chez Oxera, évoquent trois grandes façons pour évaluer la valeur économique ou financière des données stockées, utilisées, échangées et monétisées par les entreprises. « La première définit la valeur fondamentale d'un actif financier comme la somme des flux de trésorerie futurs, c'est-à-dire les profits espérés qu'il rapporte, actualisée à un taux d'intérêt », indiquent les experts. La deuxième méthode de valorisation est fondée sur les coûts d'acquisition des données : « si celles-ci ont été acquises en interne, le coût d'acquisition peut être reconstitué sur base de la comptabilité analytique de la société », poursuivent-ils. La troisième méthode repose sur les transactions comparables d'achat ou de vente de données, ajoutent Ryan Williams, Ambroise Descamps et Antoine Comps. (www.lesechos.fr, Ryan Williams, 27/09/2021)
Najla Bouden Romdhane a été nommée à la tête du gouvernement tunisien par le président Kaïs Saïed. Elle devient ainsi la première femme Premier ministre en Tunisie et dans un pays arabe. Selon Elyès Jouini, professeur d’économie à l’Université Paris Dauphine-PSL et ancien ministre tunisien en charge des réformes économiques et sociales en 2011, « c’est une femme rigoureuse, exigeante et très investie dans ce qu’elle fait, avec un fort sens de l’éthique, et c’est sûrement pour ces raisons qu’elle a été choisie par Kaïs Saïed ». Pour l’enseignant, cette nomination est favorable au chef de l’État qui met « un terme à la gabegie politique ». Il souligne que le président tunisien doit maintenant éclaircir la situation dans le pays et présenter rapidement une feuille de route pour redresser la situation économique afin de répondre aux attentes de la population. (Les Echos, Sophie Amsili, 30/09/2021)
Etudiants et almuni de l'Université Paris Dauphine-PSL
Les trois associés, Thierry Le Clercq, titulaire d’un Master en Sciences de gestion, major finance de Dauphine-PSL, Yassine Oussana, titulaire d’un DESS en Assurance et gestion des risques de cette même université et Sébastien Lagarde,diplômé de Polytechnique et de l’ENSAE, ont lancé Alphajet Fair Investors, une société de gestion de portefeuilles dédiée à la gestion active sur les actions cotées. L’entreprise a mis en place une approche baptisée Smart Alpha qui vise à générer de la surperformance avec un modèle propriétaire, à un prix raisonnable et en toute transparence. Smart Alpha a ensuite développé un processus de gestion propriétaire nommé AddAlpha, qui ne laisse pas de place aux biais comportementaux, avec une mécanique de filtres de données, dont le but est de hiérarchiser les sociétés de l’univers d’investissement et d’identifier les titres aux plus forts potentiels. (www.professioncgp.com, 02/09/2021)
Marie Ekeland et Sandrina Martins font partie des 40 femmes remarquables élues par Forbes France cette année. Marie Ekeland est présidente du Conseil National du Numérique depuis fin 2017. Elle a effectué des études demathématiques et informatique à l’Université Paris Dauphine-PSL. De son côté, Sandrina Martins, diplômée de Dauphine-PSL et titulaire d’un DEA de Mutations des sociétés et cultures en Europe de l’Institut d’études européennes, est directrice générale du Carreau du Temple, établissement public de la Ville de Paris. (www.forbes.fr, 09/09/2021)
Le mandat d’Eléonore Ladreit de Lacharrière au poste de présidente du conseil d’administration de l’Ensba a été renouvelé. Cette diplômée de l’Essec et de Dauphine-PSL est également présidente du conseil d’administration du Musée Rodin et membre de ceux de la Fondation Kenza et du comité exécutif de Fimalac. (Le Journal des Arts, L. L., 03 -16/09/2021)
Gecina affiche plusieurs changements avec les départs de Thomas Degos et Franck Lirzin, qui étaient respectivement directeur exécutif résidentiel et directeur exécutif adjoint résidentiel. La société foncière a aussi procédé à plusieurs nominations. Ces changements entrent en vigueur dans le cadre de la poursuite de la transformation de l’activité résidentiel de l’entreprise. Cette dernière compte d’ailleurs dans ses rangs Pierre-Emmanuel Bandioli, titulaire d’un Master 2 en agroindustrie et d’un Executive MBA obtenu à l’Université de Paris Dauphine-PSL. Il était directeur commercial White Goods, au sein de Beko France, avant de rejoindre Gecina au poste de directeur des résidences étudiants, en 2019. (Le 13 Heures de l’Immobilier, 02/09/2021)
Jusqu’alors directeur produits et services d’Orange France, Christian Bombrun a rejoint LaREM. Il sera responsable de la stratégie numérique au sein du parti politique. Son parcours est d’ailleurs présenté à cette occasion. Il est notamment rappelé, dans ce cadre, que ce titulaire d’un Master de gestion des télévisions et des télécommunications de l’Université Paris Dauphine-PSL a été consultant dans le secteur des télécommunications et des médias chez Accenture. (Bulletin Quotidien, 03/09/2021)
En France, la rentrée universitaire se fera en 100 % présentiel pour près de trois millions d’étudiants. Pour Éléonore, étudiante en Master 2 de management à Paris-Dauphine, c’est un soulagement de ne plus être face à un écran et de retrouver de vraies personnes. « Ça fait plaisir de pouvoir retrouver ses amis. Surtout que nous, on ne s'est pas vus, en général, pendant un an. Pendant le cours, si on a des questions, on peut directement les poser au professeur ou alors à nos amis qui sont à côté de nous », se réjouit-elle. Lucas, étudiant en Master 1 de mathématiques appliquées à cette même université, partage le même avis. « Là où le présentiel est très important, c'est que le professeur est là. Rien que le fait d'être dans un cadre, ça nous permet quand même de nous concentrer et de suivre », explique-t-il. Toutefois, le protocole sanitaire et les mesures barrières resteront la norme et les masques seront obligatoires. (www.rfi.fr, 14/09/2021)
