Soutien à l'Ukraine

Dauphine se mobilise pour le peuple ukrainien

El Mouhoub Mouhoud, Président de l’Université Paris Dauphine - PSL


Accueil des étudiantes et étudiants réfugié(e)s

L’Université Paris Dauphine - PSL a déployé un soutien multiple, en lien avec l’Université PSL - qui a co-financé l’ensemble des actions :

  • l’ouverture d’un second diplôme universitaire Passerelle (niveau débutant en français) à la rentrée 2022-2023, en complément du diplôme universitaire Passerelle déjà existant. Plus d’une trentaine d’étudiantes et d’étudiants d’Ukraine et de pays tiers y ont été admis en deux ans ;
     
  • l’inscription de 37 étudiantes et étudiants en licence, master ou doctorat, en collaboration avec l’Ukrainian Global University dont l’Université Paris Dauphine - PSL est partenaire. Ils ont intégré les différents parcours de formation dauphinois en mathématiques, management, droit, politiques publiques, management des RH, informatique... ;
     
  • 10 logements issus du parc géré par l'Université Paris Dauphine - PSL ont été réservés et affectés à des étudiantes et des étudiants ukrainiens ; et une facilitation de l’accès à des solutions de logement pour les autres étudiants ;
     
  • l’octroi de bourses mensuelles aux étudiantes et étudiants accueillis, selon leur situation.. 


Programme d'accueil PAUSE

Le programme national d’accueil en urgence de scientifiques en exil (PAUSE), dans lequel l'Université Dauphine-PSL est impliquée depuis 2018, a ouvert un appel spécial d’aide en urgence aux chercheuses et chercheurs ukrainiens en danger : PAUSE – Solidarité Ukraine.
Lancé par le ministère de l’Enseignement supérieur de la Recherche et de l’Innovation et le ministère des Affaires étrangères, le programme PAUSE permet l’accueil de scientifiques et d’artistes en exil dans des établissements d’enseignement supérieur et/ou de recherche et des institutions culturelles en France.

Une enseignante-chercheuse ukrainienne a été accueillie grâce au programme PAUSE dès l’année universitaire 2022-2023. 


Création d’un fonds d'aide d'urgence

Ces initiatives sont rendues possibles par la mise en place de deux dispositifs : un fonds d’urgence de 50 000 euros constitué avec PSL dès le début du conflit et un second fond alimenté par chaque établissement, jusqu’à un montant de 200 000 euros pour l’Université Paris Dauphine - PSL, pour accueillir plusieurs dizaines d'étudiantes et étudiants ukrainiens à partir de la rentrée universitaire 2022.

Ce fonds a permis de financer l’ensemble des actions évoquées ci-dessus. 


Suspension des accords intentionnels avec la Russie

L'université a décidé de suspendre les accords institutionnels de formation ou de recherche avec les universités et organismes de recherche russes. Pour autant, elle souhaite maintenir les liens individuels avec la communauté scientifique et universitaire russe afin de contribuer à maintenir les libertés académiques et l’universalité de la recherche et ainsi porter des valeurs de solidarité et d’ouverture (application du principe de non-discrimination pour les candidatures aux formations ; mobilisation de l’aide sociale d’urgence y compris pour les étudiantes ou étudiantes russes déjà présents à l'Université Paris Dauphine - PSL). 
 

Stand With Ukraine - plusieurs centaines de dons récoltés par les associations étudiantes

L'UNEF Dauphine, conjointement avec les associations étudiantes de l'université Fleur de Bitume,  Dau'Amnesty et Dauphine Ensemble, ont organisé une collecte solidaire pour venir en aide aux ukrainiens. Du 15 au 18 mars 2022, les étudiants ont récolté plusieurs centaines de dons, vêtements, sacs de couchage et médicaments pour les réfugiés d'Ukraine.
La mobilisation des étudiants a fait l'objet d'un reportage vidéo par le média L'Étudiant : "Guerre en Ukraine : des étudiants français lancent des actions solidaires"


L’éclairage de nos chercheurs

Parallèlement à l’ensemble des actions menées par l’université, les chercheurs dauphinois apportent régulièrement leurs expertises sur les impacts socioéconomiques de la guerre en Ukraine dans la presse spécialisée et les médias nationaux. Voir leurs interventions >