Eiffel Investment Group nomme Romain Ohayon au poste de managing director de l'activité private equity, en charge du fonds Eiffel Essentiel. Titulaire d'un Master en économie et en finance de l'Université Paris-Dauphine, il était directeur associé d'Andera Partners depuis 2017. (Correspondance Economique, 13/09/2021)
Axelle Guio est nommée directrice financière opérationnelle de Mediawan. Cette diplômée de Paris-Dauphine en Finances & Stratégie était, depuis 2019, vice-présidente Finance, Informatique et Services généraux pour la France et le Benelux chez Warner Bros. (E. T Ecran Total, 14/09/2021)
Héléna Bergez devient directrice des ressources humaines et membre du comité exécutif d’Euler Hermes, Titulaire d’un Master de mathématiques appliquées de Paris-Dauphine, elle était directrice de l'information et membre du comité de direction d’Euler Hermes France depuis 2013. Elle était également co-gérante de Bilans Service entre 2014 et 2017.(Correspondance Economique, 14/09/2021)
Yann Videcoq a été nommé directeur général d’Arkéa REIM. Son parcours est présenté à cette occasion. Il est rappelé à cette occasion que Yann Videcoq est titulaire d’un DEA d’économie de l’Université Paris Dauphine-PSL. (Dow Jones, 16/09/2021)
Thomas Labergère est le nouveau directeur de la banque de financement et d'investissement d'ING en France. Ce diplômé de Dauphine-PSL était responsable du corporate banking de Citi en France depuis 2015. (Exécutives, 16/09/2021)
Chapter One Capital nomme Maxime Picard en tant qu’Associate - Private Equity Real Estate dans le cadre de la stratégie de croissance du cabinet de conseil. La démarche concrétise l’objectif de l’entreprise de répondre à une demande d’accompagnement de plus en plus forte des agents spécialisés dans les marchés de capitaux et de financement immobilier. Il est par ailleurs rappelé que Maxime Picard est titulaire d’un Master 1 Finance orienté Gestion de Patrimoine et Banque Privée, et d’un Master 2 en Finance et Management de l’immobilier de l’Université Paris Dauphine-PSL. (RiskAssur, 17/09/2021)
Guillaume Bacuvier est nommé directeur général monde de Kantar Worldpanel. Diplômé en économie del'Université Paris Dauphine-PSL, il était directeur général de Dunnhumby depuis 2017. (La Correspondance de la Publicité, 20/09/2021)
Camille Vever, 42 ans, représente la septième génération de la famille fondatrice de la maison de joaillerie Vever, créée en 1821 et fermée en 1982. Diplômée de l’Université Paris Dauphine-PSL, elle relance la marque en 2021 grâce à son projet ambitieux. Vever devient une entreprise à mission. Selon Camille Vever, elle « reste ouverte à d’autres expertises ». (Les Echos, Julie Le Bolzer, 22/09/2021)
Béatrice Savoure devient directrice assurance-vie de Covéa et directrice générale de MMA Vie. Diplômée en Sciences de gestion de l'Université Paris-Dauphine, elle était directrice de Covéa Affinity depuis 2019. En parallèle, Arthur Denouveaux devient directeur affinitaire et partenariats de Covéa Affinity. Diplômé d'un Master 2 en mathématiques de l'assurance, de l'économie et de la finance de l’ENSAE et l’Université Paris-Dauphine, il était, depuis janvier 2021, directeur études et innovation de MMA. Arthur Denouveaux est également président de l'association caritative « Life for Paris : 13 novembre 2015 ». (La Correspondance Economique, 27/09/2021)
Stéphanie Paix est la nouvelle directrice des risques du groupe BPCE. Elle devient aussi membre du comité de direction générale de cette banque. Titulaire d’un diplômed'études supérieures spécialisées-DESS en fiscalité des entreprises de l'Université Paris-Dauphine, elle était, depuis novembre 2018, directrice générale adjointe en charge de l'inspection générale de BPCE. Elle est, en outre, membre du conseil de surveillance de Samse depuis 2018, administratrice de Siparex Associés depuis 2012, et administratrice de la Fondation entrepreneurs de la Cité depuis 2013. (La Correspondance Economique, 27/09/2021)
Caroline Bastide a été nommée directrice des communautés on line chez Ipsos France. Titulaire d’un master marketing de l’Université Paris-Dauphine, elle sera chargée d’apporter une réponse aux clients de l’entreprise voulant remettre l’humain, le consommateur, ou ses propres clients au cœur de leur organisation. Caroline Bastide a débuté sa carrière au sein de la société, en 2000, en tant qu’analyste. (La Correspondance de la Publicité, 28/09/2021)
Swiss Life Banque Privée recrute Emilien Vallet au poste de directeur adjoint de gestion de fortune. Avec cette nomination, l’entreprise consolide ses activités à Lyon. Diplômé de l’Université Paris-Dauphine en ingénierie financière et finance d’entreprise en 2011, Emilien Vallet aura pour mission de développer l’activité de la banque privée, mais aussi de La Banque d’Affaires en France. (www.optionfinance.fr, 29/09/2021)
- 27/08/2021Revue de presse août 2021
- 31/10/2021Revue de presse octobre 2021